Elle porte les montagnes
La crête, la brume
Une lune
Et tout un regard vers le lointain
Elle se pavane
Et se pare pour la nuit des joyaux
Les mots se perdent,
Se noient, se décalent
Vacillent, tentent une fuite
Et elle, toujours
Elle, partout
Elle, aux alentours
S’approprie le sable de tous mes déserts
Les mots affluent puis s’évaporent,
Se juxtaposent, se revendiquent de quelques rires
Puis s’envolent
Elle, elle s’élance par quelque sirocco de passage
Enfourche sa monture
puis s’illumine dans le noir
Et les silences s’éternisent sur nos regards.
La crête, la brume
Une lune
Et tout un regard vers le lointain
Elle se pavane
Et se pare pour la nuit des joyaux
Les mots se perdent,
Se noient, se décalent
Vacillent, tentent une fuite
Et elle, toujours
Elle, partout
Elle, aux alentours
S’approprie le sable de tous mes déserts
Les mots affluent puis s’évaporent,
Se juxtaposent, se revendiquent de quelques rires
Puis s’envolent
Elle, elle s’élance par quelque sirocco de passage
Enfourche sa monture
puis s’illumine dans le noir
Et les silences s’éternisent sur nos regards.
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