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L’andropause ?

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  • L’andropause ?

    L'équivalent de la ménopause chez les hommes???


    Les bouffées de chaleur ont la réputation d’être réservées aux femmes. Pourtant, après 50 ans, ces messieurs ne sont pas épargnés, car leur production d’hormones diminue avec l’âge. Chez les femmes, les bouffées de chaleur sont une des manifestations de la ménopause dont elle se plaignent le plus. Chez les hommes, elles sont moins fréquentes mais loin d’être exceptionnelles, bien qu’ils consultent rarement à ce sujet.
    La particularité des sueurs masculines ? Elles s’accompagnent souvent d’irritabilité, de fatigue, de baisse de la libido et même de troubles de l’érection... Autant de symptômes qui appartiennent à l’andropause, équivalent masculin de la ménopause. A la différence près que l’andropause n’est pas systématique et que, lorsqu’elle existe, le déclin hormonal est partiel et variable d’une personne à l’autre. Peut-il y avoir un lien entre l’andropause et des problèmes d’érection ? Comme les bouffées de chaleur, les troubles érectiles peuvent être une conséquence du vieillissement et de la baisse de testostérone. Mais ils s’expliquent davantage par d’autres facteurs : hypertension artérielle, diabète, excès de cholestérol, dépression, anxiété, difficultés relationnelles dans le couple...

    - Le Soir

  • #2
    Les hommes souffrent aussi de bouffées de châleur

    La médecine attribuait ces symptômes aux femmes ménopausées mais apparemment les troubles du climatère ne sont pas exclusivement féminins. Certains hommes en subissent également les effets désagréables et parfois même très gênants. Bien entendu, elles ne se produisent pas dans les mêmes circonstances car à l’inverse des femmes tous les hommes ne connaissent pas de véritable arrêt des fonctions sexuelles mais parfois une baisse progressive des sécrétions d’hormones telles que la testostérone : c’est l ‘andropause. A ce sujet, les experts sont encore divisés mais la plupart reconnaissent qu’elle peut produire des symptômes similaires.

    Dans le cas présent, les chercheurs se sont intéressés aux hommes ayant du recourir à une « castration » chimique pour traiter, par exemple, un cancer de la prostate. Ceux-là, peuvent ressentir des bouffées de chaleur typiques. Les médecins ont pu objectiver l’existence de ces troubles grâce à une technique qui consiste à mesure la conductivité de la peau au niveau du sternum. Celle-ci augmente quand les bouffées apparaissent.

    Les auteurs, qui publient leur synthèse dans le journal Psychophysiology, estiment que cet effet secondaire de la castration chimique était totalement ignoré jusqu’à présent. Cette étude va permettre d’améliorer la prise en charge des hommes les plus sévèrement atteints sans qu’il soit d’ailleurs forcément obligé d’avoir recours à des médicaments. En effet, étant donné que certains homme ne s’en plaignent pas cela veut dire qu’ils ont la «capacité d’occulter ce phénomène. Ce qui laisse supposer que des thérapies comportementales pourraient être efficaces, seules ou en complément d’un traitement.

    Par Sciences et Avenirs

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