Japon - Une ancienne employée de l'enseigne accuse la direction de la marque au Japon de pousser à la démission ou de licencier les employées considérées comme trop "âgées, moches, grosses".
Rina Bovrisse a 36 ans, et a été un temps employée par Prada avant d'être renvoyée. Et c'est bien ce renvoi que la jeune femme dénonce aujourd'hui, accusant l'enseigne de licenciement abusif en raison de sa prétendue laideur, explique Le Monde. Ainsi, elle affirme aujourd'hui vouloir porter l'affaire en justice, pour obtenir réparation, mais également au nom des nombreuses autres ex-employées de Prada qui auraient été renvoyées injustement en raison de leur physique. Le 14 mai prochain, Mme Bovrisse devrait ainsi réclamer devant la justice l'annulation de son licenciement afin d'obtenir alors réparation du préjudice. Si on en croit la plaignante, la direction de Prada Japon aurait ainsi poussé plusieurs employées à la démission, leur reprochant d'être "âgées, moches, grosses, d'avoir une mauvaise dentition et de ne pas être mignonne". Plus encore, Rina Bovrisse se serait vu demander de changer de look et de perdre du poids afin de mieux convenir au style de la marque, explique l'AFP. Et la plaignante d'ajouter qu'un directeur des ressources humaines lui aurait alors signifié avoir "honte" de sa laideur. Verdict en mai prochain.
zigonet
ils sont nuls chez prada , ils n'ont pas compris qu'on a tous besoin d'une ugly betty dans ses rangs
Rina Bovrisse a 36 ans, et a été un temps employée par Prada avant d'être renvoyée. Et c'est bien ce renvoi que la jeune femme dénonce aujourd'hui, accusant l'enseigne de licenciement abusif en raison de sa prétendue laideur, explique Le Monde. Ainsi, elle affirme aujourd'hui vouloir porter l'affaire en justice, pour obtenir réparation, mais également au nom des nombreuses autres ex-employées de Prada qui auraient été renvoyées injustement en raison de leur physique. Le 14 mai prochain, Mme Bovrisse devrait ainsi réclamer devant la justice l'annulation de son licenciement afin d'obtenir alors réparation du préjudice. Si on en croit la plaignante, la direction de Prada Japon aurait ainsi poussé plusieurs employées à la démission, leur reprochant d'être "âgées, moches, grosses, d'avoir une mauvaise dentition et de ne pas être mignonne". Plus encore, Rina Bovrisse se serait vu demander de changer de look et de perdre du poids afin de mieux convenir au style de la marque, explique l'AFP. Et la plaignante d'ajouter qu'un directeur des ressources humaines lui aurait alors signifié avoir "honte" de sa laideur. Verdict en mai prochain.
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