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La pénurie de médicament est un vrai casse-tête pour notre gouvernement, à sa tête le ministère de la Santé et ce depuis la décision récente prise par notre gouvernement, visant l’encouragement de la production locale des médicaments.
Pour chercher les raisons à cette pénurie qui persiste, les ministères de la Santé er du Commerce ont ouvert récemment une enquête nationale sur l’indisponibilité de 165 médicaments sur le marché algérien, en réponse à la sonnette d’alarme tirée par des associations et des syndicats du secteur sur la rareté de certains produits notamment ceux relatifs aux maladies chroniques.
Dans une première étape, les services habilités inspecteront un certain nombre de pharmacies et d’hôpitaux dans les quatre coins du pays. Si la rareté ou la perturbation est confirmée, une autre enquête, ciblant les stocks, les importateurs et les opérateurs économiques dans le domaine sera déclenchée, a-t-on appris.
Il convient de rappeler que cette affaire a éclaté lorsque de nombreuses parties, dont le président du réseau des associations algériennes des malades chroniques, ont accusé le ministère de tutelle de mener une politique hasardeuse, dans la gestion du marché des médicaments, ce qui a donc entraîné une perturbation dans la disponibilité des produits pharmaceutiques. Cette politique doit être revue, préconisent les différents syndicats nationaux des pharmaciens d’officine, réclamant plus de contrôle et un accompagnement des importateurs.
Le ministre de la Santé dément toujours l’existence d’une quelconque crise du médicament ou pénurie, lors de ses déclarations, la semaine dernière à la presse, en marge de la séance plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN).
En outre, le premier responsable du secteur avait déjà eu à enquêter auparavant, en juin, sur l’indisponibilité de 75 médicaments sur le marché local. Les résultats de l’enquête avaient alors révélé une légère perturbation dans certaines wilayas, mais la situation avait été définitivement prise en charge, tout en obligeant les pharmaciens à avoir recours aux médicaments génériques en cas de rareté mondiale du médicament de référence. Mais il paraît que cette solution n’a pas atteint ses objectifs, sinon comment expliquer cette pénurie de différents médicaments.
Par la Dépêche de Kabylie
Pour chercher les raisons à cette pénurie qui persiste, les ministères de la Santé er du Commerce ont ouvert récemment une enquête nationale sur l’indisponibilité de 165 médicaments sur le marché algérien, en réponse à la sonnette d’alarme tirée par des associations et des syndicats du secteur sur la rareté de certains produits notamment ceux relatifs aux maladies chroniques.
Dans une première étape, les services habilités inspecteront un certain nombre de pharmacies et d’hôpitaux dans les quatre coins du pays. Si la rareté ou la perturbation est confirmée, une autre enquête, ciblant les stocks, les importateurs et les opérateurs économiques dans le domaine sera déclenchée, a-t-on appris.
Il convient de rappeler que cette affaire a éclaté lorsque de nombreuses parties, dont le président du réseau des associations algériennes des malades chroniques, ont accusé le ministère de tutelle de mener une politique hasardeuse, dans la gestion du marché des médicaments, ce qui a donc entraîné une perturbation dans la disponibilité des produits pharmaceutiques. Cette politique doit être revue, préconisent les différents syndicats nationaux des pharmaciens d’officine, réclamant plus de contrôle et un accompagnement des importateurs.
Le ministre de la Santé dément toujours l’existence d’une quelconque crise du médicament ou pénurie, lors de ses déclarations, la semaine dernière à la presse, en marge de la séance plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN).
En outre, le premier responsable du secteur avait déjà eu à enquêter auparavant, en juin, sur l’indisponibilité de 75 médicaments sur le marché local. Les résultats de l’enquête avaient alors révélé une légère perturbation dans certaines wilayas, mais la situation avait été définitivement prise en charge, tout en obligeant les pharmaciens à avoir recours aux médicaments génériques en cas de rareté mondiale du médicament de référence. Mais il paraît que cette solution n’a pas atteint ses objectifs, sinon comment expliquer cette pénurie de différents médicaments.
Par la Dépêche de Kabylie