Elle avait un bouquin à la main
Au long de la piétonniére, toute seule
Marchant tout droit
Elle est passée à coté
Toute seule, elle baladait
Elle etait là
Elle a bu son verre de vin
Triste, pensante, dégoutée
Au début de la la soirée
Elle a ouvert la fenetre
Elle s´assoit sur le biais et commence à chanter
Elle est passée par là
Quand il pleuvait
Sans monteau sans parapluie
Toute mouillée,
Elle avait besoin de pleurer
Elle est là-bas
Elle touche son bras
Elle touche ses pieds
Elle observe sa main
Elle baisse la tete
Pensante, triste
Elle retient ses larmes
Elle regarde loin, tout droit
Un arbre attire son intention
Elle se déstine vert l´arbre
Pleine d´emotion
Elle veut écrire un nom
Elle s´arrette
Elle s´assoit
Elle commence à parler avec elle même
Quand j´etais petite
Il y avait un arbre aussi vieux que celui
Cet arbre se trouve dans une côline
Il me parlait toujours quand j´etais petite
Elle se met debout
Elle marche un peu vers,
une balancoir à enfant
Elle s´assoit, elle commence à se balancer
Elle alonge ses jambe, levant la tete en haut
Elle observe les étoiles, et la lune au milieu
Elle balance, balance encore plus loin
Elle veut atteindre le ciel
En rage émotionnelle
Toute silencieuse
Agressif est son regard
Elle s´arrette
Elle balance sur les points des pieds
Désarmée, dégoutée
Elle se léve, marchant sur la verdure
Quelques méttres, elle s´alonge sur le dos
Les mains sous la nuque, observant les étoiles
Pensant à ce policier tué
Dont elle a fait sa connaissance
Quelques mois avant....
Le chemin qu´elle faisait,
de chez elle en passant par sa ruelle
Une fois avec cartable
Autre avec panier allant ou revenant du marcher
Elle est là!
Au bord de lac
Le soleil brille
Elle s´alonge sous un arbre lisant son bouquin
Elle s´arrêtte de lire, attirée par des enfants
Qui jouent pas loin du coin
Elle se leve, marchant au long du bord de lac
regardant l´eau et les oiseaux qui flottent
Elle ramasse une piérre et la lance dans l´eau
Elle pense toujours à cet enfant,
qu´elle acompagnait pour aller se baigner
Elle retourne chez elle
Et commence à pleurer
Nabila Yacia
Au long de la piétonniére, toute seule
Marchant tout droit
Elle est passée à coté
Toute seule, elle baladait
Elle etait là
Elle a bu son verre de vin
Triste, pensante, dégoutée
Au début de la la soirée
Elle a ouvert la fenetre
Elle s´assoit sur le biais et commence à chanter
Elle est passée par là
Quand il pleuvait
Sans monteau sans parapluie
Toute mouillée,
Elle avait besoin de pleurer
Elle est là-bas
Elle touche son bras
Elle touche ses pieds
Elle observe sa main
Elle baisse la tete
Pensante, triste
Elle retient ses larmes
Elle regarde loin, tout droit
Un arbre attire son intention
Elle se déstine vert l´arbre
Pleine d´emotion
Elle veut écrire un nom
Elle s´arrette
Elle s´assoit
Elle commence à parler avec elle même
Quand j´etais petite
Il y avait un arbre aussi vieux que celui
Cet arbre se trouve dans une côline
Il me parlait toujours quand j´etais petite
Elle se met debout
Elle marche un peu vers,
une balancoir à enfant
Elle s´assoit, elle commence à se balancer
Elle alonge ses jambe, levant la tete en haut
Elle observe les étoiles, et la lune au milieu
Elle balance, balance encore plus loin
Elle veut atteindre le ciel
En rage émotionnelle
Toute silencieuse
Agressif est son regard
Elle s´arrette
Elle balance sur les points des pieds
Désarmée, dégoutée
Elle se léve, marchant sur la verdure
Quelques méttres, elle s´alonge sur le dos
Les mains sous la nuque, observant les étoiles
Pensant à ce policier tué
Dont elle a fait sa connaissance
Quelques mois avant....
Le chemin qu´elle faisait,
de chez elle en passant par sa ruelle
Une fois avec cartable
Autre avec panier allant ou revenant du marcher
Elle est là!
Au bord de lac
Le soleil brille
Elle s´alonge sous un arbre lisant son bouquin
Elle s´arrêtte de lire, attirée par des enfants
Qui jouent pas loin du coin
Elle se leve, marchant au long du bord de lac
regardant l´eau et les oiseaux qui flottent
Elle ramasse une piérre et la lance dans l´eau
Elle pense toujours à cet enfant,
qu´elle acompagnait pour aller se baigner
Elle retourne chez elle
Et commence à pleurer
Nabila Yacia
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