Avant d'aborder mon sujet, je tiens à m'incliner à la mémoire des palestiniens qui sont tombés ces derniers jours victimes de la barabarie de Tsahal et et de la bêtise du Hamas.
Ce qui va suivre risque de choquer plus d'un mais je ne pouvais pas m'empêcher de le poster !
Je veux parler des douloureux événement qu'a vécue la Kabylie en 2001, c'est à dire du printemps noire et des victimes qui y ont été déplorées. Si je ne m'abuse il y a bien eu 142 jeunes assassinés par les services de sécurité algériens, la plupart on été tués par balles à fleur de l'âge, on compte aussi des femmes et des enfants parmi les victimes.
Mais pendant tous le temps qu'à duré ce massacre je n'ai jamais entendu parler d'une quelconque action de soutien au mouvement citoyen dans n'importe quel coin de l'Algérie, ce qui me pousse à me poser la question suivante en toute spontanéité : les kabyles qui ont été assassinés à cette époque là, valent-ils moins que les palestiniens (allah yerhemhoum) qui sont à leur tour entrains d'être assassinés ?
Il ne faut pas être un observateur aguerri pour déceler un deux poids, deux mesures dans la réaction de la rue algérienne.
J'ose espérer que la sympathie populaire algérienne va toujours aux opprimés, quelque soit leur race, leur religion ou leur langue.
Ce qui va suivre risque de choquer plus d'un mais je ne pouvais pas m'empêcher de le poster !
Je veux parler des douloureux événement qu'a vécue la Kabylie en 2001, c'est à dire du printemps noire et des victimes qui y ont été déplorées. Si je ne m'abuse il y a bien eu 142 jeunes assassinés par les services de sécurité algériens, la plupart on été tués par balles à fleur de l'âge, on compte aussi des femmes et des enfants parmi les victimes.
Mais pendant tous le temps qu'à duré ce massacre je n'ai jamais entendu parler d'une quelconque action de soutien au mouvement citoyen dans n'importe quel coin de l'Algérie, ce qui me pousse à me poser la question suivante en toute spontanéité : les kabyles qui ont été assassinés à cette époque là, valent-ils moins que les palestiniens (allah yerhemhoum) qui sont à leur tour entrains d'être assassinés ?
Il ne faut pas être un observateur aguerri pour déceler un deux poids, deux mesures dans la réaction de la rue algérienne.
J'ose espérer que la sympathie populaire algérienne va toujours aux opprimés, quelque soit leur race, leur religion ou leur langue.
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