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Faut-il ou non se faire vacciner contre la grippe ?

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  • #61
    Y A-t-il Anguille Sous Roche

    Alger- Après avoir rejeté le rapport de l’Institut Pasteur, le ministère de la santé signe un contrat avec le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK), impliquant l’Institut Pasteur dans les décès des algériens.
    Les clauses du contrat conclue entre le ministère de la santé, des populations et de la réforme hospitalière, par le biais de l’Institut Pasteur avec le laboratoire britannique ont dévoilé les points noirs dont le laboratoire britannique s’est prémuni et donc n’assume aucune responsabilité criminelle dans le cas de décès ou de complications causées par l’usage des vaccins.

    L’Institut Pasteur, qui devait être une partie essentielle des négociations avec le laboratoire britannique GSK, s’est retrouvé obligé d’accepter les clauses sans discussions aucune, bien que le directeur de l’Institut ait transmit une lettre de protestation n°143, datée du 4 août dernier, demandant au Secrétaire général du ministère de la santé Abdeslam Chakou, de revoir ces clauses.

    Acquisition du vaccin : Marché à l’amiable

    Le début des négociations remontent à l’été dernier, lorsque l’Institut s’était retrouvé dans l’incapacité d’acquérir les vaccins faute de ne pouvoir payer la totalité lors de l’achat. Cette situation a obligée le ministre de la santé, Barkat, à recourir au fonds des urgences et libérer la somme de 8 milliards 400 millions de dinars. Il avait fallu l’intervention du premier ministre pour le transfert de la somme entre du ministère à l’Institut Pasteur. Le ministère à expliqué le recours au marché à l’amiable ; l’urgence, la nécessité de protéger les algériens de la pandémie et le nombre limité de laboratoires produisant le vaccin antigrippaux. Pour ces raisons, le ministère a recouru à quatre laboratoires : le britannique GlaxoSmithKline (GSK ), Novartis, Baxter, Sanofi Pasteur, et a reçu des propositions du laboratoire GSK de 20 millions de doses de vaccins pour la somme de 7.3 Euros la doses alors que Novartis a proposé 10 millions de doses pour le prix unitaire de 4 Euros, Sanofi Pasteur a de son côté proposé 28 millions de doses à 6 euros la doses. Le choix a alors été porté sur GSK et Novartis pour la qualité et le prix.

    Ennahar/ Asma Menouar:
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    • #62
      un camarade m'a dit qu'à monréal il se font "prier" pour se faire vacciner gratuitement, mais les gens ne se pressent pas à le faire. c'est le wait and see partout.
      je confirme .

      meme le personnel des hopitaux a Montréal refusent ce vaccin , alors qu'ils sont constamment en contact avec des patients grippés

      Commentaire


      • #63
        Aujourd’hui, début de la vaccination, Ce n’est pas trop tôt…

        C’est aujourd’hui, enfin que débutera la première opération de la campagne de vaccination contre la grippe A/H1N1, et ce, après que le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques et le Centre national de toxicologie ainsi que l’Institut Pasteur d’Algérie eurent conclu la conformité des vaccins, a indiqué hier un communiqué du ministère de la Santé rapporte l’APS.

        Une campagne qui aura suscité une grande polémique au sein de la population et même dans les différents corps du secteur. Ainsi, le communiqué expliquera que la 1re phase de cette campagne concernera essentiellement les personnels de la santé aussi bien des secteurs public, parapublic que privé. Quant à la 2e phase dont le lancement est prévu pour mercredi 6 janvier 2010, elle visera particulièrement les femmes enceintes.

        Resteront les 3e, 4e, 5e et 6e opérations qui toucheront respectivement le personnel assurant le maintien des activités essentielles et stratégiques, les patients, adultes et enfants atteints de pathologies chroniques, les enfants et adolescents de plus de six mois à 24 ans et l’entourage des nourrissons de moins de six mois.

        Il est à noter à ce sujet que la tutelle n’a annoncé aucune date à propos de la vaccination de ces dernières catégories, notamment celle qui intéresse les écoliers, collégiens et lycéens.

        En effet, rappelons-le, la Fédération nationale des parents d’élèves, pour éviter la propagation du virus en milieu scolaire, avait récemment appelé à ce que les enfants se fassent vacciner avant la reprise des cours prévue pour le 3 janvier prochain.

        Chose pour laquelle la tutelle ne semble pas donner le crédit nécessaire, car en plus de ne pas avoir arrêté une date pour cette tranche de la population qui se chiffre à plus de 8 millions d’élèves tous cycles confondus, les responsables du ministère de la Santé, qui ont eu à établir les 6 phases de vaccination ainsi que les personnes ciblées pour chaque phase, ont inscrit ces 8 millions de scolarisés en 5e position.

        Ceci dit, le responsable de la communication du ministère, dans son point de presse d’avant-hier, avait fait allusion à ce sujet, déclarant que la vaccination des élèves se ferait au niveau des écoles et qu’un dispositif a été mis en place pour faire face aux effets indésirables de la vaccination.

        S’agissant de la quantité de vaccins actuellement disponibles au niveau des différentes structures de santé publique, elle est de 713 000 doses dont 350 000 sont destinées à la vaccination du personnel médical, a indiqué le responsable de la communication. En outre, il affirmera que cette quantité, en plus de couvrir les 2 premières catégories de populations ciblées permettra, aussi d’entamer la vaccination des personnes de la 3e phase.

        A ce propos, il y a lieu de rappeler que la certification du vaccin contre la grippe A/H1N1 a demandé plus de 3 semaines au niveau des organismes concernés, une durée que le responsable de la communication du département de Barkat, intervenant sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, a jugé normale pour une opération d’une telle envergure, sauf qu’en parallèle le nombre de décès et de cas confirmés a augmenté.

        Il soulignera que le retard enregistré par l’opération de vaccination, qui aurait pu être entamée au mois de septembre dernier, est dû au fait que «les autorités canadiennes n’avaient pas encore homologué le produit et que la loi algérienne exige aussi une analyse et la délivrance d’un certificat de conformité pour chaque médicament commercialisé en Algérie». Voilà donc une bonne nouvelle qui en principe viendra atténuer l’inquiétude des Algériens face à la pandémie : les vaccins sont là.

        Cependant, un autre problème se pose, celui de convaincre la population qui éprouve une certaine appréhension à se faire vacciner faute d’une véritable communication autre que celle de donner des bilans des décès et de cas confirmés, et également d’une réelle transparence dans l’information concernant et la maladie et le vaccin.

        Il est du droit des citoyens d’être informés sur les enjeux de la vaccination, les différents composants du vaccin ainsi que les effets indésirables et secondaires qu’il pourrait engendrer. C’est justement ce que le ministère de la Santé a omis de concrétiser dans sa stratégie de lutte contre la grippe A et qui a suscité tant de polémique et d’appréhension au sein de la société.

        Aujourd’hui, début de la vaccination, Ce n’est pas trop tôt…
        Le jour d'algerie | Posté le : Mardi 29 décembre à 23:29 | 0 CommentsC’est aujourd’hui, enfin que débutera la première opération de la campagne de vaccination contre la grippe A/H1N1, et ce, après que le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques et le Centre national de toxicologie ainsi que l’Institut Pasteur d’Algérie eurent conclu la conformité des vaccins, a indiqué hier un communiqué du ministère de la Santé rapporte l’APS.

        Une campagne qui aura suscité une grande polémique au sein de la population et même dans les différents corps du secteur. Ainsi, le communiqué expliquera que la 1re phase de cette campagne concernera essentiellement les personnels de la santé aussi bien des secteurs public, parapublic que privé. Quant à la 2e phase dont le lancement est prévu pour mercredi 6 janvier 2010, elle visera particulièrement les femmes enceintes.

        Resteront les 3e, 4e, 5e et 6e opérations qui toucheront respectivement le personnel assurant le maintien des activités essentielles et stratégiques, les patients, adultes et enfants atteints de pathologies chroniques, les enfants et adolescents de plus de six mois à 24 ans et l’entourage des nourrissons de moins de six mois.

        Il est à noter à ce sujet que la tutelle n’a annoncé aucune date à propos de la vaccination de ces dernières catégories, notamment celle qui intéresse les écoliers, collégiens et lycéens.

        En effet, rappelons-le, la Fédération nationale des parents d’élèves, pour éviter la propagation du virus en milieu scolaire, avait récemment appelé à ce que les enfants se fassent vacciner avant la reprise des cours prévue pour le 3 janvier prochain.

        Chose pour laquelle la tutelle ne semble pas donner le crédit nécessaire, car en plus de ne pas avoir arrêté une date pour cette tranche de la population qui se chiffre à plus de 8 millions d’élèves tous cycles confondus, les responsables du ministère de la Santé, qui ont eu à établir les 6 phases de vaccination ainsi que les personnes ciblées pour chaque phase, ont inscrit ces 8 millions de scolarisés en 5e position.

        Ceci dit, le responsable de la communication du ministère, dans son point de presse d’avant-hier, avait fait allusion à ce sujet, déclarant que la vaccination des élèves se ferait au niveau des écoles et qu’un dispositif a été mis en place pour faire face aux effets indésirables de la vaccination.

        S’agissant de la quantité de vaccins actuellement disponibles au niveau des différentes structures de santé publique, elle est de 713 000 doses dont 350 000 sont destinées à la vaccination du personnel médical, a indiqué le responsable de la communication. En outre, il affirmera que cette quantité, en plus de couvrir les 2 premières catégories de populations ciblées permettra, aussi d’entamer la vaccination des personnes de la 3e phase.


        A ce propos, il y a lieu de rappeler que la certification du vaccin contre la grippe A/H1N1 a demandé plus de 3 semaines au niveau des organismes concernés, une durée que le responsable de la communication du département de Barkat, intervenant sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, a jugé normale pour une opération d’une telle envergure, sauf qu’en parallèle le nombre de décès et de cas confirmés a augmenté.

        Il soulignera que le retard enregistré par l’opération de vaccination, qui aurait pu être entamée au mois de septembre dernier, est dû au fait que «les autorités canadiennes n’avaient pas encore homologué le produit et que la loi algérienne exige aussi une analyse et la délivrance d’un certificat de conformité pour chaque médicament commercialisé en Algérie». Voilà donc une bonne nouvelle qui en principe viendra atténuer l’inquiétude des Algériens face à la pandémie : les vaccins sont là.

        Cependant, un autre problème se pose, celui de convaincre la population qui éprouve une certaine appréhension à se faire vacciner faute d’une véritable communication autre que celle de donner des bilans des décès et de cas confirmés, et également d’une réelle transparence dans l’information concernant et la maladie et le vaccin.

        Il est du droit des citoyens d’être informés sur les enjeux de la vaccination, les différents composants du vaccin ainsi que les effets indésirables et secondaires qu’il pourrait engendrer. C’est justement ce que le ministère de la Santé a omis de concrétiser dans sa stratégie de lutte contre la grippe A et qui a suscité tant de polémique et d’appréhension au sein de la société.

        Lynda N.B.

        Barkat rassure: Le vaccin utilisé en Algérie est efficace

        Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Saïd Barkat, a rassuré mardi à Alger la population que l’Arepanrix, le vaccin utilisé en Algérie contre le virus pandémique A/H1N1, est «efficace». «Ce vaccin est efficace.

        Il est reconnu par l’Organisation mondiale de la santé, homologué par les autorités sanitaires canadiennes et validé par le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques», a-t-il déclaré après s’être fait vacciner, pour souligner l’importance de cet acte pour se protéger contre une éventuelle contamination.

        Il a tenu à relever aussi que le vaccin, commandé auprès de la filiale canadienne du groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline «GSK», est utilisé dans «plus de 30 pays».

        Le ministre a précisé que l’Algérie a exigé, avant de réceptionner les premiers lots, un certificat de conformité du laboratoire d’origine, ajoutant : «Si nous n’avions pas eu de garanties de la part des laboratoires nationaux, nous n’aurions jamais décidé le lancement de la campagne de vaccination».

        «Une fois les doses réceptionnées, elles ont été analysées et contrôlées, pendant 21 jours, au niveau de trois laboratoires locaux, à savoir l’Institut Pasteur d’Algérie, le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques et le Centre national de toxicologie», a-t-il rappelé. La vaccination est gratuite, pas obligatoire et fortement recommandée.
        Algérie360.com
        Je deviens paranoïaque pour certains mais en réalité j'ai appris des choses dont je ne soupçonnais guère l'existence.

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