«C’est inadmissible qu’un cuir gonflé nous divise »
Le public algérien connaît Amr Khaled le prédicateur, mais ne connaît pas Amr Khaled le sportif. Quel est votre rapport au sport ?
Je vous surprendrai peut-être en vous révélant que je suis un grand amateur de sport. Dites-vous bien que je pratique quelque huit disciplines sportives depuis ma tendre jeunesse : football, tennis, squash, ping-pong, natation… En un mot, là où il y a une balle ou un ballon, je fonce (rire). Je fais du sport avec beaucoup de passion car ça me permet de me détendre, d’entretenir ma forme, de préserver ma santé et de me dépenser physiquement dans le bon sens. Vous ne pouvez pas imaginer toute la quiétude et la sérénité que la pratique du sport me procure. Son plus grand apport a été de m’avoir évité les vices de jeunesse. Grâce au sport, je n’ai jamais touché à la cigarette et j’ai toujours mangé équilibré. Sincèrement, je me reconnais parfaitement dans la pratique sportive et je n’ai jamais eu de cesse d’encourager tous ceux que je connais à s’y adonner.
Ce n’est donc pas surprenant que la majorité des prédicateurs et des pratiquants à travers tout le monde musulman soient des amateurs de sport ?
C’est tout à fait logique qu’ils aiment le sport. Dites-vous bien que c’est également un moyen de découvrir le caractère et le fond d’une personne. Lorsque quelqu’un est en plein dans sa compétition ou de son match, on voit s’il est calme ou coléreux, s’il est respectueux ou vulgaire, s’il est altruiste ou égoïste, s’il est fair-play ou jaloux, s’il est collectif ou individualiste, s’il est persévérant ou fataliste… Beaucoup de facettes de la personnalité sont mises à nu par la pratique sportive et, personnellement, cela me permet de mieux connaître certaines personnes et ça m’aide dans mon travail de prédication.
Vous avez cité le football parmi les sports que vous pratiquez. Avez-vous été footballeur à un haut niveau ?
Je n’irai pas jusqu’à prétendre que j’ai été un grand footballeur professionnel, mais j’ai quand même joué dans les équipes de jeunes d’Al Ahly. A l’âge de 16 ans, l’entraîneur Mostefa Hussein, réputé pour avoir l’œil pour repérer les jeunes talents, m’avait intégré dans l’équipe des cadets. J’étais milieu de terrain et j’avais la particularité de jouer des deux pieds. Certes, je jouais plutôt côté droit, mais mon pied gauche réussissait souvent à trouver le chemin des filets adverses. Puis, dans l’équipe des 18 ans (juniors), j’avais comme entraîneur Mohsen Salah, celui qui était sélectionneur de l’Egypte lors de la CAN-2004 en Tunisie et dont il a été limogé à cause de la défaite face aux Algériens, que Dieu vous pardonne (rire). Par la suite, j’ai dû arrêter le football avec Al Ahly car j’ai préféré la voie du savoir et de la prédication.
Y avait-il, parmi vos coéquipiers de l’époque, des joueurs qui sont devenus des stars ?
C’était il y a longtemps et toute cette génération est actuellement retraitée du football. Disons que le gardien de but Ahmed Shoubeir avait trois ou quatre ans de plus que nous et qu’il arrivait souvent qu’il participe aux matches que nous livrions.
Vous êtes né à Alexandrie. Etes-vous supporter de ses clubs ?
Non ! Je suis un Ahlaoui pur (rire) ! Et puis, il n’y a pas de clubs forts en Alexandrie.
Continuez-vous à pratiquer le football ?
Oui, et même tous les autres sports. Je le fais pour le plaisir et aussi, comme je vous l’ai dit plus haut, pour mieux cerner la personnalité des gens avec qui je joue. Je suis un fan de football et, comme j’ai aussi une résidence à Londres, je suis un supporter d’Arsenal.
Le public algérien connaît Amr Khaled le prédicateur, mais ne connaît pas Amr Khaled le sportif. Quel est votre rapport au sport ?
Je vous surprendrai peut-être en vous révélant que je suis un grand amateur de sport. Dites-vous bien que je pratique quelque huit disciplines sportives depuis ma tendre jeunesse : football, tennis, squash, ping-pong, natation… En un mot, là où il y a une balle ou un ballon, je fonce (rire). Je fais du sport avec beaucoup de passion car ça me permet de me détendre, d’entretenir ma forme, de préserver ma santé et de me dépenser physiquement dans le bon sens. Vous ne pouvez pas imaginer toute la quiétude et la sérénité que la pratique du sport me procure. Son plus grand apport a été de m’avoir évité les vices de jeunesse. Grâce au sport, je n’ai jamais touché à la cigarette et j’ai toujours mangé équilibré. Sincèrement, je me reconnais parfaitement dans la pratique sportive et je n’ai jamais eu de cesse d’encourager tous ceux que je connais à s’y adonner.
Ce n’est donc pas surprenant que la majorité des prédicateurs et des pratiquants à travers tout le monde musulman soient des amateurs de sport ?
C’est tout à fait logique qu’ils aiment le sport. Dites-vous bien que c’est également un moyen de découvrir le caractère et le fond d’une personne. Lorsque quelqu’un est en plein dans sa compétition ou de son match, on voit s’il est calme ou coléreux, s’il est respectueux ou vulgaire, s’il est altruiste ou égoïste, s’il est fair-play ou jaloux, s’il est collectif ou individualiste, s’il est persévérant ou fataliste… Beaucoup de facettes de la personnalité sont mises à nu par la pratique sportive et, personnellement, cela me permet de mieux connaître certaines personnes et ça m’aide dans mon travail de prédication.
Vous avez cité le football parmi les sports que vous pratiquez. Avez-vous été footballeur à un haut niveau ?
Je n’irai pas jusqu’à prétendre que j’ai été un grand footballeur professionnel, mais j’ai quand même joué dans les équipes de jeunes d’Al Ahly. A l’âge de 16 ans, l’entraîneur Mostefa Hussein, réputé pour avoir l’œil pour repérer les jeunes talents, m’avait intégré dans l’équipe des cadets. J’étais milieu de terrain et j’avais la particularité de jouer des deux pieds. Certes, je jouais plutôt côté droit, mais mon pied gauche réussissait souvent à trouver le chemin des filets adverses. Puis, dans l’équipe des 18 ans (juniors), j’avais comme entraîneur Mohsen Salah, celui qui était sélectionneur de l’Egypte lors de la CAN-2004 en Tunisie et dont il a été limogé à cause de la défaite face aux Algériens, que Dieu vous pardonne (rire). Par la suite, j’ai dû arrêter le football avec Al Ahly car j’ai préféré la voie du savoir et de la prédication.
Y avait-il, parmi vos coéquipiers de l’époque, des joueurs qui sont devenus des stars ?
C’était il y a longtemps et toute cette génération est actuellement retraitée du football. Disons que le gardien de but Ahmed Shoubeir avait trois ou quatre ans de plus que nous et qu’il arrivait souvent qu’il participe aux matches que nous livrions.
Vous êtes né à Alexandrie. Etes-vous supporter de ses clubs ?
Non ! Je suis un Ahlaoui pur (rire) ! Et puis, il n’y a pas de clubs forts en Alexandrie.
Continuez-vous à pratiquer le football ?
Oui, et même tous les autres sports. Je le fais pour le plaisir et aussi, comme je vous l’ai dit plus haut, pour mieux cerner la personnalité des gens avec qui je joue. Je suis un fan de football et, comme j’ai aussi une résidence à Londres, je suis un supporter d’Arsenal.
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