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Misère

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    Misère





    La misère est partout,partout à chaque pas.
    Les uns tendent la main,d'autres ne peuvent pas,
    Ils gardent leur fierté comme dernier ressort
    Quand on a tout perdu,quand s'acharne le sort.
    Celle-ci condamnée par un grand magasin,
    C'est vrai qu'elle a volé,mais elle avait si faim!
    Et celui là encor qui ne sait même plus
    Depuis qu'il est dehors,ni son nom ni sa rue.
    On rencontre souvent des gosses mal nourris
    Qui s'en vont en haillons,des visages flétris.
    De ces petits gamins venus d'on ne sait où,
    De ces pays là-bas où l'on vit à genoux.
    Mais il nous faut savoir qu'il y a la mafia,
    Celle qui s'enrichit de tous ces pauvres la
    A qui l'on ne dit rien , à qui l'on dit "Monsieur",
    Ceux là ne craignent pas la colère des gueux.
    Oui j'ai bien dit les gueux:les mendiants,les bannis,
    Les rejetés,les ignorés,les sans logis.
    J'en appelle à tous ceux, révoltés comme moi,
    Tous témoins impuissants devant certaines lois:
    Poètes écrivains de tous les horizons,
    Sans différence de race ou de religion
    Ecrivez aussi pour eux, pour ceux qui n'ont plus rien
    Nous sommes peut etre un de leur dernier soutien.
    les larmes et le temps n'efface pas tous les souvenirs
    on peut pleurer un océan mes il restera des vagues de désir!

  • #2
    ... Ton poème me rappelle Le Mendiant de V.Hugo

    Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.
    Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant
    Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile.
    Les ânes revenaient du marché de la ville,
    Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.
    C'était le vieux qui vit dans une niche au bas
    De la montée, et rêve, attendant, solitaire,
    Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,
    Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu.
    Je lui criai : " Venez vous réchauffer un peu.
    Comment vous nommez-vous ? " Il me dit : " Je me nomme
    Le pauvre. " Je lui pris la main : " Entrez, brave homme. "
    Et je lui fis donner une jatte de lait.
    Le vieillard grelottait de froid ; il me parlait,
    Et je lui répondais, pensif et sans l'entendre.
    " Vos habits sont mouillés ", dis-je, " il faut les étendre,
    Devant la cheminée. " Il s'approcha du feu.
    Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
    Étalé largement sur la chaude fournaise,
    Piqué de mille trous par la lueur de braise,
    Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé.
    Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé
    D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières,
    Je songeais que cet homme était plein de prières,
    Et je regardais, sourd à ce que nous disions,
    Sa bure où je voyais des constellations.




    « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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    • #3
      merci Agour de nous mettre à jour
      misère c'est vrai qu'on te connait, misère on est de fidèle amis, mais saches que tous les miséreux, les misérables et tous les gueux ne seront jamais a genoux, car leur honneur les poussent plutot à mourir debout .

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      • #4
        Merci océane et verider ! Cette après midi j’ai regardé un reportage sur les SDF.
        Je vous jure que j’ai pleuré mourir sur les trottoirs de paris de froid et de faim
        Mon dieu ou ont va pas d’aide pour ses pauvres gens sur tout les femmes le viol
        L’alcool battu par les autres pour moi ses des lâches enfin j’espère pour eux un
        Peut de chaleur je ne suis pas quoi dire de plus .
        les larmes et le temps n'efface pas tous les souvenirs
        on peut pleurer un océan mes il restera des vagues de désir!

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