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Comment prévenir les hémorroïdes

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  • Comment prévenir les hémorroïdes

    INFOGRAPHIE - Une personne sur cinq est concernée. Avant d'envisager l'intervention, bien d'autres traitements existent.



    «Les hémorroides provoquent des troubles bénins et fréquents qu'il faut traiter quand ils deviennent gênants, mais leurs symptômes peuvent révéler d'autres pathologies parfois graves», rappelle le Pr Laurent Siproudhis, chef du service de gastro-entérologie du CHU de Rennes. Il est difficile de connaître la prévalence exacte de la maladie hémorroïdaire en France: les deux tiers des patients ne consultent pas de médecin et recourent à l'automédication si besoin. Les chiffres reposent donc sur des enquêtes par questionnaire, qui, en France, indiquent qu'une personne sur cinq déclare avoir souffert de troubles hémorroïdaires au cours de l'année écoulée.


    Tout le monde a des hémorroïdes, elles font partie de la structure normale du rectum et jouent un rôle essentiel dans l'étanchéité de l'anus. Elles sont constituées d'un ensemble de vaisseaux sanguins organisés en paquets placés autour de l'extrémité du canal anal et qui gonflent pour permettre de contrôler l'échappement des gaz. Les problèmes naissent lorsque les hémorroïdes deviennent sujettes à l'inflammation ou que les tissus qui les soutiennent se relâchent. Elles peuvent alors se dilater et/ou descendre jusqu'à l'anus et se trouver irritées par le passage des selles, en provoquant parfois des saignements. Les paquets d'hémorroïdes peuvent parfois même atteindre l'extérieur et, lorsqu'elles se dilatent trop, conduire à la formation d'un caillot qui provoque une douleur violente: c'est la crise hémorroïdaire, qui peut durer plusieurs jours. De nombreux facteurs peuvent favoriser l'apparition de la maladie hémorroïdaire, mais l'accouchement et les troubles du transit sont responsables de la très grande majorité des cas. La poussée excessive pour expulser les selles est néfaste, ce qui met la constipation au premier rang des facteurs de risque. En cas de constipation, l'effort à fournir peut favoriser l'apparition de troubles des hémorroïdes. Lorsqu'ils sont provoqués par les poussées lors de l'accouchement, ils sont le plus souvent temporaires. Le relâchement des tissus de soutien des hémorroïdes joue un rôle important, il se produit naturellement avec l'âge, mais si vous lisez cet article aux toilettes, vous prenez également un risque pour vos hémorroïdes.
    Manger plus de fibres

    Le diagnostic ne peut se faire que par l'examen de l'anus avec un toucher rectal ou l'observation par un simple anuscope. Il s'agit d'un examen gênant, pour le médecin et pour le patient, mais que l'un et l'autre doivent exiger. «Les symptômes des troubles hémorroïdaires: douleurs, saignements et épanchements peuvent signaler d'autres pathologies», insiste le Dr Philippe Godeberge, hépato-gastro-entérologue à l'Institut mutualiste Montsouris, à Paris. La présence de sang dans les selles doit ainsi toujours conduire à consulter pour dépister un éventuel cancer colorectal.
    Lorsque le diagnostic est confirmé, la régulation du transit constitue le cœur du traitement: augmenter la quantité de fibres dans son alimentation en consommant plus de fruits et de légumes, aussi bien crus que cuits, et boire suffisamment sont des parades indispensables. L'activité physique, même modérée mais régulière, favorise également un transit harmonieux. En cas de constipation rebelle, il est possible d'utiliser des laxatifs doux ou d'augmenter la proportion de fibres par des compléments alimentaires spécifiques. Ces mesures sont suffisantes dans 40 % des cas.En cas de crise ,les traitements locaux,comme les crémes et les suppositoires peuvent apporter un soulagement

    Les antalgiques et certains anti-inflammatoires doivent être utilisés pour lutter contre la douleur. «Il existe désormais des études qui confirment l'intérêt des veinotoniques en cure courte au moment des crises», ajoute le Pr Godeberge. Ces traitements n'ont cependant aucun effet pour prévenir l'apparition de nouveaux troubles si les règles hygiéno-diététiques ne suffisent pas. Lorsque la maladie hémorroïdaire est plus avancée, le médecin pourra recommander une intervention directe. La maladie hémorroïdaire est une maladie fonctionnelle, sans conséquences néfastes pour la santé du patient: aucune décision ne doit se faire dans l'urgence. Médecin et patient pourront ainsi décider ensemble de l'approche utilisée en tenant compte du stade d'évolution de la maladie, de l'aspect des hémorroïdes, mais aussi de ce qui semble plus acceptable pour le patient.
    La chirurgie en dernier recours

    La pratique du médecin, qui obtient de meilleurs résultats avec les techniques qui lui sont habituelles, est également un facteur important. Il proposera en premier lieu des techniques instrumentales qui visent à corriger l'affaissement des tissus. Dans une petite proportion des cas les plus graves (entre 3 à 8 % des patients qui consultent pour des troubles hémorroïdaires), la chirurgie sera nécessaire pour retirer tout ou partie des hémorroides . Dans tous les cas, les mesures de prévention à long terme et les traitements sont d'autant moins invasifs et d'autant plus efficaces qu'ils sont mis en place dès le début des troubles répétés liés aux hémorroïdes
    le figaro

  • #2
    pour certaine personne c'est la consommation des pimets noires qui leurs de grave crise..le piment noir est connu pour avoir un effet antipasmodique..les filles qui des douleurs de regle peuvent prendre un piment en entier comme un cachet..il va se decomposer dans les le ventre et liberer a petite dose les antispasmodqiue mieux que de le broyer..peut etre que Dieu a créer dez cachet bien dosé qui sait..Il peut tout pévoir pour tout faire

    il faut donc etudier la prise en entier d'un grain de piment et le suivre

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    • #3
      Tout le monde a des hémorroïdes, elles font partie de la structure normale du rectum
      la partie haute de l'anus plutot et non le rectum

      si les règles hygiéno-diététiques ne suffisent pas. Lorsque la maladie hémorroïdaire est plus avancée, le médecin pourra recommander une intervention directe.
      !!!!!!
      Avant d'arriver à la chirurgie , d'autres alternatives thérapeutiques sont à épuiser ...
      « Celui qui ne sait pas hurler , Jamais ne trouvera sa bande " CPE

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      • #4
        Il y a les suppo anesthésiants!... Cinq minutes chrono et la crise passe! Ouf!!!
        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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        • #5
          ne jamais manger de riz,ne pas manger trop de pain blanc,manger tous les jours olives noires pour faciliter le transit.

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          • #6
            manger tous les jours olives noires pour faciliter le transit.
            C'est vrai !!! Et par quel mécanisme ?
            « Celui qui ne sait pas hurler , Jamais ne trouvera sa bande " CPE

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            • #7
              Citation:
              manger tous les jours olives noires pour faciliter le transit.
              Je dirais plutot manger tous les jours des pruneaux et boire beaucoup d'eau.

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              • #8
                premierjour @

                les olives mettent de l huile sur les parois intestinales et font glisser les dechets.
                pour l effet mecanique il faut du magnesium qure l on trouve dans des eaux minerales comme hepar ,evian ou contrex.la banane et le chocolat contiennent egalement du magnesium.
                une constipation chronique peut provoquer des hemorroides.

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