Au début c'est l'histoire des hommes comme elle se raconte dans les livres d'histoire, dans la guerre, dans la paix, dans le progrès également. Au début c'est l'histoire de l'enfance, du chocolat, des parfums de vanille et pour trouvé un point commun a toutes les enfances du monde on dira que ce sont les rires, l'éveil également, qu'il soit devant la terreur ou la joie. Ce sont sur ces champs d'humanité frais a peine touché par l'Homme que l'envie d'écrire m'a prise, sur ces lopins de terre exploitable où le meilleur reste a faire, où ni l'avidité au pouvoir et a l'argent ne sont venus planté leurs graine destructrice.
Partout où la joie s'en allais en voyage, dans sa cuisine, dans le ventre de sa maison, la mer était prés d'elle, même sans l'humidité et ses poissons c'était l'idée que partout où la joie promenais son regard elle avait a la possibilité de baigner son regard dans le profond d'une lagune dans l'eau revivifiante et immense d'une mine d'or que l'on appel la nature. Sa seul joie, son sacerdoce était de voir le monde beau sous toute ses latitudes, et l'offrir aux êtres humain pour leurs permettre de prendre le recul et tout reconsidéré, de tout remettre en question pour relativisé ses défaites, ses échecs et rechercher la mer, ou le sein de la terre pour mordre ce legs a pleine canines pour comprendre que ce qui nous touche un jour s'en va, et que rien n'est éternel.
La joie donc, dans sa vaste maison, était une belle dame seule, ses enfants naissait autant qu'il périssait. Vous me direz donc comment une mère peut voir mourir ses enfants sans se consumer intérieurement car même malgré le renouvellement du cycle de la vie le cœur s'écorche et fini par ne plus avoir de force. Ceci n'était possible que pour elle, non pas qu'elle n'étais pas réglée pour ne pas souffrir, elle était faite du même métal par exemple que la sérénité ou que le bonheur, mais la joie se renouvelais au contact des éléments chaque anniversaire, chaque bougie, chaque mariage, chaque victoire du genre humain régénérais son cortex de façon a ce qu'elle trouvais de façon perpétuelle matière a voir le monde sous un jour nouveau.
Elle mettais du cœur a l'ouvrage c'est indéniable, mais depuis la nuit des temps elle avait comme voisine la tristesse, voisine ratatiné et laide, qui se trouvais splendide face au miroirs fataliste du désespoir son cousin qu'elle ne cessait de visiter les soir obscurs et touffus des gueules de bois.
La tristesse vivait près des volcans de colère dans un village peuplé de tout ce qui ajouterait a son état d'âme des raisons de souffrir plus, voire de mourir lâchement une corde au cou, lacérant des veines de métal dans une salle de bain poisseuse ou dans un living room rongé par les rats...
La tristesse n'étais pas près de la mer, car elle n'aimait pas la profondeur, elle n'aimais pas prendre le recul, non, elle avait creusé des tombes autour de sa demeure et le soir, elle ne les recouvrais pas et son seul et unique rêve était de tombé a jamais dans l'ombre de l'oubli. Et si elle ne tombais pas elle frappais a la porte du troquet sordide où buvais a la santé de Lucifer la haine, la violence et la colère.
Le joie qui connaissait bien la tristesse savais qu'au fond d'elle la tristesse détestais ces troquets nauséabond, ces tenanciers puant et ses habitués au pieds sales, et l'on pouvais dire que tout ceci l'effrayait et que tel un enfant maudit elle rêverais de ne plus avoir a les croisé mais qu'une accumulations de choses la poussait a chaque fois vers ces vermines ensanglantées...Ces pantins rouge et fumants, ces argiles boueuses qui dessine le visage de l'Homme dans sa colère le rendant méconnaissable a ses enfants ou sa propre femme.
Un jour que la mer se faisait basse et que la joie n'avais plus beaucoup de travail, quant le monde était en guerre et qu'elle refusait de rendre heureux l'homme d'avoir tué l'homme, la joie confectionnât un joli bouquet de mots et s'en alla voir la tristesse, elle ne frappa pas a la porte elle savait qu'elle ne lui ouvrirais pas, elle décida donc de pousser la porte, car au contraire de chez elle le verrou de la tristesse n'existait pas, comme s'il était plus simple d'être triste que joyeux, comme si...
La joie trouvais la tristesse devant une femme âgée lui disant qu'elle ne plairais plus a aucun homme, qu'elle effrayait les enfants et que ces jour étaient comptés...La joie décida alors de souffler a l'oreille de la vieille que les cheveux blanc sont sagesse que l'histoire de sa peau est un puits inépuisable et que les yeux qui on vu la guerre sont les miroirs sans teint de l'absurdité humaine et que l'adulte devrait y lire les leçons a retenir pour ne plus faire couler le sang. La tristesse n'ayant pas vu la joie sur son épaule fut heureuse de voir la joie lui rendre visite, mais comme elle n'avais pas le droit a cela elle fronçais les sourcils et jurais de la malmené si jamais elle ne quittais pas sa maison.
Voyez vous c'est ici que j'ai compris la raison pour laquelle le joie ne faiblissait pas face a la mort de ses enfants, en réalité elle y puisait la force pour combattre la tristesse, pour trouver les arguments qui la ferons sourire a la vie et ne plus jamais mettre les pieds dans l'enfer de taverne fatalité.
La joie lui parlais de milles hommes nés le sourires au lèvres, de milles enfants au ballon de football, de larmes au Gange écouler et des arc en ciel recueilli d'Irlande, elle disait a la tristesse que la vie n'était pas toujours rose mais que près de soi il fallais avoir la mer pour tout noyer, enfouir, pas pour oublier car c'est impossible mais pour diluer la peine et l'affliction pour la rendre malléable et la façonné en quelque chose d'acceptable.
La tristesse accepta cela, et plia bagage et ils traversèrent ensemble les terres arides, parfois fertiles du monde des hommes, mais ils se perdirent en chemin. Malgré cela la joie ne perdais pas sa foi car a chaque fois qu'elle posais son regard au loin la tristesse creusais avec ses ongles le sol pour y voir surgir une mer éternelle et une source intarissable qui s'appelle l'espoir.
Chaarar,
Partout où la joie s'en allais en voyage, dans sa cuisine, dans le ventre de sa maison, la mer était prés d'elle, même sans l'humidité et ses poissons c'était l'idée que partout où la joie promenais son regard elle avait a la possibilité de baigner son regard dans le profond d'une lagune dans l'eau revivifiante et immense d'une mine d'or que l'on appel la nature. Sa seul joie, son sacerdoce était de voir le monde beau sous toute ses latitudes, et l'offrir aux êtres humain pour leurs permettre de prendre le recul et tout reconsidéré, de tout remettre en question pour relativisé ses défaites, ses échecs et rechercher la mer, ou le sein de la terre pour mordre ce legs a pleine canines pour comprendre que ce qui nous touche un jour s'en va, et que rien n'est éternel.
La joie donc, dans sa vaste maison, était une belle dame seule, ses enfants naissait autant qu'il périssait. Vous me direz donc comment une mère peut voir mourir ses enfants sans se consumer intérieurement car même malgré le renouvellement du cycle de la vie le cœur s'écorche et fini par ne plus avoir de force. Ceci n'était possible que pour elle, non pas qu'elle n'étais pas réglée pour ne pas souffrir, elle était faite du même métal par exemple que la sérénité ou que le bonheur, mais la joie se renouvelais au contact des éléments chaque anniversaire, chaque bougie, chaque mariage, chaque victoire du genre humain régénérais son cortex de façon a ce qu'elle trouvais de façon perpétuelle matière a voir le monde sous un jour nouveau.
Elle mettais du cœur a l'ouvrage c'est indéniable, mais depuis la nuit des temps elle avait comme voisine la tristesse, voisine ratatiné et laide, qui se trouvais splendide face au miroirs fataliste du désespoir son cousin qu'elle ne cessait de visiter les soir obscurs et touffus des gueules de bois.
La tristesse vivait près des volcans de colère dans un village peuplé de tout ce qui ajouterait a son état d'âme des raisons de souffrir plus, voire de mourir lâchement une corde au cou, lacérant des veines de métal dans une salle de bain poisseuse ou dans un living room rongé par les rats...
La tristesse n'étais pas près de la mer, car elle n'aimait pas la profondeur, elle n'aimais pas prendre le recul, non, elle avait creusé des tombes autour de sa demeure et le soir, elle ne les recouvrais pas et son seul et unique rêve était de tombé a jamais dans l'ombre de l'oubli. Et si elle ne tombais pas elle frappais a la porte du troquet sordide où buvais a la santé de Lucifer la haine, la violence et la colère.
Le joie qui connaissait bien la tristesse savais qu'au fond d'elle la tristesse détestais ces troquets nauséabond, ces tenanciers puant et ses habitués au pieds sales, et l'on pouvais dire que tout ceci l'effrayait et que tel un enfant maudit elle rêverais de ne plus avoir a les croisé mais qu'une accumulations de choses la poussait a chaque fois vers ces vermines ensanglantées...Ces pantins rouge et fumants, ces argiles boueuses qui dessine le visage de l'Homme dans sa colère le rendant méconnaissable a ses enfants ou sa propre femme.
Un jour que la mer se faisait basse et que la joie n'avais plus beaucoup de travail, quant le monde était en guerre et qu'elle refusait de rendre heureux l'homme d'avoir tué l'homme, la joie confectionnât un joli bouquet de mots et s'en alla voir la tristesse, elle ne frappa pas a la porte elle savait qu'elle ne lui ouvrirais pas, elle décida donc de pousser la porte, car au contraire de chez elle le verrou de la tristesse n'existait pas, comme s'il était plus simple d'être triste que joyeux, comme si...
La joie trouvais la tristesse devant une femme âgée lui disant qu'elle ne plairais plus a aucun homme, qu'elle effrayait les enfants et que ces jour étaient comptés...La joie décida alors de souffler a l'oreille de la vieille que les cheveux blanc sont sagesse que l'histoire de sa peau est un puits inépuisable et que les yeux qui on vu la guerre sont les miroirs sans teint de l'absurdité humaine et que l'adulte devrait y lire les leçons a retenir pour ne plus faire couler le sang. La tristesse n'ayant pas vu la joie sur son épaule fut heureuse de voir la joie lui rendre visite, mais comme elle n'avais pas le droit a cela elle fronçais les sourcils et jurais de la malmené si jamais elle ne quittais pas sa maison.
Voyez vous c'est ici que j'ai compris la raison pour laquelle le joie ne faiblissait pas face a la mort de ses enfants, en réalité elle y puisait la force pour combattre la tristesse, pour trouver les arguments qui la ferons sourire a la vie et ne plus jamais mettre les pieds dans l'enfer de taverne fatalité.
La joie lui parlais de milles hommes nés le sourires au lèvres, de milles enfants au ballon de football, de larmes au Gange écouler et des arc en ciel recueilli d'Irlande, elle disait a la tristesse que la vie n'était pas toujours rose mais que près de soi il fallais avoir la mer pour tout noyer, enfouir, pas pour oublier car c'est impossible mais pour diluer la peine et l'affliction pour la rendre malléable et la façonné en quelque chose d'acceptable.
La tristesse accepta cela, et plia bagage et ils traversèrent ensemble les terres arides, parfois fertiles du monde des hommes, mais ils se perdirent en chemin. Malgré cela la joie ne perdais pas sa foi car a chaque fois qu'elle posais son regard au loin la tristesse creusais avec ses ongles le sol pour y voir surgir une mer éternelle et une source intarissable qui s'appelle l'espoir.
Chaarar,
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