Premiers Marocains au Brésil dès 1754
Il convient par exemple de rappeler que les premiers Marocains à s'installer au Brésil, le firent dès l'année 1754. Ils venaient d'Assilah. Je pense qu'on peu aussi les prendre en compte même si ce sont des Juifs vu qu'on parle aussi des Chrétiens ou Musulmans.
Extrait de l'article du Matin 17/011/2010
http://www.maghress.com/fr/lematin/126438
Cette audience avait pour objet, entre autres, d'informer officiellement les hautes autorités de Rio de la création de l'AACBM et de tracer une « feuille de route » devant le Maire. Attentif, celui-ci a exprimé sa grande satisfaction de voir se créer une association d'amitié entre les deux peuples, à un moment où le Brésil s'ouvre de plus en plus de l'autre côté de l'Atlantique. Et la nomination – avec le soutien du Brésil - de Nawal Moutawakil en qualité de présidente de la Commission des Jeux Olympiques de Rio en 1916 s'inscrit dans la droite ligne de l'amitié entre les deux pays. Après avoir écouté avec intérêt les exposés faits par les membres de l'AACBM sur le programme d'activités et d'échanges prévu, Eduardo Païs s'est dit en effet disposé à accorder son soutien à l'association et la ville de Rio accueillera pour sa part tout événement, économique, culturel et sportif susceptible de renforcer les liens entre sa ville et le Maroc. Aussi bien Jalil Sefraoui, à son titre de secrétaire général que Samuel Anidjar à celui de natif du Maroc et de président de la Communauté juive marocaine, que Claudine Bichara, amie du Maroc et José Francisco Gouvéa Viera, consul général honoraire à Rio, ont tour à tour souligné l'opportunité de l'initiative devant le maire.
Ils ont également exprimé leur irréductible volonté de s'inscrire dans une nouvelle dynamique : renforcer la singularité d'une relation porteuse entre le Maroc et le Brésil. Moyennant quoi, l'exposé fait devant Eduardo Païs sur l'évolution politique, économique et sociale du Maroc met en exergue la convergence géographique, notamment l'Atlantique comme lien de rapprochement, civilisationnelle et humaine entre les deux peuples, ainsi que leur vocation à assumer un futur commun.
Car, au-delà des vicissitudes et des temporalités, un destin commun rapproche les deux peuples. Peut-être, en effet, convient-il de rappeler qu'au cours de la lointaine année…1754 déjà un premier groupe de Marocains, des Juifs originaires de Asilah notamment, débarquait à Belem Do Pra, dans le nord du Brésil après une longue et périlleuse traversée qui avait duré des semaines, confrontés aux tempêtes et aux intempéries.
Il convient par exemple de rappeler que les premiers Marocains à s'installer au Brésil, le firent dès l'année 1754. Ils venaient d'Assilah. Je pense qu'on peu aussi les prendre en compte même si ce sont des Juifs vu qu'on parle aussi des Chrétiens ou Musulmans.
Extrait de l'article du Matin 17/011/2010
http://www.maghress.com/fr/lematin/126438
Cette audience avait pour objet, entre autres, d'informer officiellement les hautes autorités de Rio de la création de l'AACBM et de tracer une « feuille de route » devant le Maire. Attentif, celui-ci a exprimé sa grande satisfaction de voir se créer une association d'amitié entre les deux peuples, à un moment où le Brésil s'ouvre de plus en plus de l'autre côté de l'Atlantique. Et la nomination – avec le soutien du Brésil - de Nawal Moutawakil en qualité de présidente de la Commission des Jeux Olympiques de Rio en 1916 s'inscrit dans la droite ligne de l'amitié entre les deux pays. Après avoir écouté avec intérêt les exposés faits par les membres de l'AACBM sur le programme d'activités et d'échanges prévu, Eduardo Païs s'est dit en effet disposé à accorder son soutien à l'association et la ville de Rio accueillera pour sa part tout événement, économique, culturel et sportif susceptible de renforcer les liens entre sa ville et le Maroc. Aussi bien Jalil Sefraoui, à son titre de secrétaire général que Samuel Anidjar à celui de natif du Maroc et de président de la Communauté juive marocaine, que Claudine Bichara, amie du Maroc et José Francisco Gouvéa Viera, consul général honoraire à Rio, ont tour à tour souligné l'opportunité de l'initiative devant le maire.
Ils ont également exprimé leur irréductible volonté de s'inscrire dans une nouvelle dynamique : renforcer la singularité d'une relation porteuse entre le Maroc et le Brésil. Moyennant quoi, l'exposé fait devant Eduardo Païs sur l'évolution politique, économique et sociale du Maroc met en exergue la convergence géographique, notamment l'Atlantique comme lien de rapprochement, civilisationnelle et humaine entre les deux peuples, ainsi que leur vocation à assumer un futur commun.
Car, au-delà des vicissitudes et des temporalités, un destin commun rapproche les deux peuples. Peut-être, en effet, convient-il de rappeler qu'au cours de la lointaine année…1754 déjà un premier groupe de Marocains, des Juifs originaires de Asilah notamment, débarquait à Belem Do Pra, dans le nord du Brésil après une longue et périlleuse traversée qui avait duré des semaines, confrontés aux tempêtes et aux intempéries.
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