Je pensais que petkovic percevait un salaire de 205 000 euros par mois. Donc, il fait des concessions salariales par suite de son licenciement par les Girondins de Bordeaux.
Bien que 135 000 euros par mois, c'est déjà beaucoup trop pour incapable comme lui.
- Logiquement, ce sont les meilleures sélections qui ont à leur tête les sélectionneurs les mieux payés : Vladimir Petkovic (Algérie), Hugo Broos (Afrique du Sud), Walid Regragui (Maroc) ou Emerse Faé (Côte d’Ivoire).
La question du salaire des sélectionneurs en Afrique demeure sensible. Tant parce que dans de nombreux pays, ses émoluments et ceux de ses adjoints sont intégralement pris en charge par l’Etat en raison des faibles ressources financières des fédérations. Mais aussi car la tendance a longtemps été de voir les noms de sélectionneurs étrangers, le plus souvent européens, au sommet de la pyramide des salaires, loin devant leurs homologues africains.
Si l’Algérie demeure la nation qui paye le mieux, elle démontre que les choses ont évolué. Djamel Belmadi, jusqu’à son limogeage par la Fédération algérienne de football (FAF) après l’élimination des Fennecs au premier tour de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), en Côte d’Ivoire, se voyait verser un salaire mensuel de 205 000 euros. Son successeur, le Bosno-Suisse Vladimir Petkovic émarge, lui, à 135 000 euros par mois.
Au Maroc, Walid Regragui, 49 ans, gagne 70 000 euros par mois, soit presque autant que les 75 000 euros versés au plus expérimenté Hugo Broos, 72 ans, sélectionneur belge de l’Afrique du Sud.
Le Monde.fr (extraits)
Bien que 135 000 euros par mois, c'est déjà beaucoup trop pour incapable comme lui.
- Logiquement, ce sont les meilleures sélections qui ont à leur tête les sélectionneurs les mieux payés : Vladimir Petkovic (Algérie), Hugo Broos (Afrique du Sud), Walid Regragui (Maroc) ou Emerse Faé (Côte d’Ivoire).
La question du salaire des sélectionneurs en Afrique demeure sensible. Tant parce que dans de nombreux pays, ses émoluments et ceux de ses adjoints sont intégralement pris en charge par l’Etat en raison des faibles ressources financières des fédérations. Mais aussi car la tendance a longtemps été de voir les noms de sélectionneurs étrangers, le plus souvent européens, au sommet de la pyramide des salaires, loin devant leurs homologues africains.
Si l’Algérie demeure la nation qui paye le mieux, elle démontre que les choses ont évolué. Djamel Belmadi, jusqu’à son limogeage par la Fédération algérienne de football (FAF) après l’élimination des Fennecs au premier tour de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), en Côte d’Ivoire, se voyait verser un salaire mensuel de 205 000 euros. Son successeur, le Bosno-Suisse Vladimir Petkovic émarge, lui, à 135 000 euros par mois.
Au Maroc, Walid Regragui, 49 ans, gagne 70 000 euros par mois, soit presque autant que les 75 000 euros versés au plus expérimenté Hugo Broos, 72 ans, sélectionneur belge de l’Afrique du Sud.
Le Monde.fr (extraits)