
Tous les regards se tournent, jeudi 13 mars, vers la capitale égyptienne, Le Caire, qui accueille l’Assemblée générale de la Confédération africaine de football (CAF), précédée de tensions dues au nombre de sièges accordés à l’Afrique au sein du Conseil de la Fédération internationale de football (FIFA).
Le candidat unique à la présidence, le Sud-Africain Patrice Motsepe, est arrivé tôt dans la capitale égyptienne afin d’effectuer les préparatifs et établir des équilibres concernant les 6 sièges attribués à l’Afrique au Conseil de la FIFA.
Motsepe cherche à obtenir un consensus, alors que 13 candidats participent à une élection ouverte pour seulement 6 sièges, suite à l’abandon du système de répartition géographique basé soit sur les six zones de la CAF, soit sur les langues officielles reconnues par la CAF : français, anglais, arabe et portugais. À noter que le président Motsepe obtiendra automatiquement un siège au Conseil de la FIFA en sa qualité de président de la CAF.
Parmi les candidats à cette élection figurent Fouzi Lekjaa, président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), l’Égyptien Hany Abo Rida, le Mauritanien Ahmed Yahya, Gabriella Hima Hamidou (Niger), Isha Johansen (Sierra Leone), Lydia Nsekera (Burundi), Mathurin De Chacus (Bénin), Suleiman Hassan Waberi (Djibouti), Amaju Melvin Pinnick (Nigeria), Augustin Emmanuel Senghor (Sénégal), Andrew Ndanga Kamanga (Zambie), Kanizat Ibrahim (Comores) et Yacine Idriss Diallo (Côte d’Ivoire).
Selon les règlements de la CAF, les noms des candidats doivent être validés par le comité exécutif lors d’une réunion préalable à l’Assemblée générale extraordinaire, prévue ce mardi matin 11 mars. Par ailleurs, des réunions des zones régionales de la CAF se sont tenues lundi en présence du président Motsepe et des membres actuels du comité exécutif.
TElquel
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