Une autre façon d'envisager la mort

[absent]

j'ai perdu un ami hier , le même jour que rico rebi yerhmehoum, wellah je ne sais quoi pensé.


je suis triste mais d'un autre coté c'était une délivrance, car mon ami était condamné, lui même souhaité ça propre mort il souffrait physiquement, il souffrait moralement du faite qu'il dépendait des autres. quand on m'a informé de son décés toutes les discussion que j'ai eu avec lui pour lui faire oublier se qu'il souffrait ont remonté d'un coup. j'avoue que j'avais du mal à parler j'ai rien pu dire à sa maman.

mais ce qui sure c'est que je me suis maudit, je me suis haï , je vaux quoi si je ne peux même pas avant qu'il rejoins leur dernière demeure.

[absente]

Ce n'est pas la mort qui fait peur mais les conditions, être malade, souffrir et surtout faire souffrir notre entourage, c'est ça qui fait le plus peur.

@ - proDZ -Rabi yarham ton ami ainsi que Rico.
On est tous pareils, après la disparition d'une personne proche, on ne trouve rien à dire à cause du choc, et de toute façon il n'y a plus rien a dire.

[zginga]

pourquoi on est choqués à chaque fois que ça arrive à quelqu'un autour de nous comme si c'etait la première fois qu'une telle chose se produit ??

on est pas choqué , on est juste triste et affecté surtout qd la personne est tres proche ,ca te laisse pas indifférent

[rosier belda]

Oui... La mort ne peut laisser indifférent et de surcroît celle d'un proche. Même le Prophète (asws) lui qui est le plus proche de Dieu et au fait de détails de la mort, avait laisser couler quelques larmes pour un de ses fils mort, même si ce fils était tout petit bébé (Ibrahim).