Mizirya
Des regards furtifs se jetèrent dans tous les sens
Et des regards se percutent et se fracassent en mille réticences
Que jamais quelqu’un devait tranché le silence
D’un coup de langue qui brise la méfiance
Qui rangeait les cœurs sauvages
Mortifié par toutes les rages
A t’on tué l’enfant ce soir ?
Ou l’a t-on seulement emporté
Avec le vent de la nuit !?
C’était l’hiver glacial,
Le vent secouant méchamment les fenêtres
S’abattait comme un fou de rage sur nos abris
Comme si il portait en lui
Une veille rancune contre nos jours..
Le feu presque éteint dans le cheminée assombri par la fumé
Un brasier maudi sur lequel s'ébrouait une cafetière sifflante
Hommes et femmes se rassemblaient dans la grande maison
Ce soir la veillée sera tissé de bavardages insensés
L’enfant avec les bergers n’est pas revenu..
A ton dit que les barbares barbus ont été vu de loin rodé
L’ont-ils séquestré pour punire notre infidélité à leur idéaux
Ou seulement pour faire peur au gens qui ont décidé
De leur tenir tête jadis comme à l’époque des colons
Un coteau brise le silence et que les carnages commencent
Au clair de la lune..
Le sang coule dans les irrigues
La peur se mêle à l’obscurité des ténèbres
La veille abaisse son regard affaiblit sur le brasier
Sur lequel son cœur frémit comme un bout de viande salé
Du sel encore du sel, sur les pleurs de mes yeux
Sur mes douleurs qui se serrent
Un silence alourdi se hisse d’un coin à l’autre
Mais tous les coins se ressemblent..
De là sur une table base de fortune y’avait encore une galette noire
Noircie froide comme le noir de cette nuit de déboire
Et de là une cruche d’eau vide comme le cœur de la grande maison
Veille battisse qui en a tellement vu
Et jamais tout raconté..
Les murs se tiennent encore et supportent le poids des années
Comme les hommes s’accrochent encore et endurent l’orage de la vie
Des regards furtifs se jetèrent dans tous les sens
Et des regards se percutent et se fracassent en mille réticences
Que jamais quelqu’un devait tranché le silence
D’un coup de langue qui brise la méfiance
Qui rangeait les cœurs sauvages
Mortifié par toutes les rages
A t’on tué l’enfant ce soir ?
Ou l’a t-on seulement emporté
Avec le vent de la nuit !?
C’était l’hiver glacial,
Le vent secouant méchamment les fenêtres
S’abattait comme un fou de rage sur nos abris
Comme si il portait en lui
Une veille rancune contre nos jours..
Le feu presque éteint dans le cheminée assombri par la fumé
Un brasier maudi sur lequel s'ébrouait une cafetière sifflante
Hommes et femmes se rassemblaient dans la grande maison
Ce soir la veillée sera tissé de bavardages insensés
L’enfant avec les bergers n’est pas revenu..
A ton dit que les barbares barbus ont été vu de loin rodé
L’ont-ils séquestré pour punire notre infidélité à leur idéaux
Ou seulement pour faire peur au gens qui ont décidé
De leur tenir tête jadis comme à l’époque des colons
Un coteau brise le silence et que les carnages commencent
Au clair de la lune..
Le sang coule dans les irrigues
La peur se mêle à l’obscurité des ténèbres
La veille abaisse son regard affaiblit sur le brasier
Sur lequel son cœur frémit comme un bout de viande salé
Du sel encore du sel, sur les pleurs de mes yeux
Sur mes douleurs qui se serrent
Un silence alourdi se hisse d’un coin à l’autre
Mais tous les coins se ressemblent..
De là sur une table base de fortune y’avait encore une galette noire
Noircie froide comme le noir de cette nuit de déboire
Et de là une cruche d’eau vide comme le cœur de la grande maison
Veille battisse qui en a tellement vu
Et jamais tout raconté..
Les murs se tiennent encore et supportent le poids des années
Comme les hommes s’accrochent encore et endurent l’orage de la vie
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