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Guantanamo
RYAD — Une Saoudienne a demandé le divorce après avoir découvert par hasard que son époux lui donnait pour surnom "Guantanamo" sur son téléphone portable, rapporte dimanche le quotidien al-Watan.
Selon le journal, la femme âgée d'une trentaine d'années et habitant la ville de Jeddah, a appelé son mari sur son portable. Mais il avait laissé l'appareil à la maison et elle a eu la mauvaise surprise de voir le mot "Guantanamo" s'afficher sur l'écran.
L'épouse furieuse a demandé le divorce, estimant qu'en lui attribuant un tel surnom, son mari la considérait comme une personne tyrannique et qu'elle ne pouvait plus continuer à vivre avec lui après 17 années de mariage.
Le centre de détention de Guantanamo, géré par l'armée américaine sur sa base à Cuba, est devenu le symbole des excès de la "guerre contre le terrorisme" lancée par George W. Bush après les attentats du 11-Septembre.
En juin dernier, les Etats-Unis avaient annoncé le transfèrement de trois détenus saoudiens de Guantanamo vers leur pays d'origine. Le président américain Barack Obama a annoncé la prochaine fermeture de ce centre de détention.
AFP
Selon le journal, la femme âgée d'une trentaine d'années et habitant la ville de Jeddah, a appelé son mari sur son portable. Mais il avait laissé l'appareil à la maison et elle a eu la mauvaise surprise de voir le mot "Guantanamo" s'afficher sur l'écran.
L'épouse furieuse a demandé le divorce, estimant qu'en lui attribuant un tel surnom, son mari la considérait comme une personne tyrannique et qu'elle ne pouvait plus continuer à vivre avec lui après 17 années de mariage.
Le centre de détention de Guantanamo, géré par l'armée américaine sur sa base à Cuba, est devenu le symbole des excès de la "guerre contre le terrorisme" lancée par George W. Bush après les attentats du 11-Septembre.
En juin dernier, les Etats-Unis avaient annoncé le transfèrement de trois détenus saoudiens de Guantanamo vers leur pays d'origine. Le président américain Barack Obama a annoncé la prochaine fermeture de ce centre de détention.
AFP
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