Une "liberté contrôlée" te choque ? Mais c'est parce que il y plus un mythe qu'une réalité derrière le mot.
La liberté n'a pas de matérialité, c'est une abstraction. Ce sont les contraintes qui ont une matérialité : en toute rigueur, on ne peut dire "je suis libre" mais "je n'ai pas telles ou telles contraintes". C'est par convention qu'on parle de liberté.
Il n'y a jamais absence de contraintes, et une démocratie ne retire pas les contraintes, elles en retirent certaines : par exemple obéir à un dictateur, se taire.
D'autres sont nouvelles : une société organisée ne pas plus permettre un espace public où chacun fait ce qu'il veut, l'économie informelle, l'urbanisme incontrolé, le clientélisme au dessus des lois, etc ...
En fait une démocratie moderne impose un nombre considérable de contraintes sur un noyaux fondamental de droit.
La liberté n'a pas de matérialité, c'est une abstraction. Ce sont les contraintes qui ont une matérialité : en toute rigueur, on ne peut dire "je suis libre" mais "je n'ai pas telles ou telles contraintes". C'est par convention qu'on parle de liberté.
Il n'y a jamais absence de contraintes, et une démocratie ne retire pas les contraintes, elles en retirent certaines : par exemple obéir à un dictateur, se taire.
D'autres sont nouvelles : une société organisée ne pas plus permettre un espace public où chacun fait ce qu'il veut, l'économie informelle, l'urbanisme incontrolé, le clientélisme au dessus des lois, etc ...
En fait une démocratie moderne impose un nombre considérable de contraintes sur un noyaux fondamental de droit.
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