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Il s’agit de témoignage d’un vécu. Après une année passée en France (paris) j’espère partager avec vous mon expérience. Comme beaucoup, j’ai eu un visa long séjour pour étude après une inscription dans une fac française. J’avoue que les études servent souvent de cheval de Troie pour pénétrer cette citadelle ou plutôt ce coffre fort. Avoir un visa en effet relève des miracles de nos jours. A croire que nous sommes atteints d’une maladie transmissible. Eux peuvent facilement venir chez nous mais nous on doit cravacher pour leur rendre visite. Ceci n’est pas le sujet.
Après toutes les procédures et le voyage au bout, voila que je me trouve à Paris. Cette ville que je ne voyais qu’à la télévision et que je ne cite que pour évoquer le luxe. Arrivé sur place, j’étais déjà frappé par la différence de nos aéroports et, par la suite, par la qualité de service.
Etant autonome par nature je m’obstiné d’aller chez la famille ou amis que je connaisse à Paris. J’ai décidé d’être dans un hôtel en attendant de trouver un petit toit. Je ne vous parle pas de la cherté des hôtels. Une nuit dans un hôtel de fortune coute l’équivalent de la moitié de notre Smic. Je fais l’équivalence car n’oublions pas que mes euros je les ai gagné en Algérie.
Et voila que le parcours de combattant commence. Entre s’inscrire à la fac, obtenir son titre de séjour, ouvrir un compte bancaire, établir sa carte vitale, chercher un logement, chercher de l’emploi,…il faut se diviser en plusieurs personnes. Après l’inscription, je me suis mis rapidement à la paperasse. Les études peuvent attendre. En matière de bureaucratie on a rien à envier à la France. J’ai même compris qu’ils sont à l’origine de la notre. Je vous dis pas combien de temps j’ai mis pour faire cette carte de séjour qui est la base du tout. La carte vitale je ne vous dis pas. On peut tomber malade à plusieurs reprises avant de l’avoir. Le logement. Alors là, c’est la galère. Entre trouver un logement digne et payer un prix raisonnable il faut choisir. Enfin, on peut combiner les deux mais pas dans le 75 en tous cas. Il faut s’éloigner, s’éloigner.
Le logement trouvé, il faut maintenant trouver un boulot avant de commencer ses études. Pour cela il faut oublier son niveau et son pseudo prestige personnel. Vous êtes appelé à travailler dans les postes les plus délicats et les plus pénibles. Sécurité, nettoyage et bâtiment. Avec un peu de chance vous pouvez trouver un poste dans un driver ou un hypermarché comme caissier. Avec tout ça, je vous prie de me trouver du temps pour poursuivre ma formation, ma raison d’être en France.
S’agissant de mon œil sur la société, je vous cache pas que la différence qui sépare nos deux civilisations est de taille. Une fois j’étais chez mon locataire dans une visite et étais frappé par les scènes d’amour un peu partout dans la maison. Les enfants qui échangent leurs salives avec leurs copines et copains au vu des parents. Ces derniers sont tous fiers de l’épanouissement de leurs enfants. Il ne faut pas s’étonner de mon étonnement car il ne faut pas oublier que je suis d’une toute autre société avec ses principes à elle. J’ai évoqué ce fait at home mais la réalité de dehors est la même. Ce qui m’a laissé sidérer par contre c’est cette scène de deux lesbienne qui s’adonnent au bouche à bouche dans un métro faisant fi de tout le monde. Je me suis rendu compte que j’étais le seul à les regarder d’ailleurs. Les homos s’affichent sans gène. Pourquoi se gêner d’ailleurs ?
Ce qui m’a révolté par-dessus tout, c’est le comportement de notre communauté maghrébine. Une société dans une société. Ils n’ont rien de commun avec le reste. De par les vêtements, de par le langage, de par l’éducation, …Je vous avoue que je ne me suis jamais reconnu dans leur comportement. Dans le métro, ils sont des apaches, des hooligans,… des ratés pour tout dire. Une fois j’ai assisté à une scène qui m’a bouleversé jusqu’à ce jour. Tandis que je prenais le tram de retour chez moi, un groupe de beurs fait éruption et prend la même rame que la mienne. L’un d’eux allumait sa cigarette et fumait le plus normalement du monde. Tout le monde fait la grimace mais personne n’osait parler vu qu’ils étaient nombreux, moi non plus d’ailleurs. Voila qu’après quelques minutes une jeune fille française asthmatique failli mourir des suites de la fumée. La fille était comme mourante et semblait pousser ses derniers souffles. Elle s’est évanouie et on la fait descendre au prochain arrêt et vous cache pas que je ne sais rien de ce qui est advenu de son cas. Cet épisode je ne l’oublierai jamais. Je me reprochais le fait de ne pas avoir intervenu pour corriger cet énergumène.
Les beurettes. Alors là celles-ci. Ca ne sert à rien d’essayer d’aimer l’une des leurs. Tu peux contempler leurs beautés mais pas plus. Pour elles, si tu t’en intéresse c’est uniquement pour avoir les papiers. Toi qui vient de bled t’as pas de cœur, t’as juste des intérêts. Il ne t’est pas permis d’aimer. Haram. Il est plus facile de discuter avec une française qu’avec une beurette. Personnellement, cette carte bleue là dont il se vante, je m’emballe les… comme ils disent. C’est eux souffrent pendant 11 mois pour pouvoir passer un mois dans leur pays d’origine comme des coqs, moi mon choix est déjà fait. Après cette expérience rien ne va me bluffer et ces zmagria ne vont plus me bluffer avec le « la bas chez nous ».
Je préfère m’arrêter là car je risque d’être trop ennuyeux et pour le moins bavard. C’était une petite expérience que j’aie souhaité partager avec vous et la lecture de la votre ne pourra qu’être enrichissante.
== MODERATION ==
Topic fermé suite aux dérapages verbaux constatés dans plusieurs messages. Les membres concernés sont priés d'éviter les attaques personnelles et de débattre dans le respect mutuel.
Après toutes les procédures et le voyage au bout, voila que je me trouve à Paris. Cette ville que je ne voyais qu’à la télévision et que je ne cite que pour évoquer le luxe. Arrivé sur place, j’étais déjà frappé par la différence de nos aéroports et, par la suite, par la qualité de service.
Etant autonome par nature je m’obstiné d’aller chez la famille ou amis que je connaisse à Paris. J’ai décidé d’être dans un hôtel en attendant de trouver un petit toit. Je ne vous parle pas de la cherté des hôtels. Une nuit dans un hôtel de fortune coute l’équivalent de la moitié de notre Smic. Je fais l’équivalence car n’oublions pas que mes euros je les ai gagné en Algérie.
Et voila que le parcours de combattant commence. Entre s’inscrire à la fac, obtenir son titre de séjour, ouvrir un compte bancaire, établir sa carte vitale, chercher un logement, chercher de l’emploi,…il faut se diviser en plusieurs personnes. Après l’inscription, je me suis mis rapidement à la paperasse. Les études peuvent attendre. En matière de bureaucratie on a rien à envier à la France. J’ai même compris qu’ils sont à l’origine de la notre. Je vous dis pas combien de temps j’ai mis pour faire cette carte de séjour qui est la base du tout. La carte vitale je ne vous dis pas. On peut tomber malade à plusieurs reprises avant de l’avoir. Le logement. Alors là, c’est la galère. Entre trouver un logement digne et payer un prix raisonnable il faut choisir. Enfin, on peut combiner les deux mais pas dans le 75 en tous cas. Il faut s’éloigner, s’éloigner.
Le logement trouvé, il faut maintenant trouver un boulot avant de commencer ses études. Pour cela il faut oublier son niveau et son pseudo prestige personnel. Vous êtes appelé à travailler dans les postes les plus délicats et les plus pénibles. Sécurité, nettoyage et bâtiment. Avec un peu de chance vous pouvez trouver un poste dans un driver ou un hypermarché comme caissier. Avec tout ça, je vous prie de me trouver du temps pour poursuivre ma formation, ma raison d’être en France.
S’agissant de mon œil sur la société, je vous cache pas que la différence qui sépare nos deux civilisations est de taille. Une fois j’étais chez mon locataire dans une visite et étais frappé par les scènes d’amour un peu partout dans la maison. Les enfants qui échangent leurs salives avec leurs copines et copains au vu des parents. Ces derniers sont tous fiers de l’épanouissement de leurs enfants. Il ne faut pas s’étonner de mon étonnement car il ne faut pas oublier que je suis d’une toute autre société avec ses principes à elle. J’ai évoqué ce fait at home mais la réalité de dehors est la même. Ce qui m’a laissé sidérer par contre c’est cette scène de deux lesbienne qui s’adonnent au bouche à bouche dans un métro faisant fi de tout le monde. Je me suis rendu compte que j’étais le seul à les regarder d’ailleurs. Les homos s’affichent sans gène. Pourquoi se gêner d’ailleurs ?
Ce qui m’a révolté par-dessus tout, c’est le comportement de notre communauté maghrébine. Une société dans une société. Ils n’ont rien de commun avec le reste. De par les vêtements, de par le langage, de par l’éducation, …Je vous avoue que je ne me suis jamais reconnu dans leur comportement. Dans le métro, ils sont des apaches, des hooligans,… des ratés pour tout dire. Une fois j’ai assisté à une scène qui m’a bouleversé jusqu’à ce jour. Tandis que je prenais le tram de retour chez moi, un groupe de beurs fait éruption et prend la même rame que la mienne. L’un d’eux allumait sa cigarette et fumait le plus normalement du monde. Tout le monde fait la grimace mais personne n’osait parler vu qu’ils étaient nombreux, moi non plus d’ailleurs. Voila qu’après quelques minutes une jeune fille française asthmatique failli mourir des suites de la fumée. La fille était comme mourante et semblait pousser ses derniers souffles. Elle s’est évanouie et on la fait descendre au prochain arrêt et vous cache pas que je ne sais rien de ce qui est advenu de son cas. Cet épisode je ne l’oublierai jamais. Je me reprochais le fait de ne pas avoir intervenu pour corriger cet énergumène.
Les beurettes. Alors là celles-ci. Ca ne sert à rien d’essayer d’aimer l’une des leurs. Tu peux contempler leurs beautés mais pas plus. Pour elles, si tu t’en intéresse c’est uniquement pour avoir les papiers. Toi qui vient de bled t’as pas de cœur, t’as juste des intérêts. Il ne t’est pas permis d’aimer. Haram. Il est plus facile de discuter avec une française qu’avec une beurette. Personnellement, cette carte bleue là dont il se vante, je m’emballe les… comme ils disent. C’est eux souffrent pendant 11 mois pour pouvoir passer un mois dans leur pays d’origine comme des coqs, moi mon choix est déjà fait. Après cette expérience rien ne va me bluffer et ces zmagria ne vont plus me bluffer avec le « la bas chez nous ».
Je préfère m’arrêter là car je risque d’être trop ennuyeux et pour le moins bavard. C’était une petite expérience que j’aie souhaité partager avec vous et la lecture de la votre ne pourra qu’être enrichissante.
== MODERATION ==
Topic fermé suite aux dérapages verbaux constatés dans plusieurs messages. Les membres concernés sont priés d'éviter les attaques personnelles et de débattre dans le respect mutuel.
Comment tu les appelles.
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