De plus en plus de filles et de femmes signalent avoir été agressées sexuellement après avoir consommé une « pilule du viol ». Ces pilules peuvent :
-modifier votre maîtrise habituelle de vous-même ou vos inhibitions (vous agissez par exemple d’une certaine façon ou vous faites des choses que, normalement, vous choisiriez de ne pas faire);
-diminuer votre niveau de conscience (par exemple, vous êtes somnolente, vous pouvez à peine bouger, vous vous sentez loin de votre corps ou de votre environnement, vous perdez connaissance);
-causer une perte de mémoire ou de la confusion.
En vous faisant consommer ces drogues, une personne peut vous agresser sexuellement plus facilement en vous contrôlant ou en vous dominant. Il existe plusieurs sortes de drogues utilisées comme « pilule du viol » :
-les drogues à effet sédatif;
-l’alcool;
-les benzodiazépines (par exemple « Ativan », le lorazepam, « Xanax », etc.);
-le 4-hydroxybutanoate (aussi connu sous le nom d’Easy Lay, de Liquid Ecstasy, de Gib, de Natural Sleep 500 ou de somatomax);
-la kétamine (aussi connue sous le nom de Special K, Kit Kat, vetalar ou ketaset);
-les stimulants, comme la cocaïne;
-les « socialisateurs »;
-les amphétamines (l’ecstasy – aussi connue sous les noms de E ou MDMA);
-la marijuana.
Les « pilules du viol » peuvent vous être données sans que vous ne vous en rendiez compte. Par exemple, une de ces pilules peut être glissée dans votre boisson (qui peut être de l’alcool ou non) dans un bar ou au cours d’une fête ou d’une autre activité sociale. Une fois la pilule dissoute, la boisson masque souvent toute couleur ou odeur et la pilule ne peut être alors ni vue, ni détectée au goût. La drogue peut vous amener à faire des choses que vous ne feriez pas normalement. Ou alors, vous pouvez vous sentir tellement détendue – ou même vous faire perdre conscience – que vous n’êtes plus en mesure de vous défendre contre une agression sexuelle. Elle peut également altérer votre mémoire et vous empêcher ainsi de vous rappeler suffisamment bien de l’agression sexuelle pour que vous la signaliez efficacement à la police.
Je voulais simplement faire de la prévention et surtout faites attention, ne faites confiance à personne!
-modifier votre maîtrise habituelle de vous-même ou vos inhibitions (vous agissez par exemple d’une certaine façon ou vous faites des choses que, normalement, vous choisiriez de ne pas faire);
-diminuer votre niveau de conscience (par exemple, vous êtes somnolente, vous pouvez à peine bouger, vous vous sentez loin de votre corps ou de votre environnement, vous perdez connaissance);
-causer une perte de mémoire ou de la confusion.
En vous faisant consommer ces drogues, une personne peut vous agresser sexuellement plus facilement en vous contrôlant ou en vous dominant. Il existe plusieurs sortes de drogues utilisées comme « pilule du viol » :
-les drogues à effet sédatif;
-l’alcool;
-les benzodiazépines (par exemple « Ativan », le lorazepam, « Xanax », etc.);
-le 4-hydroxybutanoate (aussi connu sous le nom d’Easy Lay, de Liquid Ecstasy, de Gib, de Natural Sleep 500 ou de somatomax);
-la kétamine (aussi connue sous le nom de Special K, Kit Kat, vetalar ou ketaset);
-les stimulants, comme la cocaïne;
-les « socialisateurs »;
-les amphétamines (l’ecstasy – aussi connue sous les noms de E ou MDMA);
-la marijuana.
Les « pilules du viol » peuvent vous être données sans que vous ne vous en rendiez compte. Par exemple, une de ces pilules peut être glissée dans votre boisson (qui peut être de l’alcool ou non) dans un bar ou au cours d’une fête ou d’une autre activité sociale. Une fois la pilule dissoute, la boisson masque souvent toute couleur ou odeur et la pilule ne peut être alors ni vue, ni détectée au goût. La drogue peut vous amener à faire des choses que vous ne feriez pas normalement. Ou alors, vous pouvez vous sentir tellement détendue – ou même vous faire perdre conscience – que vous n’êtes plus en mesure de vous défendre contre une agression sexuelle. Elle peut également altérer votre mémoire et vous empêcher ainsi de vous rappeler suffisamment bien de l’agression sexuelle pour que vous la signaliez efficacement à la police.
Je voulais simplement faire de la prévention et surtout faites attention, ne faites confiance à personne!
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