Les Français issus de l’immigration qui donnent la bonne image : réussir en devenant entrepreneur, où la positive immigration attitude. Prenons exemple sur eux, copions les car ce type de copiage est, non seulement autorisé, mais également très souhaitable.
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… Dix «Français issus de l’immigration», comme les désignent une formule médiatique convenue, dix destins professionnels réussis. La preuve par neuf que la France «communautaire», l’Hexagone des banlieues, ne se réduit pas au lancer désespéré des cocktails Molotov et aux jeunes masqués de mouchoirs imbibés de vinaigre. Grand prêtre de la cérémonie, Renaud Dutreil, ministre en charge des lieux, arbore une mine souriante. Heureux de présenter, en présence des caméras, l’image d’une banlieue à même de cultiver des carrières réussies et de beaux challenges. Et rien de plus crédible pour ce chiraquien de l’équipe De Villepin que de faire défiler à la tribune, en les récompensant, dix exemples de réussites. Lauréats enviés des «Trophées de la Diversité Entrepreneuriale».
Au rang de ce petit groupe de chefs d’entreprises confirmés ou en devenir, trois originaires d’Algérie, un du Maroc, un de Tunisie, un de Côte d’Ivoire, un du Cambodge, ex-contrée d’un «empire colonial» qui a vécu mais qui n’en continue pas d’exister dans l’esprit de ce que l’historien Benjamin Stora qualifie de porteurs de la «mémoire sudiste». Les «Algériens» ont pour nom Soumia Belaïdi Mallinbaum, PDG de Société Spécimen, spécialisée dans l’ingénierie et les nouvelles technologies, Hami Bouyacoub, PDG de Cegis-Groupe Financière Duval adossé au consulting commercial, et Kacem Kaci Aït-Yala, chef d’entreprise à la carte de visite connue activant de part et d’autre de la Méditerranée (France, Algérie, Maroc), PDG de Universal Multimédia, une société bien référencée dans l’annuaire du MEDEF. ….
Le Quotidien d’Oran
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Question :
Est-ce que cette réussite est copiable par d’autres jeunes issues de l’émigration ?
Pourquoi il n’y a pas plus de réussite ?
Est-ce que c’est une question de chance, de volonté, d’environnement familial et social ?
Ces exemples peuvent ils encourager la grande masse des immigrés qui cherchent une voie ?
Comment communiquer positivement ces exemples auprès des jeunes des banlieues ?
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… Dix «Français issus de l’immigration», comme les désignent une formule médiatique convenue, dix destins professionnels réussis. La preuve par neuf que la France «communautaire», l’Hexagone des banlieues, ne se réduit pas au lancer désespéré des cocktails Molotov et aux jeunes masqués de mouchoirs imbibés de vinaigre. Grand prêtre de la cérémonie, Renaud Dutreil, ministre en charge des lieux, arbore une mine souriante. Heureux de présenter, en présence des caméras, l’image d’une banlieue à même de cultiver des carrières réussies et de beaux challenges. Et rien de plus crédible pour ce chiraquien de l’équipe De Villepin que de faire défiler à la tribune, en les récompensant, dix exemples de réussites. Lauréats enviés des «Trophées de la Diversité Entrepreneuriale».
Au rang de ce petit groupe de chefs d’entreprises confirmés ou en devenir, trois originaires d’Algérie, un du Maroc, un de Tunisie, un de Côte d’Ivoire, un du Cambodge, ex-contrée d’un «empire colonial» qui a vécu mais qui n’en continue pas d’exister dans l’esprit de ce que l’historien Benjamin Stora qualifie de porteurs de la «mémoire sudiste». Les «Algériens» ont pour nom Soumia Belaïdi Mallinbaum, PDG de Société Spécimen, spécialisée dans l’ingénierie et les nouvelles technologies, Hami Bouyacoub, PDG de Cegis-Groupe Financière Duval adossé au consulting commercial, et Kacem Kaci Aït-Yala, chef d’entreprise à la carte de visite connue activant de part et d’autre de la Méditerranée (France, Algérie, Maroc), PDG de Universal Multimédia, une société bien référencée dans l’annuaire du MEDEF. ….
Le Quotidien d’Oran
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Question :
Est-ce que cette réussite est copiable par d’autres jeunes issues de l’émigration ?
Pourquoi il n’y a pas plus de réussite ?
Est-ce que c’est une question de chance, de volonté, d’environnement familial et social ?
Ces exemples peuvent ils encourager la grande masse des immigrés qui cherchent une voie ?
Comment communiquer positivement ces exemples auprès des jeunes des banlieues ?
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