Je suis venu, et je t’ai vue.
Je fus séduit, et tu m’as vu.
Tu m’as souri et j’ai été ébloui.
J’ai osé, tu as parlé.
J’ai murmuré et tu t’es approchée.
Nous nous sommes enlacés, tu m’as embrassé.
Nos lèvres, depuis si longtemps, enfin se sont soudées.
Nos corps, qui ne pouvaient plus d’attendre, se sont enlacés.
Nos mains, qui étaient impatientes, nous ont caressées.
Nos ventres, l’un de l’autre affamés, se sont emboîtés.
Tes lèvres, sous mes caresses, poussent un gémissement.
Mon corps, sous la chaleur de tes lèvres, s’étend et se tend.
Nous sommes tous les deux, notre nudité encore protégée,
Avides de connaître nos sens et nos corps inexplorés.
J’ai envie de connaître ton corps et de le caresser.
Tu es avide de voir mon corps et de l’embrasser.
Sentir ma bouche qui englobe tes seins,
Et ma langue qui explore cet endroit divin.
T’amener par les plus douces caresses
Sur les globes nacrés de tes ******
À m’ouvrir et m’offrir, sous un voile de dentelle,
Le sein des seins d’où coule le plus divin des miels.
Tressaillir sous la douceur de tes mains.
Défaillir sous les assauts de tes lèvres carmin.
Tes mains, avec adresse, font que je me dresse.
Ta langue, à ce jeu coquin, n’est pas aussi en reste.
Ce ballet de tendresse ne semble pas avoir de fin.
Tu me veux, je te désire, nous allons y parvenir enfin.
Je fus séduit, et tu m’as vu.
Tu m’as souri et j’ai été ébloui.
J’ai osé, tu as parlé.
J’ai murmuré et tu t’es approchée.
Nous nous sommes enlacés, tu m’as embrassé.
Nos lèvres, depuis si longtemps, enfin se sont soudées.
Nos corps, qui ne pouvaient plus d’attendre, se sont enlacés.
Nos mains, qui étaient impatientes, nous ont caressées.
Nos ventres, l’un de l’autre affamés, se sont emboîtés.
Tes lèvres, sous mes caresses, poussent un gémissement.
Mon corps, sous la chaleur de tes lèvres, s’étend et se tend.
Nous sommes tous les deux, notre nudité encore protégée,
Avides de connaître nos sens et nos corps inexplorés.
J’ai envie de connaître ton corps et de le caresser.
Tu es avide de voir mon corps et de l’embrasser.
Sentir ma bouche qui englobe tes seins,
Et ma langue qui explore cet endroit divin.
T’amener par les plus douces caresses
Sur les globes nacrés de tes ******
À m’ouvrir et m’offrir, sous un voile de dentelle,
Le sein des seins d’où coule le plus divin des miels.
Tressaillir sous la douceur de tes mains.
Défaillir sous les assauts de tes lèvres carmin.
Tes mains, avec adresse, font que je me dresse.
Ta langue, à ce jeu coquin, n’est pas aussi en reste.
Ce ballet de tendresse ne semble pas avoir de fin.
Tu me veux, je te désire, nous allons y parvenir enfin.
Commentaire