J'ai dit à l'algérienne et non pas à l'israelienne , car tirer sur des enfants et massacrer des civils innocents c'est post franco-israelien . L'histoire l'atteste .
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Non au fasciste Lieberman en France
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qui parle de démocratie?
réponse à northcarolina & sandaryo
pourquoi parler de démocratie quand celle-ci n'est pas interprétée de manière égale s'il s'agit des palestiniens qui ont donné leur voix pour le hamas quand ils ont compris que abbas et consorts roulent pour leur oncle sam ou quand il s'agit de liberman qui a été choisi durant un concours de circonstances bien précis - l'agression de décembre-janvier à ghaza - quand celui-ci a joué à fond la carte du nationalisme
il est effectivement à noter - et là, la démocratie ne joue pas en leur faveur - que la majorité des israéliens a opté pour l'ultra-nationalisme.
et quand on dit que la violence appelle la violence, ce n'est pas pour rien par rapport à un peuple qui n'a connu que guerre, hogra et spoliation
depuis plus de 60 ans
si l'occident s'accorde le droit de discréditer le hamas et le hezbollah parce que ceux-ci refusent de reconnaître israel, il devrait également s'accorder le droit d'interdire toute nouvelle colonie et d'exiger la démoltion de celles qui ont été bâties sur les terres palestiniennes, conformément aux résolutions onusiennes!!!!
et il se trouve que liberman est un fervent colonisateur dans la mesure où dans sa petite tête il ne reconnaît aucune frontière arabe tout comme il considère le plateau du golan comme bien acquis et inaliénable.
ah, ces occidentaux!!
pas tous, bien sûr mais il y en a pas mal
quand ils vous étalent leur attachement pour les droits de l'homme etc. on pourrait presque dire que l'humain a définitivement pris le dessus et qu'une issue pacifique est très proche
mais dès qu'il s'agit d'israel, on agite la shoah, on fabrique des images et on vous vend des solutions sorties tout droit ... de cabinets isréliens
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mais dès qu'il s'agit d'israel, on agite la shoah, on fabrique des images et on vous vend des solutions sorties tout droit ... de cabinets isréliens
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NON au fascisme ! Tous devant le Quai d’Orsay mardi, dès 14 H 30 !
Dans le cadre de sa "tournée" Rome-Paris-Berlin ("l’Axe du Bien", comme dans le bon vieux temps ?), le fasciste Lieberman sera reçu par Kouchner ce mardi 5 mai après-midi au ministère des Affaires étrangères, a indiqué le porte parole du Quai d’Orsay.
Comme l’heure de ce charmant rendez-vous n’est pas précisée, nous appelons —avec de nombreuses autres organisations— à manifester dès 14 H 30 ce mardi. RV à la sortie du métro Invalides.
Ainsi, après avoir boycotté le chancelier Haïder en Autriche, et crié au danger fasciste en 2002 quand le Pen s’est retrouvé au deuxième tour des élections présidentielles, voici que l’on accueille sans sourciller le fasciste Avigdor Lieberman à Paris !
Car Lieberman ne cache pas ses "idées". C’est un raciste qui est fier de l’être et qui n’a cessé d’appeler au meurtre et à la déportation des Palestiniens, aussi bien au parlement israélien, qu’en tant que ministre.
Cet ancien videur de boite de nuit a ainsi déclaré en janvier dernier qu’ "Israël devait continuer à bombarder la bande de Gaza et le Hamas comme les Etats-Unis l’avait fait avec les Japonais pendant la seconde guerre mondiale". En clair, il est pour l’emploi de la bombe atomique, comme à Hiroshima et Nagasaki.
Partisan du parti Kach de Meir Kahane, interdit en tant que terroriste en 1994, après l’assassinat par l’un de ses adhérents (Baruch Goldstein) de 29 Palestiniens en prière au Caveau des Patriarches, Lieberman est lui- même un colon qui vit dans la colonie de Nokdim au sud de la Cisjordanie, qui réclame l’annexion des colonies de Cisjordanie à Israël, et qui s’était opposé au retrait des colons de Gaza en 2005.
En 1998, il avait carrément appelé à bombarder le barrage d ’Aswan en Egypte, pour punir ce pays d’avoir soutenu Yasser Arafat. Et, pas plus tard que l’an dernier, il déclarait à Mubarak "d’aller ce faire foutre" parce qu’il n’avait toujours pas honoré Israel de sa visite, accusant Olmert et Peres, qui protestaient, de se comporter "comme des femmes battues" (raciste et machiste, bien entendu !).
En juillet 2003, concernant l’éventuelle libération de 350 prisonniers palestiniens, cette brute dangereuse avait déclaré qu’il serait "préférable de les noyer au fond de la Mer Morte" et qu’en tant que ministre des transports, il était "disposé à affréter des bus à cet effet".
En 2004, il proposait un "plan" pour séparer définitivement les juifs des arabes et n’a cessé depuis de demander la déportation des 20 % de citoyens israéliens qui sont les Palestiniens qu’Israël n’a pas réussi à chasser de leurs terres en 1948. "Ces Arabes israéliens sont une 5ème colonne" , répète-t-il, en exigeant qu’on leur retire au moins le droit de vote s’ils ne prêtent pas un "serment de loyauté à l’Etat juif et démocratique" (sic !).
En novembre 2006, ce sale type a demandé l’arrestation et l’exécution des parlementaires israéliens d’origine palestinienne qui avaient des discussions avec le Hamas, ce qui a amené Ahmad Tibi, dirigeant du parti Ta’al, a réclamer que Lieberman soit poursuivi pour incitation à la haine raciale.
Demande non seulement restée lettre morte, mais Lieberman a depuis récidivé, "prévenant les députés arabes à la Knesset" que "l’administration va désormais s’occuper de vous". Des propos qui lui ont valu récemment le poste de ministre des affaires étrangères.
Ce fasciste, qui a même écopé d’une amende, il y a peu, pour avoir frappé un enfant de 12 ans près de sa colonie, devrait être présenté d’urgence devant des tribunaux pour être jugé en tant que criminel contre l’humanité, notamment pour ses propos sur la déportation.
Au lieu de cela, il va être reçu par "son homologue" le ministre spécialiste de l’ingérence humanitaire, partout, sauf en Israël.
NE NOUS LAISSONS PAS ANESTHESIER PAR LA MULTIPLICATION DES ATROCITES : REAGISSONS CONTRE LA FASCISATION DE NOTRE SOCIETE !
MEME S’IL N’EST PAS FACILE DE SE LIBERER UN MARDI EN DEBUT D’APRES-MIDI, MONTRONS QUE NOUS SOMMES ENCORE DEBOUT !
DEMANDONS A TOUS LES SYNDICATS, PARTIS, ELUS, AUX CANDIDATS QUI SE PRESENTENT AUX ELECTIONS EUROPENNES, D’ETRE PRESENTS A NOS COTES :
MARDI 5 MAI DE 14 H 30 A 20 H DEVANT LE MINISTERE FRANCAIS DES AFFAIRES ETRANGERES (M° INVALIDES)
POUR FORMER UN COMITE D’ACCUEIL CAPABLE D’EXPRIMER NOTRE INDIGNATION FACE A LA RECEPTION D’UN TEL FASCISTE.
CAPJPO-EuroPalestine
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Gaza l'inoubliable !
Par Cédric et Alex
Interview réalisée par Ginette Hess Skandrani.
Touchés par la situation humanitaire à Gaza, et pour éviter que l’attaque israélienne ne tombe dans l’oubli, nous décidons, début avril, de nous rendre sur place. Tous les deux étudiants, nous profitons des vacances scolaires de Pâques pour réserver notre billet à destination du Caire.
Arrivés sur place, nous sollicitons les autorités françaises (ambassade et consulat) pour la délivrance d’une autorisation de passage par la frontière de Rafah.
Après une forte insistance, elles cèdent et nous délivrent le précieux document.
Aussitôt récupéré, nous prenons un taxi collectif jusqu’à Rafah pour accéder à la Bande de Gaza tant désirée. Nous savions que la tâche ne serait pas facile et que beaucoup de gens avaient essayé avant nous mais avec peu de succès.
Le premier jour, nous nous présentons à Rafah en exposant la situation à la police des frontières égyptiennes en insistant sur la nécessité d’aller sur place évaluer les besoins humanitaires.
Sourds à notre discours, ils nous conseillent de regagner Le Caire puis la France et d’oublier l’Egypte ainsi que Gaza. Nous leur répondons qu’il nous est simple et possible d’oublier l’Egypte, mais impossible de ne pas penser au peuple meurtri de Gaza.
Nous avons passé plusieurs jours à faire des allers-retours, se confrontant à chaque fois au « mur » égyptien qui est parfois pire que la frontière dite « de sécurité » israélienne.
Après une semaine de va et vient, nous sollicitons à nouveau les autorités françaises en leur demandant d’intervenir auprès des Egyptiens afin de favoriser notre passage.
Le huitième jour, le miracle se produit et Gaza nous est enfin ouverte.
Sans perdre une minute et sans bagages, nous courons jusqu’à perdre haleine, sans nous retourner, de peur d’être rappelés.
Nous atterrissons au milieu d’un terrain vague désert qui sert de stockage à ordures et collé à un misérable stade de jeux qui fait face à la rue du Sultan qui remonte jusqu’à Gaza centre en traversant la Bande.
De l’autre côté de cette rue, nous voyons la population et nous nous dirigeons vers elle.
Nous nous présentons comme des étudiants français venus exprimer notre solidarité et notre sympathie. Ils proposèrent de nous guider et de nous faire visiter ce qui reste des villes et villages, des hôpitaux, des écoles, des camps, des administrations, des routes, des infrastructures après les bombardements.
Tout au long de notre visite et malgré la misère et la pauvreté des lieux, les Palestiniens ont fait preuve d’une hospitalité sans égale.
Nous avons découvert un champ de ruines comme après un tremblement de terre, une population choquée par les bombardements, les massacres, les armes de destruction massive utilisées (bombe à phosphore, à uranium appauvri…).
Nous avons remarqué que la situation était plus catastrophique dans certains endroits (Khan Younes, Djaballiah, Gaza-ville, Beth Hanoun…) dans lesquels les conditions d’hygiène sont déplorables par manque d’eau potable, d’électricité délivrée que quelques heures certains jours et où la plupart des maisons ont été transformées en un amas de ruines.
De plus, nous avons noté l’apparition croissante de certaines maladies telles que le cancer et le diabète, en raison des retombées chimiques et nocives des bombardements et la pollution due à l’entassement des ordures. Ces maladies ne peuvent être traitées par manque de soins, de médicaments et d’infrastructures médicales.
Nous avons visité certains hôpitaux encore existants (l’hôpital Al Shifa, l’hôpital El Chahid Abou Youssef EL Najjar, l’hôpital El Nasser) dans lesquels se trouvaient encore de nombreux blessés livrés à eux mêmes par manque de personnel et de matériel médical.
Nous avons également visité une association d’aide aux victimes à Khan Younes, dont le but principal est de fournir prothèses et fauteuils roulants aux nécessiteux mais celle-ci s’est retrouvée vite démunie et débordée ne pouvant répondre à l’importance des demandes.
Nous avons conclu notre séjour par la visite des familles des victimes des bombardements israéliens. Beaucoup d’entre elles se sont retrouvées sans toit et ont dû compter sur l’hospitalité de leurs proches pour s’abriter.
Il est toutefois nécessaire de signaler qu’une maison à Gaza, se limite à quatre murs et une tôle de zinc. Elles nous ont fait part des conditions de vie devenues encore plus difficiles après l’attaque israélienne. Par manque d’entrées et de flux des marchandises, le coût de la vie a subi une inflation sans égale : le prix des produits de première nécessité (pain, lait, eau…) a doublé alors que plus de 80% de la population n’a pas d’emploi et est par conséquent sans ressources.
Autant notre désir et notre enthousiasme de découvrir Gaza étaient immenses, autant le désespoir et la désolation sur place étaient terrassant. Les chefs de nos Etats ont assisté à ce massacre qui a abouti au désarroi et à la misère d’une population oubliée de tous, face à l’indifférence de la communauté internationale, livrée à elle même, et sous dépendance totale de ses geôliers égyptiens et israéliens.
Gaza ne doit sa survie aujourd’hui qu’à une résistance volontaire et courageuse qui a su s’habituer et s’organiser autour du blocus imposé depuis 2007 par Israël.
Il est primordial que Gaza soit une priorité urgente dans l’esprit de chacun bien que les bombardement israéliens aient cessés puisque la vie là-bas n’a toujours pas repris et que le blocus reste total. Nous appelons chaque personne sensible à la détresse humaine à multiplier les actions pour la libération de Gaza.
ISM
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D'aprés une dépêche AFP , le NaziSioniste Lieberman sera reçu à l'Elysée.
Qu'est-ce qu'en pensent ceux qui ont voté pour l'actuel locataire de l'Elysée?
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