La jeune Algérienne lui a donné deux coups de couteau dans le dos à la suite d'une dispute
SERAING
"Le fils et la femme du monsieur pleuraient. Mon mari est par terre, m'a-t-elle dit. Il ne bouge plus. C'est ma fille qui l'a poignardé, a-t-elle ajouté" , précise Jean-Marie qui, disposant de son brevet de secouriste, s'est précipité dans la maison afin de prodiguer les premiers soins à la victime qui était étendue par terre, dans le salon. Pendant ce temps, les voisins appelaient les secours.
"Deux grands couteaux de cuisine se trouvaient sur la table basse du salon. Je lui parlais mais il ne répondait pas. Il respirait très difficilement" , poursuit Jean-Marie qui a ensuite laissé la place aux secouristes.
Constatant que les secouristes restaient un long moment à l'intérieur de la maison, Jean-Marie a compris. "J'ai demandé au grand frère ce qui s'était passé et il m'a répondu qu'ils s'étaient disputés. Dans le quartier, les gens sont fort surpris car ce n'est pas une famille à problèmes. Ces gens étaient très calmes et très respectueux. Je ne l'ai d'ailleurs jamais vu lever la main ou maltraiter sa femme ou ses enfants. C'est un événement bien malheureux" , confie Jean-Marie.
Selon le parquet de Liège, il semble effectivement que le père et sa fille se soient disputés. Leur conflit portait apparemment sur des communications GSM avec un autre jeune.
La victime est décédée à la suite d'une hémorragie interne. Quant à sa fille, elle a été mise à la disposition du juge de la jeunesse à qui elle a avoué avoir porté deux coups de couteau dans le dos de son père pendant qu'il fesait la prière, à la suite d'une dispute. Le juge a alors décidé de la placer, pour une durée de 42 jours, en section fermée à l'IPPJ (Institution publique de protection de la jeunesse) de Saint-Servais. Au terme de cette période, elle comparaîtra à nouveau devant le juge. Ce qui est sûr, c'est que l'adolescente ne risque qu'une mesure de placement vu que le dessaisissement du juge de la jeunesse est exclu, sachant qu'elle a moins de 16 ans.
INCROYABLE
en europe les enfants peuvent tuer leur parents mais l'inverse n'est pas réciproque
les immigrés arrivés en europe se plient en 4 pour leur enfants et voila le résultat
cette mejnouna va maintenant avoir toute la liberté qu'elle voulait en plus est "protégée" alorsque c'est elle le danger
en europe c'est vraiment les enfants qui haggar leur parents après tout ils meritent bien d'être méprisés tellement ils sont laxistes
SERAING
"Le fils et la femme du monsieur pleuraient. Mon mari est par terre, m'a-t-elle dit. Il ne bouge plus. C'est ma fille qui l'a poignardé, a-t-elle ajouté" , précise Jean-Marie qui, disposant de son brevet de secouriste, s'est précipité dans la maison afin de prodiguer les premiers soins à la victime qui était étendue par terre, dans le salon. Pendant ce temps, les voisins appelaient les secours.
"Deux grands couteaux de cuisine se trouvaient sur la table basse du salon. Je lui parlais mais il ne répondait pas. Il respirait très difficilement" , poursuit Jean-Marie qui a ensuite laissé la place aux secouristes.
Constatant que les secouristes restaient un long moment à l'intérieur de la maison, Jean-Marie a compris. "J'ai demandé au grand frère ce qui s'était passé et il m'a répondu qu'ils s'étaient disputés. Dans le quartier, les gens sont fort surpris car ce n'est pas une famille à problèmes. Ces gens étaient très calmes et très respectueux. Je ne l'ai d'ailleurs jamais vu lever la main ou maltraiter sa femme ou ses enfants. C'est un événement bien malheureux" , confie Jean-Marie.
Selon le parquet de Liège, il semble effectivement que le père et sa fille se soient disputés. Leur conflit portait apparemment sur des communications GSM avec un autre jeune.
La victime est décédée à la suite d'une hémorragie interne. Quant à sa fille, elle a été mise à la disposition du juge de la jeunesse à qui elle a avoué avoir porté deux coups de couteau dans le dos de son père pendant qu'il fesait la prière, à la suite d'une dispute. Le juge a alors décidé de la placer, pour une durée de 42 jours, en section fermée à l'IPPJ (Institution publique de protection de la jeunesse) de Saint-Servais. Au terme de cette période, elle comparaîtra à nouveau devant le juge. Ce qui est sûr, c'est que l'adolescente ne risque qu'une mesure de placement vu que le dessaisissement du juge de la jeunesse est exclu, sachant qu'elle a moins de 16 ans.

en europe les enfants peuvent tuer leur parents mais l'inverse n'est pas réciproque
les immigrés arrivés en europe se plient en 4 pour leur enfants et voila le résultat
cette mejnouna va maintenant avoir toute la liberté qu'elle voulait en plus est "protégée" alorsque c'est elle le danger
en europe c'est vraiment les enfants qui haggar leur parents après tout ils meritent bien d'être méprisés tellement ils sont laxistes
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