Le pays est emporté par un tourbillon,
Qui nous arrache de nos maisons, de nos champs,
Vers d’autres lieues, d’autres continents.
Les flammes embrasent tout sur leur passage,
Il ne reste plus rien, plus de témoignage,
Que les acteurs poursuivent leurs carnages.
Des colonnes de réfugiés errants,
Remplissent les routes de toute la région,
Comme un troupeau de chèvres et de moutons.
Un seul choix : Fuir ou mourir,
Taire sa douleur, sans gémir,
Personne n’est là pour vous secourir
Tout le monde est gagné par le dégoût,
La frayeur de la mort est présente partout,
La vie n’est plus rien du tout.
La guerre est la misère des cœurs,
Elle est le règne de la terreur,
Qui étouffent les faiseurs de bon
Tout le monde est gagné par le dégoût
La frayeur de la mort est présente partout,
La vie n’est plus rien du tout.
La guerre est la misère des cœurs,
Elle est le règne de la terreur,
Qui étouffent les faiseurs de bonheur.
Que restera-t-il après ce typhon ?
Des cadavres, des ombres, des morts vivants,
Qui ont perdu tout langage, toute expression.
Pour le compte, tout est bon,
Point n’est coupable, tous innocents,
Tous des victimes de l’air du temps.
Qui nous arrache de nos maisons, de nos champs,
Vers d’autres lieues, d’autres continents.
Les flammes embrasent tout sur leur passage,
Il ne reste plus rien, plus de témoignage,
Que les acteurs poursuivent leurs carnages.
Des colonnes de réfugiés errants,
Remplissent les routes de toute la région,
Comme un troupeau de chèvres et de moutons.
Un seul choix : Fuir ou mourir,
Taire sa douleur, sans gémir,
Personne n’est là pour vous secourir
Tout le monde est gagné par le dégoût,
La frayeur de la mort est présente partout,
La vie n’est plus rien du tout.
La guerre est la misère des cœurs,
Elle est le règne de la terreur,
Qui étouffent les faiseurs de bon
Tout le monde est gagné par le dégoût
La frayeur de la mort est présente partout,
La vie n’est plus rien du tout.
La guerre est la misère des cœurs,
Elle est le règne de la terreur,
Qui étouffent les faiseurs de bonheur.
Que restera-t-il après ce typhon ?
Des cadavres, des ombres, des morts vivants,
Qui ont perdu tout langage, toute expression.
Pour le compte, tout est bon,
Point n’est coupable, tous innocents,
Tous des victimes de l’air du temps.
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