La pathologie vasculaire est "mal prise en charge" en Algérie, d'où la nécessité notamment de former davantage les jeunes médecins dans cette spécialité, a déclaré, jeudi à Alger, le Pr Mansour Brouri, président de la Société algérienne de la médecine vasculaire (SAMEV).
La pathologie vasculaire "est mal prise en charge en Algérie", a déploré le Pr Brouri, lors de l'inauguration des 2émes Journées d'enseignement de médecine vasculaire, organisées à la bibliothèque nationale d'El-Hamma, soulignant la nécessité de donner une plus grande importance à cette spécialité.
"Plutôt que d'organiser que des congrès, nous avons opté pour des sessions de formation pathologique vasculaire, parce qu'il n y également pas d'enseignement portant sur la pathologie vasculaire dans le cursus médical, aussi bien en graduation qu'en post-graduation", a-t-il indiqué.
Ce qui fait que les malades "ne sont pris en charge pratiquement dans aucune spécialité existante", a fait savoir le président de la SAMEV.
Le Pr Brouri, a expliqué qu'il s'agit d'une "pathologie qui est au carrefour de la cardiologie, de la médecine interne, de la diabétologie de la chirurgie vasculaire de l'imagerie médicale, donc d'un certain nombre de spécialités qui chacune s'intéresse à cette pathologie par quelques uns de ses aspects mais pas globalement".
A cet effet, vu l'importance de cette pathologie, il estimé qu'il "fallait former beaucoup de jeunes médecins pour les initier à la prise en charge de cette pathologie, aussi bien par une connaissance clinique que par la maîtrise d'un certain nombre d'explorations spécifiques à cette spécialité".
Cette session de formation en médecine vasculaire, qui se tient en partenariat avec la Société française de la médecine vasculaire (SFMV), se tient jusqu'à dimanche, et au cours de laquelle plusieurs sujets liés à cette spécialité seront abordés, dont la "Thrombose veineuse profonde", l'"Embolie pulmonaire", "La Sémiologie échographique des veines des membres inférieurs", "Les techniques scintigraphiques dans l'embolie pulmonaire: indications et résultats", "Le traitement médical de la MVTE", ou "La place de la chirurgie dans le traitement de la MVTE".
Par APS
La pathologie vasculaire "est mal prise en charge en Algérie", a déploré le Pr Brouri, lors de l'inauguration des 2émes Journées d'enseignement de médecine vasculaire, organisées à la bibliothèque nationale d'El-Hamma, soulignant la nécessité de donner une plus grande importance à cette spécialité.
"Plutôt que d'organiser que des congrès, nous avons opté pour des sessions de formation pathologique vasculaire, parce qu'il n y également pas d'enseignement portant sur la pathologie vasculaire dans le cursus médical, aussi bien en graduation qu'en post-graduation", a-t-il indiqué.
Ce qui fait que les malades "ne sont pris en charge pratiquement dans aucune spécialité existante", a fait savoir le président de la SAMEV.
Le Pr Brouri, a expliqué qu'il s'agit d'une "pathologie qui est au carrefour de la cardiologie, de la médecine interne, de la diabétologie de la chirurgie vasculaire de l'imagerie médicale, donc d'un certain nombre de spécialités qui chacune s'intéresse à cette pathologie par quelques uns de ses aspects mais pas globalement".
A cet effet, vu l'importance de cette pathologie, il estimé qu'il "fallait former beaucoup de jeunes médecins pour les initier à la prise en charge de cette pathologie, aussi bien par une connaissance clinique que par la maîtrise d'un certain nombre d'explorations spécifiques à cette spécialité".
Cette session de formation en médecine vasculaire, qui se tient en partenariat avec la Société française de la médecine vasculaire (SFMV), se tient jusqu'à dimanche, et au cours de laquelle plusieurs sujets liés à cette spécialité seront abordés, dont la "Thrombose veineuse profonde", l'"Embolie pulmonaire", "La Sémiologie échographique des veines des membres inférieurs", "Les techniques scintigraphiques dans l'embolie pulmonaire: indications et résultats", "Le traitement médical de la MVTE", ou "La place de la chirurgie dans le traitement de la MVTE".
Par APS