Quand j’observe ce ventre frêle où naguère j’ai vécu,
Merveilleuse et magique, tu l’es, et j’en suis convaincu
Neuf mois de patience, d’épreuves, et de douleurs
Bien avant ma naissance j’étais déjà dans ton cœur.
Tu pleurais de souffrances et de joie en me donnant la vie.
Me voir exister et me voir vivre, c’était ta seule envie.
Tu m’offrais ta poitrine abondante qui m’a tant réchauffé
M’abreuvant de ta voie lactée, comme le ferait une fée.
Tes jambes si lourdes aujourd’hui, mais jadis de gazelle,
Se résignent en silence et ne portent plus ce corps si frêle,
Je te porterai sur mes épaules, tant que tu seras de ce monde,
Je te caresserai et te protégerai, à des kilomètres à la ronde.
Merveilleuse et magique, tu l’es, et j’en suis convaincu
Neuf mois de patience, d’épreuves, et de douleurs
Bien avant ma naissance j’étais déjà dans ton cœur.
Tu pleurais de souffrances et de joie en me donnant la vie.
Me voir exister et me voir vivre, c’était ta seule envie.
Tu m’offrais ta poitrine abondante qui m’a tant réchauffé
M’abreuvant de ta voie lactée, comme le ferait une fée.
Tes jambes si lourdes aujourd’hui, mais jadis de gazelle,
Se résignent en silence et ne portent plus ce corps si frêle,
Je te porterai sur mes épaules, tant que tu seras de ce monde,
Je te caresserai et te protégerai, à des kilomètres à la ronde.
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