En Algérie, dix huit étudiants rentrés d’Egypte, après avoir décroché leurs magisters à l’Institut arabe d’études et de recherches du Caire, attendent impatiemment l’ultime étape pour continuer l’aventure intellectuelle et professionnelle, à savoir l’équivalence de leurs diplômes dans leur pays.
«Et pourtant, le ministre de l’Enseignement supérieur en personne nous l’avait promis à la veille de la présidentielle de 2007», rappelle l’un d’eux en exhibant la requête adressée au ministre.
«Il semblerait que c’est au niveau du service concerné que sont bloqués nos dossiers, pourtant transmis par l’ambassade d’Algérie en Egypte le 25 mai 2009 et, depuis, nous attendons cette équivalence nécessaire à la poursuite des études et à l’accès dans le monde professionnel», notent les étudiants dans leur requête, dont une copie fut remise au bureau de la LNR.
«Et dire que l’équivalence égyptienne nous fut remise dans les délais», se désole le représentant et d'interpeller le ministre de l’Enseignement supérieur «afin que soit levée cette contrainte locale avant la rentrée universitaire car les promos précédentes n’ont pas rencontré cet obstacle», conclura-t-il.
Par la Nouvelle République
«Et pourtant, le ministre de l’Enseignement supérieur en personne nous l’avait promis à la veille de la présidentielle de 2007», rappelle l’un d’eux en exhibant la requête adressée au ministre.
«Il semblerait que c’est au niveau du service concerné que sont bloqués nos dossiers, pourtant transmis par l’ambassade d’Algérie en Egypte le 25 mai 2009 et, depuis, nous attendons cette équivalence nécessaire à la poursuite des études et à l’accès dans le monde professionnel», notent les étudiants dans leur requête, dont une copie fut remise au bureau de la LNR.
«Et dire que l’équivalence égyptienne nous fut remise dans les délais», se désole le représentant et d'interpeller le ministre de l’Enseignement supérieur «afin que soit levée cette contrainte locale avant la rentrée universitaire car les promos précédentes n’ont pas rencontré cet obstacle», conclura-t-il.
Par la Nouvelle République
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