Quelques jours après la fête des Mères, le magazine Aneti a publié des entretiens exclusifs des mamans des joueurs de la sélection nationale. Habituellement, ce sont les papas qui sont souvent sollicités par les quotidiens locaux, le magazine en question a publié un article qui sort de l’ordinaire. Ces mères qui ont mis au monde des héros qui s’apprêtent à représenter l’Algérie au Mondial nous révèlent des souvenirs ainsi que des secrets de leur progéniture, mais aussi leurs sentiments en les voyant sur les terrains. Ces interviews coïncident avec le coup d’envoi du Mondial prévu dans moins de 8 jours. Les mamans Saïfi, Laïfaoui, Chaouchi, Gaouaoui ainsi que Halliche ont décidé de nous parler de leur fils comme nous ne les avons jamais vus ! El hadja Fatma Saïfi (maman de Rafik) : «Bébé, il avait le foot dans le sang»
La maman de Rafik Saïfi, el hadja Fatma, qui considère son fils comme étant le joueur le plus ancien au sein des Verts, s’est étalée sur l’enfance de son fils. Elle nous a appris que Rafik était depuis son jeune âge un mordu du foot. Bébé déjà, il jouait avec une orange. Il était attiré par tout ce qui avait la forme d’un ballon. Toutefois, cela ne l’a pas empêché de suivre une scolarité normale. Elle dira en substance : «Bébé, il jouait avec une orange. Il adorait le football. Mais il a su concilier le sport et les études. Enfant, il était toujours calme et très respectueux. Il ne dormait jamais avant d’avoir terminé ses devoirs. Je me souviens une fois qu’il a pleuré toute la nuit, car il n’avait pas trouvé de solution à un exercice.»
«Je le surnommais Koko et il ne m’a jamais rien caché»
Et d’ajouter : «Rafik ne m’a jamais rien caché. Même étant marié, j’étais sa confidente. Pour ce qui est de son niveau d’étude, il a échoué au bac, après il a décidé de se consacrer au foot. Je ne me suis jamais opposé à ce choix malgré que j’aie préféré qu’il fasse des études universitaires. Il a un diplôme en électronique. Il aime les livres et écouter de la musique. Depuis son jeune âge, je le surnomme Koko plutôt que Rafik.»
«Mansouri m’a demandé de lui apprendre à faire la prière et Yahia a une place particulière dans mon cœur»
Pour ce qui est de ses partenaires en équipe nationale, el hadja Fatma connaît plusieurs joueurs sont proches de Rafik. Elle dira dans ce sens : «Mansouri nous a rendu visite au mois de Ramadhan passé. C’est un gentil garçon. Ce qui m’a plu chez lui, c’est qu’il m’a demandé de lui apprendre à faire la prière. Il y a aussi Ziani et Bezzaz qui sont proches de mon fils. Mais celui qui a une place particulière dans mon cœur, c’est Antar Yahia. Il a une parole de Chaoui au sens propre du mot.»
Khaleti El Djouher Gaouaoui (maman de Lounès) : «Je fais toujours la prière avant les matchs de mon fils»
Khaleti El Djouher, la maman de Lounès Gaouaoui, dira que son fils est «très timide. Il ne s’est jamais bagarré avec les gens du quartier. C’est quelqu’un qui ne parle pas beaucoup de son travail. Pour ma part, je fais toujours la prière avec les matchs de Lounès. Je regarde ses rencontres le plus normalement du monde. Je n’en rate pas une seule lorsqu’elles sont télévisées».
«Chaouchi est comme mon fils, et à sa place j’aurais frappé Koffi Codjia avec un marteau à la tête !»
Par la suite, la maman de Lounès s’est étalée sur la qualification des Verts pour le Mondial : «Lorsque nous nous sommes qualifiés au Mondial, je n’ai pas cessé de lancer des youyous. Je n’ai pas pleuré comme l’ont fait certaines, mais bien au contraire, j’ai fêté la qualification comme le jour de l’Indépendance en 1962.» En parlant de Faouzi Chaouchi, khaleti El Djouher dira : «Chaouchi est comme mon fils. J’étais très déçue par ce qui lui est arrivé en Angola face à l’Egypte. Moi, à sa place, j’aurais frappé Koffi Codjia avec tafdist (marteau) à la tête.»
«Lounès est un fan de Matoub et danse beaucoup lors des fêtes»
En dernier lieu, la maman de Lounès Gaouaoui a révélé quelques facettes de la vie privée de son fils, comme par exemple ses goûts musicaux : «Mon fils adore écouter Matoub et danse beaucoup lors des fêtes de mariage. Il aime le couscous, el makrout et lekhfaf. Ses enfants ont hâte de le voir.» Et de conclure : «Je suis fière de l’avoir donné à l’Algérie qui a besoin de ses services aujourd’hui. Je souhaite que le drapeau algérien soit toujours au sommet.»
La maman de Rafik Saïfi, el hadja Fatma, qui considère son fils comme étant le joueur le plus ancien au sein des Verts, s’est étalée sur l’enfance de son fils. Elle nous a appris que Rafik était depuis son jeune âge un mordu du foot. Bébé déjà, il jouait avec une orange. Il était attiré par tout ce qui avait la forme d’un ballon. Toutefois, cela ne l’a pas empêché de suivre une scolarité normale. Elle dira en substance : «Bébé, il jouait avec une orange. Il adorait le football. Mais il a su concilier le sport et les études. Enfant, il était toujours calme et très respectueux. Il ne dormait jamais avant d’avoir terminé ses devoirs. Je me souviens une fois qu’il a pleuré toute la nuit, car il n’avait pas trouvé de solution à un exercice.»
«Je le surnommais Koko et il ne m’a jamais rien caché»
Et d’ajouter : «Rafik ne m’a jamais rien caché. Même étant marié, j’étais sa confidente. Pour ce qui est de son niveau d’étude, il a échoué au bac, après il a décidé de se consacrer au foot. Je ne me suis jamais opposé à ce choix malgré que j’aie préféré qu’il fasse des études universitaires. Il a un diplôme en électronique. Il aime les livres et écouter de la musique. Depuis son jeune âge, je le surnomme Koko plutôt que Rafik.»
«Mansouri m’a demandé de lui apprendre à faire la prière et Yahia a une place particulière dans mon cœur»
Pour ce qui est de ses partenaires en équipe nationale, el hadja Fatma connaît plusieurs joueurs sont proches de Rafik. Elle dira dans ce sens : «Mansouri nous a rendu visite au mois de Ramadhan passé. C’est un gentil garçon. Ce qui m’a plu chez lui, c’est qu’il m’a demandé de lui apprendre à faire la prière. Il y a aussi Ziani et Bezzaz qui sont proches de mon fils. Mais celui qui a une place particulière dans mon cœur, c’est Antar Yahia. Il a une parole de Chaoui au sens propre du mot.»
Khaleti El Djouher Gaouaoui (maman de Lounès) : «Je fais toujours la prière avant les matchs de mon fils»
Khaleti El Djouher, la maman de Lounès Gaouaoui, dira que son fils est «très timide. Il ne s’est jamais bagarré avec les gens du quartier. C’est quelqu’un qui ne parle pas beaucoup de son travail. Pour ma part, je fais toujours la prière avec les matchs de Lounès. Je regarde ses rencontres le plus normalement du monde. Je n’en rate pas une seule lorsqu’elles sont télévisées».
«Chaouchi est comme mon fils, et à sa place j’aurais frappé Koffi Codjia avec un marteau à la tête !»
Par la suite, la maman de Lounès s’est étalée sur la qualification des Verts pour le Mondial : «Lorsque nous nous sommes qualifiés au Mondial, je n’ai pas cessé de lancer des youyous. Je n’ai pas pleuré comme l’ont fait certaines, mais bien au contraire, j’ai fêté la qualification comme le jour de l’Indépendance en 1962.» En parlant de Faouzi Chaouchi, khaleti El Djouher dira : «Chaouchi est comme mon fils. J’étais très déçue par ce qui lui est arrivé en Angola face à l’Egypte. Moi, à sa place, j’aurais frappé Koffi Codjia avec tafdist (marteau) à la tête.»
«Lounès est un fan de Matoub et danse beaucoup lors des fêtes»
En dernier lieu, la maman de Lounès Gaouaoui a révélé quelques facettes de la vie privée de son fils, comme par exemple ses goûts musicaux : «Mon fils adore écouter Matoub et danse beaucoup lors des fêtes de mariage. Il aime le couscous, el makrout et lekhfaf. Ses enfants ont hâte de le voir.» Et de conclure : «Je suis fière de l’avoir donné à l’Algérie qui a besoin de ses services aujourd’hui. Je souhaite que le drapeau algérien soit toujours au sommet.»
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