Au consulat général d’Algérie en France

[amarimaa]

ha ha ha ha!!!
en tous cas c'est vrai que pour celui de vitry il y a eu du progrès: quand on arrive il y a même un numéro à prendre...et on attend sagement notre tour...

[Absente]

nedjma

....pit etre....

[amazigh.93]

Personne n'a vu le consulat de Bobigny, parceque j'ai ete agreablement surpris, il est assez grands, sa a l'air organisé et l'interieur est bien decoré

[Space]

oui il est beaucoup mieux que l'anciens a aubervilliers
il y'a mm un distributeur de tickets , et des canapés pour les personne agée ,
j'ai trouvée ça sympas ........

[lily]

marseille

celui de marseille tu nas meme plus besoin de partir tu es deja au bled !
il ne manque que le vendeur de sardines!

[Bachi]

Le nouveau consulat de Montréal, je le trouve tout à fait correct...

Et j'ai toujours, toujours, un service parfait.

Un passeport, une nouvelle carte d'immatriculation, une carte d'identité, délivrés sur place, le jour même.
Vraiment rien à en redire...

[irene]

bonsoir,
Connaissez-vous le Consulat d'Algérie à Nanterre, Haut de Seine 92 ? C'est là que je vais allé pour me renseigner pour Zekara
merci pour vos réponses

[Avucic]

vous n'avez rien vu , le consulat d’Algérie a Montréal est pire

Tiens ça me surprend beaucoup!

Moi la derniére fois que j'ai eu affaire au consulat à Montréal c'était:

1. En 1997 quand j'ai reçu une lettre me disant que mon passeport était prêt.
Je croyais que c'était une blague ... oui oui ... à titre de curieux j'ai téléphoné et on m'a confirmé qu'il suffisait que je passe avec 2 photos (oui 2) et qu'on me le livrait le jour même!

Comme je n'avais jamais demandé ce passeport, lors de mon passage à Montréal, je me suis rendu au consulat.

Et croyez le ou non j'ai eu mon passeport dans l'après midi: Il a suffi de 2 photos !

2. Lors des élections de 1999 ... j'étais aussi de passage à Montréal: Curieux, je suis passé au Consulat général. On me demande ce que je voulais.
J'ai répondu "gentiment" que en tant que citoyen algérien je suis venu voir à quoi ressemblait le nouveau consulat (Ils ont déménagé de Sherbrooke à Guy..) et on me dit:C'est tout?"

Le gars me regarde d'un air étonné et je lui demande si ça allait bien ...il continue à me zyeuter .. et là je lui "La prochaine fois, il faudra peut être penser AU THÉ!" ... le pauvre n'a rien compris!

Avec un accueil correct ... mais je dois dire qu'ils ont été bien polis, et n'a peut être pas saisi que je souhaitait qu'on m'offre du thé à ma prochaine visite!

[absente]

Le consulat d'Algérie á Bonn,

Beaux quartiers et belle demeure . Le coté positif s'arrete lá !
Les employés y sont pire que désagréables et incompétants.

[Hello Kitty]

Citation:
C’est quoi le visa D? demande-t-il une dernière fois au jeune
Qui, parmi les forumistes, peut répondre?

Le Dico,
Je crois que c'est un visa long séjour. C'est celui qui est donné à l'époux/se qui rejoint son conjoint en France.

[sentenza]

Ah le fameux consulat d'Algérie !

Je peux vous en raconter des bonnes !

Pour ma part je dépend du consulat de Vitry sur Seine.

Il y a une dizaine d'années, avant qu'il ne soit déplacé, le consulat était dans un pavillon, tout près de la place du marché. Il était vraiment trop petit pour accueillir les visiteurs.
Les gens attendaient leur tour dans la cour. Une fois je suis arrivé à 10h, et bien je suis passé à 16h, et tout ça pour me dire : vous n'avez pas 18 ans, il faut la présence de votre père pour établir une carte d'identité

Maintenant il est beaucoup plus loin, à la limite d'Alfortville.
Il est un peu plus spacieux, et ressemble plus à un bâtiment administratif !

Malgré tous les déboires vécus au consulat, j'aimais y aller parce que j'avais l'impression d'être en Algérie. On se retrouvait entre compatriotes, et on discutait en français, en arabe, en kabyle.

J'y suis allé aussi chaque année pour le sursis militaire, la visite médicale était lamentable !

Maintenant, j'y vais tôt pour repartir le plus vite possible !

Mais l'agence Air Algérie d'Opéra restera pire que le consulat.

[morjane]

Connaissez-vous le Consulat d'Algérie à Nanterre, Haut de Seine 92 ? C'est là que je vais allé pour me renseigner pour Zekara

Je ne le connais pas mais sais tu que bientot il y aura la loi sur l'immigration , déja dite loi Sarkozy qui sera votée et à priori il risque d'y avoir des changements pour les algériens.
Loi Sarkozy

[Adhrhar]

Au Consulat général à Paris..., et sans rancune aucune, «Blédard»!

Pour sa chronique du jeudi 19 janvier dernier, le «Blédard» a situé la scène au 48, rue Bouret, à Paris 19ème. Là se trouve l’immeuble du Consulat général d’Algérie à Paris.

J’y vais tous les matins de la semaine. Qu’il pleuve ou qu’il vente. Y compris les jours fériés. J’y passe entre 8 et 10 heures par jour. Il le faut bien. J’en suis le premier responsable. Mon devoir est de veiller à tout.

Ma première préoccupation, c’est la sécurité, celle de mes concitoyens et celle de l’institution. Et c’est bien pourquoi le stationnement n’est pas autorisé aux abords du bâtiment et des entrées. La rue est à sens unique et des barrières métalliques rendent impossible tout arrêt, même momentané, de quelque véhicule que ce soit. Le Blédard aurait dû s’en apercevoir, si tant est qu’il soit jamais venu dans un passé récent au 48, rue Bouret.

On accède à la grande salle du rez-de-chaussée par un sas, dont le fonctionnement est conçu d’une façon telle qu’il ne constitue pas un obstacle à l’entrée de nos concitoyens, dans le strict respect des règles de sécurité. Le sas est double et la sortie se fait par une autre voie, à sens unique.

Des agents de sécurité, fonctionnaires officiels de l’Etat algérien, veillent à tout. Y compris sur le fonctionnement du sas de sécurité, dont je n’ai pas à expliquer le mode d’emploi... pour des raisons de sécurité évidemment. Des dispositifs de surveillance, dont je ne peux assurément pas faire état dans le détail, fonctionnement en permanence. De plus, et comme dans toutes les institutions qui reçoivent le public dans le pays de résidence, de nombreuses caméras couvrent en continu tous les coins et recoins du bâtiment de cinq étages. Une console centrale permet une surveillance constante.

Dès l’entrée de nos concitoyens, les préposés à l’accueil remettent un numéro d’ordre à chacun et l’orientent vers le bureau concerné. Les services sont clairement identifiés dans les étages et aucune erreur n’est possible. Nous recevons jusqu’à 700 personnes par jour, ce chiffre pouvant atteindre des pointes de 1.000 en période de pointe !

Un autre de mes soucis permanents consiste à servir et à protéger mes concitoyens, dans le cadre des conventions et des accords bilatéraux. Grâce au dévouement des diplomates et des agents en poste, nous arrivons à faire face, même en période de pointe, à toutes nos obligations. Et elles sont nombreuses et variées. Il serait fastidieux de les énumérer ici. Mais il faut savoir que le Consulat général d’Algérie couvre une très vaste circonscription, englobant, en plus de Paris intra muros, 8 départements de l’Ile-de-France parmi les plus peuplés, ainsi que les départements et territoires d’outre-mer (DOM-TOM). Nous gérons des Algériens résidant dans des contrées aussi lointaines que la Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna, la Guyane, la Martinique ou la Guadeloupe. Le nombre d’immatriculés, en constante augmentation, est de près de 150.000.

Dans la grande salle, des sièges confortables, un grand écran de télévision. Un photomaton et une photocopieuse sont mis à la disposition de nos nationaux, qui attendent rarement plus de deux heures la prestation de service pour laquelle ils sont venus. Neuf guichets fonctionnent en permanence pour les cartes d’immatriculation consulaires, les passeports et les cartes nationales d’identité, documents qui sont délivrés dans la journée, même en période d’affluence. Certains papiers sont établis et remis en quelques minutes.

L’époque des longues attentes et de la bureaucratie ambiante est révolue et bien révolue. Une série de circulaires du ministère des Affaires étrangères datant de janvier 2003 a largement dépoussiéré la règlementation consulaire algérienne. Et nous en sommes fiers. Plus de 73.000 documents d’identité divers ont été établis et délivrés en 2005, ce qui donne une moyenne de près de 300 par jour, compte tenu des repos hebdomadaires et des fêtes. Le Consulat général a ouvert un site Internet: www.algerie.consulat-general-75.org et met à la disposition du public toutes les informations nécessaires aux démarches auprès des services consulaires. Les usagers peuvent télécharger tous les formulaires dont ils ont besoin, évitant ainsi les déplacements inutiles et les attentes fastidieuses. On peut y consulter aussi, et au besoin télécharger, entre autres, les lois et ordonnances portant code de la famille et de la nationalité. Les investisseurs peuvent, quant à eux, y trouver et télécharger l’ensemble des textes juridiques et règlementaires qui les intéressent. Il leur est loisible de prendre connaissance de toutes les dispositions incitatives prises en leur faveur par le gouvernement algérien.

Le Blédard pourrait consulter le site pour savoir, par exemple, quelles sont les pièces à fournir pour le visa de son choix. Le service de l’état civil a fourni, durant la même période, plus de 18.000 prestations. Il assure gratuitement la traduction des documents qui le concernent, et certifie la conformité du sceau pour faciliter les démarches de nos nationaux auprès des administrations locales. Mais contrairement à ce qu’écrit le Blédard, la traduction de documents commerciaux n’entre pas dans nos prérogatives. Et les actes de naissance que nous délivrons ne permettent pas de faire venir des enfants d’Alger. De toute évidence, le Blédard ne s’est pas documenté avant de chroniquer... L’Ambassadeur d’Algérie à Paris a visité le Consulat général le 17 janvier 2006 et s’est déclaré très agréablement surpris par l’ordre qui y règne et par la disponibilité, la compétence, la célérité et l’efficience des agents consulaires. Le 2ème étage du Consulat général a été choisi par notre Blédard de chroniqueur pour servir de scène à une longue discussion imaginaire entre des personnages de toute évidence fictifs. Une femme habillée à la marocaine, une jeune fille en hidjab écoutant... du disco sur un lecteur MP3 et qui chantonne (sic, dans un consulat !), un homme en bleu et en chaussures de... velours ! Tous ces personnages manquent pour le moins de... vérité. Cette discussion tourne lourdement autour de la régularisation de la situation apparemment inextricable d’un jeune algérien - fictif, il faut l’espérer - car le malheureux aurait été abandonné par son épouse, selon le scénario de la chronique. Or, à cet étage, le service des visas et celui du service national n’ont rien à voir avec une telle situation. Que feraient ces personnages, hommes et femmes, au service des visas, puisqu’il s’agirait, apparemment, de nationaux qui n’en ont pas besoin pour se rendre dans leur pays ou qui ne sont pas concernés par le service national ?

Et nous ne sommes pas en mesure de régulariser la situation des sans-papiers, étant liés par les Conventions signées par notre pays et par les usages internationaux.

Le Blédard aurait été, me semble-t-il, beaucoup mieux inspiré s’il avait choisi de faire se dérouler la scène qu’il décrit dans une salle d’attente de préfecture française, du fait même du dialogue qu’il développe.

Mais nos fonctionnaires, qui sont de fidèles lecteurs des journaux du pays et du «Quotidien d’Oran», ont été choqués par ce qu’écrit le Blédard. Nous citons: «... Une porte s’ouvre. Une bouche invisible aboie un nom». Les préposés aux visas ont été froissés par le verbe «aboyer». Et ce d’autant plus qu’ils travaillent derrière des guichets en verre largement ouverts sur la salle, et qu’ils utilisent, en cas de besoin, un micro pour appeler le numéro suivant. Et qu’ils n’ont pas de raison de faire entrer les demandeurs de visas dans un bureau, les pièces étant déposées au guichet et le retrait se faisant toujours au guichet, dans les 48 heures. Signalons au passage que le Consulat général a délivré, en 2005, 20.254 visas à des requérants de toutes les nationalités.

Sans doute pour assaisonner son écrit d’un zeste de «Bled», le Blédard écrit, je cite: «... Il ne cesse de racler le sol poussiéreux avec ses semelles». Remarquons, en passant, que le sol, recouvert de linoléum (bleu) pour amortir le bruit de pas, pourrait (pourquoi pas ?) être raclé silencieusement par des semelles. Mais il ne pouvait pas être poussiéreux, les trois dames chargées de la propreté le briquant deux fois par jour. Et les usagers n’ont pas l’habitude, à Paris, d’arriver dans les administrations avec des chaussures boueuses...

Vers la fin de sa chronique, le Blédard, dans une inspiration finale, écrit enfin: «Une voix féminine lasse appelle le bleu de travail qui se lève en sautillant...». Précisons, à nouveau, qu’aucune voix féminine, fût-elle lasse, n’appelle personne à cet étage, les dossiers pour les visas ne nécessitant pas d’entrevue particulière. De grâce, imaginons au moins une fois une fonctionnaire algérienne alerte et aimable... C’est pourtant possible ! Et ça existe !

Mais au fait, que faisait notre Blédard au service des visas, même en imagination ? Il n’était tout de même pas là pour demander un visa pour le «Bled» !

J’espère enfin que le Blédard ne s’offusquera pas de mes commentaires qui ne sont qu’une étude superficielle de son texte, motivée par le fait que je vis sur les lieux et en permanence toutes ces situations. J’ai commenté le fond. Quant à la forme... Il n’entre évidemment pas dans mes intentions de limiter en aucune façon la liberté de penser ou d’écrire de quiconque, et encore moins celle d’un journaliste. Sans rancune aucune, Blédard ! Je prendrai toujours plaisir à vous lire...

lequotidien d'Oran

[yassmine]

Il n'existe pas de site du consulat d'Algérie à Paris !! moi ça ne me donne rien !! et j'ai beau faire une recherche nada, à part Strasbourg et St Etienne qui ont en effet un site !! C'est bien dommage !!

[zinoo98]

Le quotidien d'Oran

c'est bien qu'il y a des forumistes qui lisent le QUOTIDIEN D'ORAN
Moi sur le net tout les matin je le lis mais je prefere le jedi et je ne rate pour rien au monde les chroniques de AKRAM BELKAID, je veux bien le rencontré ce monsieur!!!!!!