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profanation du cimetière juif

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  • #16
    ce qu'ils ont ecrit sur les tombe (foto2) montre qu'il ya la haine aucun respect au morts
    ya un mot a dire c'est triste comme a dit gaalad
    Je ne vois pas comment on pourraient respecter les morts, là ou l'on ne respecte meme pas les vivants !

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    • #17
      un vieux m'avait dit que si les cadavres n'etait pas programmé pour "puer" il y'aurait beaucoup de personnes que les vivants ne prendrait meme pas la peine d'enterrer

      rabi yahfadna
      « Puis-je rendre ma vie
      Semblable à une flûte de roseau
      Simple et droite
      Et toute remplie de musique »

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      • #18
        si les cadavres n'etait pas programmé pour "puer"
        ah la on va avoir des maison ,avec salon chambre a coucher, chambre enfant et chambre des morts " on revient aux momies "tu ne trouve pas??

        comment on pourraient respecter les morts, là ou l'on ne respecte meme pas les vivant
        ya un sketche " abdelkader secteur" tres marrant sur ça

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        • #19
          on se souvient d'un mort pour combien de temps?? et apres??
          « Puis-je rendre ma vie
          Semblable à une flûte de roseau
          Simple et droite
          Et toute remplie de musique »

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          • #20
            on se souvient d'un mort pour combien de temps?? et apres??
            tamerlan , et apres on ce pose la question mais il est ou?
            on oublie jamais une personne chere perdu " de vue"

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            • #21
              heureusement qu'on l'oublie...c'est une misericorde..

              tu te souviens de zadig de voltaire???
              « Puis-je rendre ma vie
              Semblable à une flûte de roseau
              Simple et droite
              Et toute remplie de musique »

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              • #22
                tu te souviens de zadig de voltaire???
                c'est qui zadoug je ne coné pa!!j'ai oublier
                serieusment je ne connais pas, c'est quoi l'histoire de zadig

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                • #23
                  extrait de zadig de voltaire

                  "Puisque j'ai essuyé, dit-il, un si cruel caprice d'une fille élevée à la cour, il faut que j'épouse une
                  citoyenne. Il choisit Azora, la plus sage et la mieux née de la ville; il l'épousa, et vécut un mois avec elle
                  dans les douceurs de l'union la plus tendre. Seulement il remarquait en elle un peu de légèreté, et
                  beaucoup de penchant à trouver toujours que les jeunes gens les mieux faits étaient ceux qui avaient le
                  plus d'esprit et de vertu.

                  Un jour Azora revint d'une promenade, tout en colère, et fesant de grandes exclamations. Qu'avez-vous,
                  lui dit-il, ma chère épouse? qui vous peut mettre ainsi hors de vous-même? Hélas! dit-elle, vous seriez
                  indigné comme moi, si vous aviez vu le spectacle dont je viens d'être témoin. J'ai été consoler la jeune
                  veuve Cosrou, qui vient d'élever, depuis deux jours, un tombeau à son jeune époux auprès du ruisseau qui
                  borde cette prairie. Elle a promis aux dieux, dans sa douleur, de demeurer auprès de ce tombeau tant que
                  l'eau de ce ruisseau coulerait auprès. Eh bien! dit Zadig, voilà une femme estimable qui aimait
                  véritablement son mari! Ah! reprit Azora, si vous saviez à quoi elle s'occupait quand je lui ai rendu
                  visite! A quoi donc, belle Azora? Elle fesait détourner le ruisseau. Azora se répandit en des invectives si
                  longues, éclata en reproches si violents contre la jeune veuve, que ce faste de vertu ne plut pas à Zadig.

                  Il avait un ami, nommé Cador, qui était un de ces jeunes gens à qui sa femme trouvait plus de probité et
                  de mérite qu'aux autres: il le mit dans sa confidence, et s'assura, autant qu'il le pouvait, de sa fidélité par
                  un présent considérable. Azora ayant passé deux jours chez une de ses amies à la campagne, revint le
                  troisième jour à la maison. Des domestiques en pleurs lui annoncèrent que son mari était mort
                  subitement, la nuit même, qu'on n'avait pas osé lui porter cette funeste nouvelle, et qu'on venait
                  d'ensevelir Zadig dans le tombeau de ses pères, au bout du jardin. Elle pleura, s'arracha les cheveux, et
                  jura de mourir. Le soir, Cador lui demanda la permission de lui parler, et ils pleurèrent tous deux. Le
                  lendemain ils pleurèrent moins, et dînèrent ensemble. Cador lui confia que son ami lui avait laissé la plus

                  grande partie de son bien, et lui fit entendre qu'il mettrait son bonheur à partager sa fortune avec elle. La
                  dame pleura, se fâcha, s'adoucit; le souper fut plus long que le dîner; on se parla avec plus de confiance.
                  Azora fit l'éloge du défunt; mais elle avoua qu'il avait des défauts dont Cador était exempt.

                  Au milieu du souper, Cador se plaignit d'un mal de rate violent; la dame, inquiète et empressée, fit
                  apporter toutes les essences dont elle se parfumait, pour essayer s'il n'y en avait pas quelqu'une qui fût
                  bonne pour le mal de rate; elle regretta beaucoup que le grand Hermès ne fût pas encore à Babylone; elle
                  daigna même toucher le côté où Cador sentait de si vives douleurs. Etes-vous sujet à cette cruelle
                  maladie? lui dit-elle avec compassion. Elle me met quelquefois au bord du tombeau, lui répondit Cador,
                  et il n'y a qu'un seul remède qui puisse me soulager: c'est de m'appliquer sur le côté le nez d'un homme
                  qui soit mort la veille. Voilà un étrange remède, dit Azora. Pas plus étrange, répondit-il, que les sachets
                  du sieur Arnoult[a] contre l'apoplexie. Cette raison, jointe à l'extrême mérite du jeune homme, détermina
                  enfin la dame. Après tout, dit-elle, quand mon mari passera du monde d'hier dans le monde du lendemain
                  sur le pont Tchinavar, l'ange Asrael lui accordera-t-il moins le passage parceque son nez sera un peu
                  moins long dans la seconde vie que dans la première? Elle prit donc un rasoir; elle alla au tombeau de
                  son époux, l'arrosa de ses larmes, et s'approcha pour couper le nez à Zadig, qu'elle trouva tout étendu
                  dans la tombe. Zadig se relève en tenant son nez d'une main, et arrêtant le rasoir de l'autre. Madame, lui
                  dit-il, ne criez plus tant contre la jeune Cosrou; le projet de me couper le nez vaut bien celui de détourner
                  un ruisseau."
                  « Puis-je rendre ma vie
                  Semblable à une flûte de roseau
                  Simple et droite
                  Et toute remplie de musique »

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                  • #24
                    merci timerlan, ma signature est une bele parole de voltaire.
                    je vais me coucher ,beslama mon frere

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