Tweet
Elon Musk, connu pour ses visions futuristes, a encore frappé fort. Cette fois, il prédit la fin imminente des smartphones, remplacés par une technologie encore plus avancée : les interfaces cérébrales directes, comme celle développée par Neuralink.
« Les smartphones deviendront bientôt obsolètes. » C'est avec ces mots qu'Elon Musk, le PDG de Neuralink, a secoué le monde technologique. Il est convaincu que les puces cérébrales, comme celles que développe sa société, sont l'avenir.
En réponse à un article sur X, un réseau social, Musk a précisé sa vision : « Dans le futur, il n'y aura pas de téléphones, juste des Neuralinks. » Cette prédiction repose sur la capacité des BCI (interfaces cérébrales directes) à offrir une communication plus directe et efficace.
Esprit connecté : l'Intrigante évolution de Neuralink
Neuralink, sous la direction de Musk, a déjà commencé à réaliser cette vision futuriste. Rappelons que la société a fait des progrès significatifs avec ses technologies de puce cérébrale.
Un exemple frappant est celui de Noland Arbaugh, un homme de 29 ans qui est resté paralysé des épaules aux pieds après un accident survenu il y a huit ans. Le 28 janvier, Arbaugh a subi une intervention chirurgicale pour implanter une puce Neuralink dans son cerveau.
Depuis cette opération, il a montré des améliorations notables. Cela démontre le potentiel de cette technologie pour aider les personnes handicapées à retrouver une certaine autonomie dans leurs activités quotidiennes.
Et pour information, Arbaugh peut maintenant contrôler des éléments de son environnement simplement par la pensée. Il peut même jouer aux échecs, une activité qu'il chérissait avant son accident.
Toutefois, le chemin vers une adoption large des BCI n'est pas sans obstacles. Neuralink a été critiqué pour plusieurs aspects de son développement, notamment les questions de sécurité et d'éthique.
Lindsay Short, par exemple, une ancienne spécialiste des soins aux animaux chez Neuralink, a intenté une action en justice contre l'entreprise. Elle accuse Neuralink de ne pas fournir un équipement de protection adéquat pendant qu'elle s'occupait des animaux.
Ces allégations ont soulevé des préoccupations éthiques importantes concernant la manière dont Neuralink conduit ses expérimentations, tant sur les animaux que sur les humains.
« Elon Musk prévoit la fin du smartphone »
Malgré ces obstacles, les implications des travaux de Neuralink pourraient être monumentales, tant pour la technologie que pour la médecine. Les BCI pourraient, en cas de succès, éliminer le besoin de dispositifs physiques comme les smartphones.
Elles pourraient également aller au-delà. Ces technologies aideraient à restaurer les fonctions neurologiques chez les personnes atteintes de paralysie et d'autres troubles.
C'est pourquoi l'intérêt pour Neuralink ne se limite pas à l'industrie technologique. Le domaine médical observe également de près ces développements.
La vision de Musk pour un avenir sans téléphones, où les puces cérébrales permettent une interaction fluide et intuitive, est certes audacieuse. Quoique cela puisse paraître fantastique à certains, les recherches et essais en cours chez Neuralink ouvrent la voie à cette possibilité.
lebigdata
« Les smartphones deviendront bientôt obsolètes. » C'est avec ces mots qu'Elon Musk, le PDG de Neuralink, a secoué le monde technologique. Il est convaincu que les puces cérébrales, comme celles que développe sa société, sont l'avenir.
En réponse à un article sur X, un réseau social, Musk a précisé sa vision : « Dans le futur, il n'y aura pas de téléphones, juste des Neuralinks. » Cette prédiction repose sur la capacité des BCI (interfaces cérébrales directes) à offrir une communication plus directe et efficace.
Esprit connecté : l'Intrigante évolution de Neuralink
Neuralink, sous la direction de Musk, a déjà commencé à réaliser cette vision futuriste. Rappelons que la société a fait des progrès significatifs avec ses technologies de puce cérébrale.
Un exemple frappant est celui de Noland Arbaugh, un homme de 29 ans qui est resté paralysé des épaules aux pieds après un accident survenu il y a huit ans. Le 28 janvier, Arbaugh a subi une intervention chirurgicale pour implanter une puce Neuralink dans son cerveau.
Depuis cette opération, il a montré des améliorations notables. Cela démontre le potentiel de cette technologie pour aider les personnes handicapées à retrouver une certaine autonomie dans leurs activités quotidiennes.
Et pour information, Arbaugh peut maintenant contrôler des éléments de son environnement simplement par la pensée. Il peut même jouer aux échecs, une activité qu'il chérissait avant son accident.
Toutefois, le chemin vers une adoption large des BCI n'est pas sans obstacles. Neuralink a été critiqué pour plusieurs aspects de son développement, notamment les questions de sécurité et d'éthique.
Lindsay Short, par exemple, une ancienne spécialiste des soins aux animaux chez Neuralink, a intenté une action en justice contre l'entreprise. Elle accuse Neuralink de ne pas fournir un équipement de protection adéquat pendant qu'elle s'occupait des animaux.
Ces allégations ont soulevé des préoccupations éthiques importantes concernant la manière dont Neuralink conduit ses expérimentations, tant sur les animaux que sur les humains.
« Elon Musk prévoit la fin du smartphone »
Malgré ces obstacles, les implications des travaux de Neuralink pourraient être monumentales, tant pour la technologie que pour la médecine. Les BCI pourraient, en cas de succès, éliminer le besoin de dispositifs physiques comme les smartphones.
Elles pourraient également aller au-delà. Ces technologies aideraient à restaurer les fonctions neurologiques chez les personnes atteintes de paralysie et d'autres troubles.
C'est pourquoi l'intérêt pour Neuralink ne se limite pas à l'industrie technologique. Le domaine médical observe également de près ces développements.
La vision de Musk pour un avenir sans téléphones, où les puces cérébrales permettent une interaction fluide et intuitive, est certes audacieuse. Quoique cela puisse paraître fantastique à certains, les recherches et essais en cours chez Neuralink ouvrent la voie à cette possibilité.
lebigdata
Commentaire