En rentrant de l'université, un groupe l'a intercepté, avec des couteaux, un derrière son dos, un autre au niveau de son cou, et encore, ils étaient plus cinq.
Pourtant, entre l'université et la cité universitaire, on n'a que huit cents mètres à parcourir, et quand même on trouve le temps et le moyen de nous agresser.
J'ai pu voir son moral brisé. Je lui ai demandé pourquoi il était dans un tel état, il m'a répondu qu'on lui avait pris son téléphone. Au début, j'ai cru à une perte ou à un moment d'inattention mais elle s'est avérée une agression à l'arme blanche.
Je n'ai pas su placer les mots pour le réconforter, j'étais hors de moi.
Il m'a appris ensuite que ce n'était pas la première fois et qu'il n'était pas la seule victime.
Les étudiants assistent aux agressions de certains d'entre eux mais ils ne réagissent pas, soit disant, de peur de représailles. Sauf qu'en agissant de cette façon, ils approuvent en quelque sorte et deviennent des victimes potentielles à leur tour.
Pourtant, entre l'université et la cité universitaire, on n'a que huit cents mètres à parcourir, et quand même on trouve le temps et le moyen de nous agresser.
J'ai pu voir son moral brisé. Je lui ai demandé pourquoi il était dans un tel état, il m'a répondu qu'on lui avait pris son téléphone. Au début, j'ai cru à une perte ou à un moment d'inattention mais elle s'est avérée une agression à l'arme blanche.
Je n'ai pas su placer les mots pour le réconforter, j'étais hors de moi.
Il m'a appris ensuite que ce n'était pas la première fois et qu'il n'était pas la seule victime.
Les étudiants assistent aux agressions de certains d'entre eux mais ils ne réagissent pas, soit disant, de peur de représailles. Sauf qu'en agissant de cette façon, ils approuvent en quelque sorte et deviennent des victimes potentielles à leur tour.
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