La présentation, hier, d’un ensemble de lingerie doté d’un système de géolocalisation a fait le tour du monde des forums féministes. Pour les protectrices des droits de la femme ces sous vêtements produits par la firme brésilienne LindeLucy ne seraient rien de plus qu’une nouvelle ceinture de chasteté à la mode high tech. « C’est scandaleux de penser qu’un homme pourrait acheter une telle chose à sa partenaire, lui offrir et ensuite la contrôler », s’indigne Claudia Burghart, la tête de file d’un mouvement féministe berlinois.
Des propos que réfute la porte parole de la marque brésilienne. Il s’agirait d’une ligne dessinée pour les femmes tendance passionnées de nouvelles technologies. Lucia Lorio se permet même une provocation en affirmant que sa lingerie serait une touche d’humour supplémentaire et un challenge pour un couple, car si un homme peut tracer sa femme, celle-ci peut couper le récepteur à tout moment…
La surprise est dans le prix
Le principe de la lingerie LindeLucy est surprenant mais son prix ne l’est pas moins. Deux ensembles sont actuellement dotés de GPS, il faut compter respectivement 620 € et 870 € pour se les procurer. Et ce n’est pas la qualité du système de navigation qui les différencie mais bien la quantité de tissu.
On sait jamais si y ena une qui devait perdre sa culotte
Des propos que réfute la porte parole de la marque brésilienne. Il s’agirait d’une ligne dessinée pour les femmes tendance passionnées de nouvelles technologies. Lucia Lorio se permet même une provocation en affirmant que sa lingerie serait une touche d’humour supplémentaire et un challenge pour un couple, car si un homme peut tracer sa femme, celle-ci peut couper le récepteur à tout moment…
La surprise est dans le prix
Le principe de la lingerie LindeLucy est surprenant mais son prix ne l’est pas moins. Deux ensembles sont actuellement dotés de GPS, il faut compter respectivement 620 € et 870 € pour se les procurer. Et ce n’est pas la qualité du système de navigation qui les différencie mais bien la quantité de tissu.
On sait jamais si y ena une qui devait perdre sa culotte


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