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Le deuxième patient qui avait reçu un coeur artificiel Carmat, en août au CHU de Nantes, est décédé samedi, a annoncé lundi le groupe dans un communiqué.
Il est décédé de "complications post-opératoires". Le second patient français qui avait reçu un coeur artificiel Carmart est décédé samedi, a-t-on appris ce lundi en fin de journée, de la part de l'entreprise. L'homme avait été admis vendredi au CHU de Nantes en raison d'une "insuffisance circulatoire".
Les médecins avaient alors constaté une "une dérive fonctionnelle de la prothèse" qui lui avait été greffée en août dernier. Alors qu'une nouvelle prothèse devait lui être posée, le patient est décédé à l'issue de l'opération. "L'opération a été menée à son terme et la circulation sanguine a été rétablie. Malgré les efforts réalisés, des complications (...) post-opératoires se sont installées, et le patient est décédé samedi 2 mai en fin d'après-midi", a jouté Carmat, société cotée en bourse.
Carmat reste "résolument confiant"
Agé de 68 ans, ce patient menait pourtant "une vie quasi-normale", assurait en janvier dernier, au Parisien, le professeur Alain Carpentier, à l'origine de cette prothèse unique au monde. L'homme, qui confiait, lui-même, dans un entretien au JDD, avoir "récupéré", succédait à un premier patient, âgé, lui, de 76 ans, et qui avait survécu 74 jours après la greffe d'un coeur artificiel.
Par ailleurs, à la fin du mois d'avril, le groupe Carmat a annoncé qu'un troisième patient a également bénéficié d'une prothèse, implantée quelques semaines plus tôt par une équipe de l'hôpital Georges-Popimdou, à Paris. Au total, cette phase d'essais clinique prévoit d'équiper quatre patients, tous gravement malades, afin d'évaluer la survie à trente jours. "La société reste résolument confiante dans la capacité de la prothèse et renouvelle l'engagement total de ses équipes en ce sens", a considéré Marcello Conviti, directeur général de Carmat, dans un communiqué.
Metronews
Il est décédé de "complications post-opératoires". Le second patient français qui avait reçu un coeur artificiel Carmart est décédé samedi, a-t-on appris ce lundi en fin de journée, de la part de l'entreprise. L'homme avait été admis vendredi au CHU de Nantes en raison d'une "insuffisance circulatoire".
Les médecins avaient alors constaté une "une dérive fonctionnelle de la prothèse" qui lui avait été greffée en août dernier. Alors qu'une nouvelle prothèse devait lui être posée, le patient est décédé à l'issue de l'opération. "L'opération a été menée à son terme et la circulation sanguine a été rétablie. Malgré les efforts réalisés, des complications (...) post-opératoires se sont installées, et le patient est décédé samedi 2 mai en fin d'après-midi", a jouté Carmat, société cotée en bourse.
Carmat reste "résolument confiant"
Agé de 68 ans, ce patient menait pourtant "une vie quasi-normale", assurait en janvier dernier, au Parisien, le professeur Alain Carpentier, à l'origine de cette prothèse unique au monde. L'homme, qui confiait, lui-même, dans un entretien au JDD, avoir "récupéré", succédait à un premier patient, âgé, lui, de 76 ans, et qui avait survécu 74 jours après la greffe d'un coeur artificiel.
Par ailleurs, à la fin du mois d'avril, le groupe Carmat a annoncé qu'un troisième patient a également bénéficié d'une prothèse, implantée quelques semaines plus tôt par une équipe de l'hôpital Georges-Popimdou, à Paris. Au total, cette phase d'essais clinique prévoit d'équiper quatre patients, tous gravement malades, afin d'évaluer la survie à trente jours. "La société reste résolument confiante dans la capacité de la prothèse et renouvelle l'engagement total de ses équipes en ce sens", a considéré Marcello Conviti, directeur général de Carmat, dans un communiqué.
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