Les écluses des cieux se sont ouvertes,
pour sur la ville,
mouiller les trottoirs et les toits.
Rares sont les habitants,
qu'en cet après midi,
mettent leurs pas à l'extérieur.
Pour mieux arroser la région,
les nuages roulent lentement.
A la pluie tenue prisonnière,
le mistral a laissé sa place.
Et si le paysan s'en trouve satisfait,
le promeneur a préféré se cacher.
Seul le courageux flâneur,
battre la campagne s'en est allé.
Les passereaux ont attendu la pause espérée,
pour gratter l'herbe mouillée.
Leurs trilles enchantées,
sont des bouquets aériens.
Sur les routes du ciel,
seul le rapace n'a pas encore déserté.
Ses longs orbes le font toujours planer.
Ce chasseur infatiguable n'a pas salué sa journée.
Sa révérence il n'a pas encore tiré.
Les lapins ont osé accompagner hors du terrier,
leurs petits en mal de curiosité.
Mais prudents ils se sont montrés.
Le guetteur,
du danger les a averti.
Derrière sa vitre,
le nostalgique a recherché une éclaircie.
Mais des gouttes légères,
leurs lentes descentes elles ont suivies.
La transparence des carreaux,
elles se sont amusées à sillonner.
Sur le rebord de la fenêtre,
des éclats perlés ont éclatés.
L'humidité ainsi a pénétrée,
les champs et les jardins assoiffés.
La pluie, elle aussi est la bienvenue !
Accueillons la avec admiration,
car pour nécessaire elle est tenue !
pour sur la ville,
mouiller les trottoirs et les toits.
Rares sont les habitants,
qu'en cet après midi,
mettent leurs pas à l'extérieur.
Pour mieux arroser la région,
les nuages roulent lentement.
A la pluie tenue prisonnière,
le mistral a laissé sa place.
Et si le paysan s'en trouve satisfait,
le promeneur a préféré se cacher.
Seul le courageux flâneur,
battre la campagne s'en est allé.
Les passereaux ont attendu la pause espérée,
pour gratter l'herbe mouillée.
Leurs trilles enchantées,
sont des bouquets aériens.
Sur les routes du ciel,
seul le rapace n'a pas encore déserté.
Ses longs orbes le font toujours planer.
Ce chasseur infatiguable n'a pas salué sa journée.
Sa révérence il n'a pas encore tiré.
Les lapins ont osé accompagner hors du terrier,
leurs petits en mal de curiosité.
Mais prudents ils se sont montrés.
Le guetteur,
du danger les a averti.
Derrière sa vitre,
le nostalgique a recherché une éclaircie.
Mais des gouttes légères,
leurs lentes descentes elles ont suivies.
La transparence des carreaux,
elles se sont amusées à sillonner.
Sur le rebord de la fenêtre,
des éclats perlés ont éclatés.
L'humidité ainsi a pénétrée,
les champs et les jardins assoiffés.
La pluie, elle aussi est la bienvenue !
Accueillons la avec admiration,
car pour nécessaire elle est tenue !
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