Mon Pays
Sous le soleil azuré le Djurdjura se dresse
Et son ombre s’étend sur le pays Kabyle.
La brise du matin comme une fée caresse
Les vergers des coteaux et la plaine fertile
Mon pays bien-aimé chante dans l’allégresse
Ses oliviers noueux et ses figuiers graciles
Sur la crête des monts se déroule la tresse
Des villages avec leurs toits de tuiles.
Tout le monde connaît tes belles qualités
Du paysan tenace, de l’artisan habile
Vivant dans la vertu de la simplicité.
Dans la paix, le bonheur et la prospérité
Tu vivras, c’est le vœu de tes fils en exil
O terre des aïeux où nos cœurs sont restés
Hocine Benhamza (juin 1954)
Sous le soleil azuré le Djurdjura se dresse
Et son ombre s’étend sur le pays Kabyle.
La brise du matin comme une fée caresse
Les vergers des coteaux et la plaine fertile
Mon pays bien-aimé chante dans l’allégresse
Ses oliviers noueux et ses figuiers graciles
Sur la crête des monts se déroule la tresse
Des villages avec leurs toits de tuiles.
Tout le monde connaît tes belles qualités
Du paysan tenace, de l’artisan habile
Vivant dans la vertu de la simplicité.
Dans la paix, le bonheur et la prospérité
Tu vivras, c’est le vœu de tes fils en exil
O terre des aïeux où nos cœurs sont restés
Hocine Benhamza (juin 1954)
Commentaire