Solitaire,
J’exhume les ombres du passé
Le vent en rafales agace les volets
Vient frapper en biseau la lucarne close
A travers le frimas du temps, s’éclosent
Les teintes d'une tendre volupté
Les heures se détachent, impassibles
Et je perçois, frêle, impossible
Cette gracieuse mélodie qui,
Subtilement, vient caresser les replis
De mon âme fiévreuse, alanguie
Le jour s’incline imperceptiblement
Et la nuit qui s’invite lentement
Chiffonne ma rêverie, trouble mon cœur
Le flot des souvenirs s’abîme songeur
S'échoue sur les rivages de mes pensées
Et une douce folie s'infiltre, éperdue, exaltée.
Sous la voûte céleste, l'opalescence
Du lyrisme de la tourmente, embrase mes sens
D'indicibles souvenirs intemporels,
Qui exhalent les effluves d'une grâce charnelle.
Tu demeures mon immortel...
L'ondée farouche achève de se briser
Sur la vitre nue, heurtant mes songes inspirés
Et mon coeur vacille à la mélancolie
Et mon corps soupire de désirs inassouvis
Le déferlement de la nature expire faiblement
Charriant avec lui l'espérance d'un renouvellement.
Dans l'alcôve secrète de mes songes discrets
Le silence docile sonde mes sens, et je sais
Même si mon coeur chavire et déraisonne
Qu'il ne viendra plus personne...
Voilà, c'était une manière occasionnelle de répondre à l'appel sympathique de certaines personnes...
Bien à vous.
J’exhume les ombres du passé
Le vent en rafales agace les volets
Vient frapper en biseau la lucarne close
A travers le frimas du temps, s’éclosent
Les teintes d'une tendre volupté
Les heures se détachent, impassibles
Et je perçois, frêle, impossible
Cette gracieuse mélodie qui,
Subtilement, vient caresser les replis
De mon âme fiévreuse, alanguie
Le jour s’incline imperceptiblement
Et la nuit qui s’invite lentement
Chiffonne ma rêverie, trouble mon cœur
Le flot des souvenirs s’abîme songeur
S'échoue sur les rivages de mes pensées
Et une douce folie s'infiltre, éperdue, exaltée.
Sous la voûte céleste, l'opalescence
Du lyrisme de la tourmente, embrase mes sens
D'indicibles souvenirs intemporels,
Qui exhalent les effluves d'une grâce charnelle.
Tu demeures mon immortel...
L'ondée farouche achève de se briser
Sur la vitre nue, heurtant mes songes inspirés
Et mon coeur vacille à la mélancolie
Et mon corps soupire de désirs inassouvis
Le déferlement de la nature expire faiblement
Charriant avec lui l'espérance d'un renouvellement.
Dans l'alcôve secrète de mes songes discrets
Le silence docile sonde mes sens, et je sais
Même si mon coeur chavire et déraisonne
Qu'il ne viendra plus personne...
Voilà, c'était une manière occasionnelle de répondre à l'appel sympathique de certaines personnes...
Bien à vous.
Commentaire