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Algérie Foot – Alors que la Fédération Internationale de Football (FIFA) envisage de s’implanter en Afrique, il semble qu’elle ait déjà tranché entre l’Algérie et le Maroc pour établir sa présence.
La FIFA a récemment pris des mesures qui soulèvent des interrogations quant à son impartialité, favorisant une fois de plus le Maroc au détriment de l’Algérie et potentiellement de l’ensemble du continent africain. Dans le cadre de son projet de loi de finances (PLF) 2025, la FIFA recevra des incitations fiscales importantes pour son bureau régional permanent à Rabat. Cette initiative inclut l’exonération de l’impôt sur les sociétés, de l’impôt sur les revenus salariaux, de la taxe sur la valeur ajoutée, ainsi que des droits d’enregistrement et de timbre.
Cette décision de la FIFA suscite des critiques, car elle renforce l’idée que l’instance dirigeante du football mondial favorise le Maroc dans ses opérations, ce qui soulève des questions sur l’équité et la transparence de ses actions. Ce soutien financier et fiscal sans précédent à une seule nation semble alimenter une dynamique de favoritisme, non seulement envers le Maroc mais aussi aux dépens d’autres pays africains, y compris l’Algérie.
Cette situation met en lumière les défis auxquels l’Algérie est confrontée dans sa quête de reconnaissance sur la scène footballistique internationale. Alors que les instances sportives sont censées promouvoir un développement équitable et harmonieux du football en Afrique, ces choix de la FIFA pourraient nuire à l’intégrité du sport sur le continent et exacerber les tensions entre les nations. La situation mérite une attention particulière, tant pour le football algérien que pour l’avenir du sport en Afrique.
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