Nul besoin de me le dire
Je l’avais ressentie entre tes sourires
Elle était bien là incrustée en toi
Tu as dus sentir mon désarroi
Pourquoi est ce toi
Qui doit subir cela
C’est une hérésie
Une ignominie
Qui te grignote à petit pas
Et je reste là en proie
A rien
Tu es la seule dans ce combat
Face à cette douleur qui prend sur toi
Toute ton énergie
Et qui te dévore comme ça
Et pourquoi est ce à toi
Pourquoi et pourquoi
Que puis je te dire
Quand la douleur est si vive
Qu’on oublie le repos
Qu’on oublie tous les mots
Qu’on ne ressent que les plaies
Aussi vive qu’une lame
Qui cisaille les entrailles.
Comment soulager la douleur
Quand elle prend tant d’ampleur
qu'elle déploie son sinistre manteau
Qu’on en a même plus peur
Elle est là
Elle tenaille elle cisaille elle s’acharne
Se délecte
Non, non non,
Elle n’a pas encore gagné
Car je sais que tu vas batailler
Et que tu possèdes des ressources indomptées
Tu te laisseras emporter,
vers des rives lointaines
Là ou elle n’aura plus prise
où tu pourras te reposer
en paix
Et lorsque tu reviendras
celle la elle s’en ira
Elle n’aura qu’a plier bagage
et chercher, en vain, un autre otage.
Elle ne pourra plus qu’errer et puis s'en ira pleurnicher
Sur un lointain passé
De ce qui a été
Oublier la douleur.
morjane
04/02/08
Je l’avais ressentie entre tes sourires
Elle était bien là incrustée en toi
Tu as dus sentir mon désarroi
Pourquoi est ce toi
Qui doit subir cela
C’est une hérésie
Une ignominie
Qui te grignote à petit pas
Et je reste là en proie
A rien
Tu es la seule dans ce combat
Face à cette douleur qui prend sur toi
Toute ton énergie
Et qui te dévore comme ça
Et pourquoi est ce à toi
Pourquoi et pourquoi
Que puis je te dire
Quand la douleur est si vive
Qu’on oublie le repos
Qu’on oublie tous les mots
Qu’on ne ressent que les plaies
Aussi vive qu’une lame
Qui cisaille les entrailles.
Comment soulager la douleur
Quand elle prend tant d’ampleur
qu'elle déploie son sinistre manteau
Qu’on en a même plus peur
Elle est là
Elle tenaille elle cisaille elle s’acharne
Se délecte
Non, non non,
Elle n’a pas encore gagné
Car je sais que tu vas batailler
Et que tu possèdes des ressources indomptées
Tu te laisseras emporter,
vers des rives lointaines
Là ou elle n’aura plus prise
où tu pourras te reposer
en paix
Et lorsque tu reviendras
celle la elle s’en ira
Elle n’aura qu’a plier bagage
et chercher, en vain, un autre otage.
Elle ne pourra plus qu’errer et puis s'en ira pleurnicher
Sur un lointain passé
De ce qui a été
Oublier la douleur.
morjane
04/02/08
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