Le grand quotidien américain New York Times, dans son édition du lundi 16 novembre, revient sur les qualifications pour la Coupe du monde 2010 et dénonce ce qui s'est passé au Caire samedi lors du match entre l’Egypte et l’Algérie.
Ce qui s'est produit au Caire « nous fait craindre pour la loi et l'ordre dans le sport. Les répercussions se font encore sentir après que les joueurs algériens aient été violemment intimidés jeudi par des jets de pierres de supporters égyptiens à leur arrivée au Caire ».
Le journal note que « les officiels égyptiens ont aggravé la situation en affirmant que les joueurs algériens avaient monté ces incidents de toute pièce, en cassant les vitres du bus eux-mêmes ». Et reprend ce commentaire du président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua : « nous avons joué dans des conditions de guerre. Il était difficile de bien jouer, mais nous gagnerons au Soudan car l'atmosphère y sera plus calme ».
Et le New York Time s'interroge sur « l'insistance qu'à la FIFA » à faire jouer un autre match, « alors qu'il est devenu le prétexte à des actions qui mettent en péril la vie, la liberté et l'ordre, pas seulement au Caire, mais aussi en Algérie, où des résidences de travailleurs égyptiens ont été saccagées et à Marseille où des jeunes algériens ont envahis les rues ». « Il est difficile de savoir comment on peut organiser une compétition juste dans un tel contexte », conclut le journal. TSA
Ce qui s'est produit au Caire « nous fait craindre pour la loi et l'ordre dans le sport. Les répercussions se font encore sentir après que les joueurs algériens aient été violemment intimidés jeudi par des jets de pierres de supporters égyptiens à leur arrivée au Caire ».
Le journal note que « les officiels égyptiens ont aggravé la situation en affirmant que les joueurs algériens avaient monté ces incidents de toute pièce, en cassant les vitres du bus eux-mêmes ». Et reprend ce commentaire du président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua : « nous avons joué dans des conditions de guerre. Il était difficile de bien jouer, mais nous gagnerons au Soudan car l'atmosphère y sera plus calme ».
Et le New York Time s'interroge sur « l'insistance qu'à la FIFA » à faire jouer un autre match, « alors qu'il est devenu le prétexte à des actions qui mettent en péril la vie, la liberté et l'ordre, pas seulement au Caire, mais aussi en Algérie, où des résidences de travailleurs égyptiens ont été saccagées et à Marseille où des jeunes algériens ont envahis les rues ». « Il est difficile de savoir comment on peut organiser une compétition juste dans un tel contexte », conclut le journal. TSA
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