Nos enfants courent un véritable danger: Poids du cartable
Un «scandale sanitaire» !
Maux divers, déformations à long terme de l’ossature de l’enfant en pleine croissance et parfois mal nourri, essoufflement, fatigue…, telles sont entre autres les conséquences contre lesquelles les médecins mettent en garde.
Il est urgent aujourd’hui que ce problème soit pris en charge.
Les cartables plombent de plus en plus le dos de nos enfants. Les études médicales sont sans équivoque, ce poids est préjudiciable pour leur ossature en pleine formation. La situation a été maintes fois dénoncée par les élèves et leurs parents. Ces derniers ne cessent de rappeler l’importance de l’installation de casiers dans nos écoles.
Mais aussi d’alléger les programmes scolaires pour diminuer cette charge aux conséquences négatives sur la santé de toute une génération d’écoliers. Il s’agit d’un réel problème de santé publique qui ira en s’aggravant devant l’autisme des autorités concernées. Car, hormis la distribution de quelques armoires par le service des équipements à une poignée d’établissements scolaires, la question demeure posée trois mois après la rentrée des classes.
InfoSoir
Un «scandale sanitaire» !
Maux divers, déformations à long terme de l’ossature de l’enfant en pleine croissance et parfois mal nourri, essoufflement, fatigue…, telles sont entre autres les conséquences contre lesquelles les médecins mettent en garde.
Il est urgent aujourd’hui que ce problème soit pris en charge.
Les cartables plombent de plus en plus le dos de nos enfants. Les études médicales sont sans équivoque, ce poids est préjudiciable pour leur ossature en pleine formation. La situation a été maintes fois dénoncée par les élèves et leurs parents. Ces derniers ne cessent de rappeler l’importance de l’installation de casiers dans nos écoles.
Mais aussi d’alléger les programmes scolaires pour diminuer cette charge aux conséquences négatives sur la santé de toute une génération d’écoliers. Il s’agit d’un réel problème de santé publique qui ira en s’aggravant devant l’autisme des autorités concernées. Car, hormis la distribution de quelques armoires par le service des équipements à une poignée d’établissements scolaires, la question demeure posée trois mois après la rentrée des classes.
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