Arrivé samedi en fin d’après-midi, le président de la CAF a eu un programme chargé durant son escale algéroise, lui qui vient de parcourir le continent d’est au nord en compagnie de quelques-uns des membres de son instance.
Ereinté par le long voyage mais gardant son large sourire, Patrice Motsepe s’est arrêté un bon moment devant les médias qui l’attendaient à la sortie du salon d’honneur de l’aéroport d’Alger. Une déclaration est à retenir durant cette rencontre improvisée. «Algeria will be back» (l’Algérie reviendra), a dit le boss de la Confédération africaine ravi de l’accueil qui lui a été réservé. Hier, après un sommeil réparateur au sein du Sheraton-club des pins, le dirigeant de la CAF a entamé son premier séjour en Algérie. Intenses activités entamées par la poursuite des rencontres avec les responsables du football national, ceux du sport également, et surtout ce tête-à-tête avec le président de la République Abdelmadjid Tebboune, en début d’après-midi. Cette rencontre à laquelle ont assisté MM. Sebgag et Zefizef respectivement ministre de la Jeunesse et des Sports et président de la FAF. Rien n’a filtré sur la teneur de ce face-à-face durant lequel le chef de l’Etat a assuré de la disponibilité de l’Algérie à répondre favorablement aux vœux de l’instance africaine.
Il va sans dire que l’organisation par l’Algérie du prochain Chan et de la CAN-2023 ont été au centre des discussions comme il est évident que les deux parties aient abordé d’autres sujets d’intérêts communs. à sa sortie du palais présidentiel, il s’est immédiatement dirigé vers le nouveau stade de Douéra, encore en chantier, et a poursuivi sa visite aux installations sportives de la capitale en se rendant dans le nouveau stade flambant neuf de Baraki, lequel abritera le match d’ouverture et la finale du Chan, avant de conclure sa tournée d’inspection au CTN/FAF de Sidi Moussa. S’il n’a pas fait de déclarations au palais d’El-Mouradia, Patrice Motsepe a livré quelques «secrets» de ses échanges avec le président de la République. En particulier sur la capacité de l’Algérie à accueillir des événements organisés par la CAF. La CAN-2025, alors, en Algérie ? Le président de l’instance africaine qui a trouvé les deux enceintes sportives de la capitale «très belles et modernes» a assuré le chef de l’Etat algérien que «pas mal de pays ont émis le vœu d’accueillir des compétitions», à l’exemple de l’Ouganda qui, lors du passage de Motsepe à Kampala, se porterait candidat à l’organisation de la CAN… 2027. C’est dire l’envie de Motsepe de voir l’Algérie, «un grand pays d’Afrique», reconnaît Motsepe, bénéficier de la reconnaissance des membres du Comex si bien évidemment la Guinée venait à se désister ou n’est pas prête pour recevoir l’édition de 2025. En tout cas, subjugué par le discours de ses homologues algériens avec lesquels il a eu plusieurs rounds de discussions, au CIC et à l’hôtel Sheraton-club des pins, M. Motsepe l’a été aussi par la qualité de l’infrastructure sportive. (Motsepe a même suggéré d’attendre la fin des travaux du stade de Douéra pour y faire jouer des matchs du Chan) et de tout ce qui peut engendrer la réussite d’événements sportifs majeurs (hôtellerie, routes, télécommunications, aéroports).
M. B.
Ereinté par le long voyage mais gardant son large sourire, Patrice Motsepe s’est arrêté un bon moment devant les médias qui l’attendaient à la sortie du salon d’honneur de l’aéroport d’Alger. Une déclaration est à retenir durant cette rencontre improvisée. «Algeria will be back» (l’Algérie reviendra), a dit le boss de la Confédération africaine ravi de l’accueil qui lui a été réservé. Hier, après un sommeil réparateur au sein du Sheraton-club des pins, le dirigeant de la CAF a entamé son premier séjour en Algérie. Intenses activités entamées par la poursuite des rencontres avec les responsables du football national, ceux du sport également, et surtout ce tête-à-tête avec le président de la République Abdelmadjid Tebboune, en début d’après-midi. Cette rencontre à laquelle ont assisté MM. Sebgag et Zefizef respectivement ministre de la Jeunesse et des Sports et président de la FAF. Rien n’a filtré sur la teneur de ce face-à-face durant lequel le chef de l’Etat a assuré de la disponibilité de l’Algérie à répondre favorablement aux vœux de l’instance africaine.
Il va sans dire que l’organisation par l’Algérie du prochain Chan et de la CAN-2023 ont été au centre des discussions comme il est évident que les deux parties aient abordé d’autres sujets d’intérêts communs. à sa sortie du palais présidentiel, il s’est immédiatement dirigé vers le nouveau stade de Douéra, encore en chantier, et a poursuivi sa visite aux installations sportives de la capitale en se rendant dans le nouveau stade flambant neuf de Baraki, lequel abritera le match d’ouverture et la finale du Chan, avant de conclure sa tournée d’inspection au CTN/FAF de Sidi Moussa. S’il n’a pas fait de déclarations au palais d’El-Mouradia, Patrice Motsepe a livré quelques «secrets» de ses échanges avec le président de la République. En particulier sur la capacité de l’Algérie à accueillir des événements organisés par la CAF. La CAN-2025, alors, en Algérie ? Le président de l’instance africaine qui a trouvé les deux enceintes sportives de la capitale «très belles et modernes» a assuré le chef de l’Etat algérien que «pas mal de pays ont émis le vœu d’accueillir des compétitions», à l’exemple de l’Ouganda qui, lors du passage de Motsepe à Kampala, se porterait candidat à l’organisation de la CAN… 2027. C’est dire l’envie de Motsepe de voir l’Algérie, «un grand pays d’Afrique», reconnaît Motsepe, bénéficier de la reconnaissance des membres du Comex si bien évidemment la Guinée venait à se désister ou n’est pas prête pour recevoir l’édition de 2025. En tout cas, subjugué par le discours de ses homologues algériens avec lesquels il a eu plusieurs rounds de discussions, au CIC et à l’hôtel Sheraton-club des pins, M. Motsepe l’a été aussi par la qualité de l’infrastructure sportive. (Motsepe a même suggéré d’attendre la fin des travaux du stade de Douéra pour y faire jouer des matchs du Chan) et de tout ce qui peut engendrer la réussite d’événements sportifs majeurs (hôtellerie, routes, télécommunications, aéroports).
M. B.