La meilleure défense face à la volonté de criminaliser les militants qui assistent un peuple en danger, c’est la riposte collective. C’est pourquoi nous serons très nombreux à répondre "présents" à l’appel des signataires du Manifeste BDS, le mardi 30 mars, à l’occasion de la Journée de la Terre.
Près de 2000 personnes (1994 très exactement), ont signé, en l’espace de 3 semaines, un appel à boycotter l’occupant israélien.
Dans la lignée du "Manifeste des 121" qui avaient refusé, en 1960, de partir faire la guerre en Algérie, ou des 343 femmes qui avaient déclaré publiquement avoir avorté en 1970, les signataires du manifeste BDS ont envoyé un message fort à nos dirigeants à la solde du lobby israélien.
Un message qui dit : vos mensonges, vos calomnies, votre chantage à l’antisémitisme, vos simulacres de procès, ne nous intimident pas. Contrairement à vous, nous avons une conscience, des principes et du respect pour les droits de l’Homme et le droit international.
Nous en avons assez de votre collaboration avec des criminels de guerre. Puisque vous ne voulez prendre aucune sanction contre le terrorisme d’Etat israélien —bien au contraire !— nous participons de manière citoyenne à la campagne de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) contre l’occupant israélien.
Nous l’avons fait, pour les moins jeunes d’entre nous, quand il s’est agi de boycotter l’Afrique du Sud de l’Apartheid. Nous le faisons quand il s’agit de faire cesser une persécution bien pire du peuple Palestinien.
Ronnie Kasrils, ancien commandant militaire de l’ANC et ministre sud-africain de la sécurité jusqu’en 2008, né de parents juifs, dit que ce qu’il a vu en Palestine, (avant les massacres de Gaza), était "infiniment pire que l’apartheid". "Aucun bantoustan, a-t-il écrit, n’a jamais été bombardé par des avions, pulvérisé par des chars". Et l’opération "Plomb durci" a fait dire à une délégation de parlementaires sud-africains qu’elle faisait ressembler l’apartheid de chez eux à "un pique-nique dominical".
Ci-dessous l’appel à un Rassemblement le mardi 30 mars 2010 à 18 H 30. Il concerne la capitale où se trouve le ministère de la Justice, mais aussi les autres villes, tout autant concernées par le sujet.
CAPJPO-EuroPalestine
Près de 2000 personnes (1994 très exactement), ont signé, en l’espace de 3 semaines, un appel à boycotter l’occupant israélien.
Dans la lignée du "Manifeste des 121" qui avaient refusé, en 1960, de partir faire la guerre en Algérie, ou des 343 femmes qui avaient déclaré publiquement avoir avorté en 1970, les signataires du manifeste BDS ont envoyé un message fort à nos dirigeants à la solde du lobby israélien.
Un message qui dit : vos mensonges, vos calomnies, votre chantage à l’antisémitisme, vos simulacres de procès, ne nous intimident pas. Contrairement à vous, nous avons une conscience, des principes et du respect pour les droits de l’Homme et le droit international.
Nous en avons assez de votre collaboration avec des criminels de guerre. Puisque vous ne voulez prendre aucune sanction contre le terrorisme d’Etat israélien —bien au contraire !— nous participons de manière citoyenne à la campagne de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) contre l’occupant israélien.
Nous l’avons fait, pour les moins jeunes d’entre nous, quand il s’est agi de boycotter l’Afrique du Sud de l’Apartheid. Nous le faisons quand il s’agit de faire cesser une persécution bien pire du peuple Palestinien.
Ronnie Kasrils, ancien commandant militaire de l’ANC et ministre sud-africain de la sécurité jusqu’en 2008, né de parents juifs, dit que ce qu’il a vu en Palestine, (avant les massacres de Gaza), était "infiniment pire que l’apartheid". "Aucun bantoustan, a-t-il écrit, n’a jamais été bombardé par des avions, pulvérisé par des chars". Et l’opération "Plomb durci" a fait dire à une délégation de parlementaires sud-africains qu’elle faisait ressembler l’apartheid de chez eux à "un pique-nique dominical".
Ci-dessous l’appel à un Rassemblement le mardi 30 mars 2010 à 18 H 30. Il concerne la capitale où se trouve le ministère de la Justice, mais aussi les autres villes, tout autant concernées par le sujet.
CAPJPO-EuroPalestine
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