Le président du Front national devait officiellement garder son poste jusqu’au congrès de 2011 mais la date pourrait être avancée. Sa fille, Marine Le Pen, et Bruno Gollnisch sont sur les rangs pour lui succéder.
A 81 ans, Jean-Marie Le Pen annonce qu’il pourrait lâcher les rênes du Front national dès 2010, jugeant plus «raisonnable de passer la main».
«Ce sera en 2011 ou 2010», hésite le leader d’extrême droite, invité de France 2. Officiellement, le président du FN devait conserver son poste jusqu’au prochain congrès du parti prévu en 2011, mais dont la date pourrait être avancée. «Sauf événement extraordinaire, j’ai autre chose à faire que la direction du Front national», a justifié Le Pen, qui a participé à cinq présidentielles depuis 1974.
Interrogé sur une nouvelle candidature à la présidentielle de 2012, il a estimé «probable que non», renvoyant aux «militants et aux adhérents du FN» la responsabilité de trancher au congrès.
Le Pen s’est gardé d’afficher sa préférence entre ses deux successeurs potentiels, sa fille Marine, reboostée par la municipale partielle d’Hénin Beaumont, début juillet, et l’autre vice-président du parti, Bruno Gollnisch. «Ca peut être en effet Marine, ça peut être Gollnish et ça peut être quelqu’un d’autre, il y a d’autres candidats, il paraît. On verra bien», a-t-il éludé.
(Source AFP)
A 81 ans, Jean-Marie Le Pen annonce qu’il pourrait lâcher les rênes du Front national dès 2010, jugeant plus «raisonnable de passer la main».
«Ce sera en 2011 ou 2010», hésite le leader d’extrême droite, invité de France 2. Officiellement, le président du FN devait conserver son poste jusqu’au prochain congrès du parti prévu en 2011, mais dont la date pourrait être avancée. «Sauf événement extraordinaire, j’ai autre chose à faire que la direction du Front national», a justifié Le Pen, qui a participé à cinq présidentielles depuis 1974.
Interrogé sur une nouvelle candidature à la présidentielle de 2012, il a estimé «probable que non», renvoyant aux «militants et aux adhérents du FN» la responsabilité de trancher au congrès.
Le Pen s’est gardé d’afficher sa préférence entre ses deux successeurs potentiels, sa fille Marine, reboostée par la municipale partielle d’Hénin Beaumont, début juillet, et l’autre vice-président du parti, Bruno Gollnisch. «Ca peut être en effet Marine, ça peut être Gollnish et ça peut être quelqu’un d’autre, il y a d’autres candidats, il paraît. On verra bien», a-t-il éludé.
(Source AFP)
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