L’Algérie aura, finalement, son laboratoire de recherche sur le sida et il sera implanté à Tizi Ouzou.
Les équipements nécessaires, dont le coût est évalué à 7 milliards de centimes, seront acheminés d’Europe, notamment de France, dans les prochains jours qui viennent. Mais le véritable travail ne commencera, en réalité, que dans une année.
C’est le promoteur du projet lui-même, le professeur Kamel Sanhadji, qui nous l’a affirmé, samedi soir, en marge des travaux de l’APN. Le chercheur de l’université de Lyon, fait chevalier de la Légion d’honneur par le Président français, Jacques Chirac, a affirmé avoir couru pendant six mois pour avoir le quitus du gouvernement de réaliser le projet qui lui est cher.
Kamel Sanhadji vient de réaliser un rêve, lui qui ne cessait d’interpeller les hautes autorités du pays sur l’urgence de construire un laboratoire de recherche digne du nom pour participer à l’effort mondial de lutte et de prévention contre la maladie du siècle.
Quant au projet lui-même, l’éminent médecin et député de l’immigration a affirmé qu’il sera installé à la faculté de médecine de l’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou. Les équipements nécessaires, dont le coût est évalué à 7 milliards de centimes, seront acheminés d’Europe, notamment de France, dans les prochains jours qui viennent. Mais le véritable travail ne commencera, en réalité, que dans une année.
Kamel Sanhadji a indiqué que le laboratoire en question sera doté de moyens technologiques de pointe, à l’image de celui de Lyon, où le professeur exerce. Le chercheur algérien se déplacera une fois par mois pour assister ses homologues de Tizi Ouzou, qu’il formera lui-même en France. Ces derniers seront une vingtaine, selon le professeur Sanhadji, qui a précisé que le projet devait être réalisé initialement à Alger. Mais des problèmes administratifs ont fait qu’il soit transféré à Tizi Ouzou où il a été favorablement accueilli.
A noter que l’Algérie, qui s’est investie politiquement dans la lutte contre le sida, ne dispose pas, jusqu’à présent, de laboratoire ou centre de recherche dans le domaine.
Le professeur Sanhadji gère une équipe de recherche à l’université de Lyon depuis de nombreuses années. Il a réalisé des résultats remarquables notamment en ce qui concerne le traitement du VIH, le virus du Sida. Il a été fait chevalier de la Légion d’honneur par le président de la République française, Jacques Chirac, récompense de ses travaux scientifiques, notamment ceux relatifs au sida.
- Le Jeune Independant
Les équipements nécessaires, dont le coût est évalué à 7 milliards de centimes, seront acheminés d’Europe, notamment de France, dans les prochains jours qui viennent. Mais le véritable travail ne commencera, en réalité, que dans une année.
C’est le promoteur du projet lui-même, le professeur Kamel Sanhadji, qui nous l’a affirmé, samedi soir, en marge des travaux de l’APN. Le chercheur de l’université de Lyon, fait chevalier de la Légion d’honneur par le Président français, Jacques Chirac, a affirmé avoir couru pendant six mois pour avoir le quitus du gouvernement de réaliser le projet qui lui est cher.
Kamel Sanhadji vient de réaliser un rêve, lui qui ne cessait d’interpeller les hautes autorités du pays sur l’urgence de construire un laboratoire de recherche digne du nom pour participer à l’effort mondial de lutte et de prévention contre la maladie du siècle.
Quant au projet lui-même, l’éminent médecin et député de l’immigration a affirmé qu’il sera installé à la faculté de médecine de l’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou. Les équipements nécessaires, dont le coût est évalué à 7 milliards de centimes, seront acheminés d’Europe, notamment de France, dans les prochains jours qui viennent. Mais le véritable travail ne commencera, en réalité, que dans une année.
Kamel Sanhadji a indiqué que le laboratoire en question sera doté de moyens technologiques de pointe, à l’image de celui de Lyon, où le professeur exerce. Le chercheur algérien se déplacera une fois par mois pour assister ses homologues de Tizi Ouzou, qu’il formera lui-même en France. Ces derniers seront une vingtaine, selon le professeur Sanhadji, qui a précisé que le projet devait être réalisé initialement à Alger. Mais des problèmes administratifs ont fait qu’il soit transféré à Tizi Ouzou où il a été favorablement accueilli.
A noter que l’Algérie, qui s’est investie politiquement dans la lutte contre le sida, ne dispose pas, jusqu’à présent, de laboratoire ou centre de recherche dans le domaine.
Le professeur Sanhadji gère une équipe de recherche à l’université de Lyon depuis de nombreuses années. Il a réalisé des résultats remarquables notamment en ce qui concerne le traitement du VIH, le virus du Sida. Il a été fait chevalier de la Légion d’honneur par le président de la République française, Jacques Chirac, récompense de ses travaux scientifiques, notamment ceux relatifs au sida.
- Le Jeune Independant
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