Ils n’ont peut être pas si tort de penser que nous vivons en différé
Quand ils se mettent à gentiment se moquer, avec si peu de subtilité
Nous disant que nous sommes tout simplement folles à lier !
Mais savent-ils que nos pensées alliées nous lient dans notre unité ?
Ma chérie, laisse les croire qu’ils savent et devinent nos réalités
Ris à ton tour quand ils essaient de lire nos moindres futilités
Gagne en esprit, et avoue leurs leur si grande ingéniosité
Pour leur faire plaisir, feintons à outrance notre démence cachée !
Ils n’ont pas si tort de croire que nous sommes bonnes à analyser
Dieu du ciel, nous allons certainement être damnées à trop s’être aimé !
Qu’importe ma chérie, cœur dans le cœur, laissons les en rigoler
Car au fond, on se surprend à encore plus en plaisanter
Lorsqu’on découvre que c’est bien ce qu’ils appellent fierté
Qui les empêche de se montrer, de s’apprécier, de s’avouer
Qu’il existe bien une entité, qui ravie les cœurs, telle cette amitié…
Ils n’ont qu’un tort, au fond, c’est de ne pas se laisser emporter
Par cette douce brise qu’ils nomment hautement folie désemparée
Comment alors leurs en vouloir, quand ils ne sont pas charmés
Comment alors ne pas les prendre en peine, quand ainsi on les a ignoré
Ce qu’ils ne comprennent, c’est qu’en dehors de cette spatio-temporalité
Il persiste des bulles d’insaisissable, que jamais nous pourrons palper
Car ils ont tort de penser, que nos liens ne peuvent durer dans cette réalité ...
Quand ils se mettent à gentiment se moquer, avec si peu de subtilité
Nous disant que nous sommes tout simplement folles à lier !
Mais savent-ils que nos pensées alliées nous lient dans notre unité ?
Ma chérie, laisse les croire qu’ils savent et devinent nos réalités
Ris à ton tour quand ils essaient de lire nos moindres futilités
Gagne en esprit, et avoue leurs leur si grande ingéniosité
Pour leur faire plaisir, feintons à outrance notre démence cachée !
Ils n’ont pas si tort de croire que nous sommes bonnes à analyser
Dieu du ciel, nous allons certainement être damnées à trop s’être aimé !
Qu’importe ma chérie, cœur dans le cœur, laissons les en rigoler
Car au fond, on se surprend à encore plus en plaisanter
Lorsqu’on découvre que c’est bien ce qu’ils appellent fierté
Qui les empêche de se montrer, de s’apprécier, de s’avouer
Qu’il existe bien une entité, qui ravie les cœurs, telle cette amitié…
Ils n’ont qu’un tort, au fond, c’est de ne pas se laisser emporter
Par cette douce brise qu’ils nomment hautement folie désemparée
Comment alors leurs en vouloir, quand ils ne sont pas charmés
Comment alors ne pas les prendre en peine, quand ainsi on les a ignoré
Ce qu’ils ne comprennent, c’est qu’en dehors de cette spatio-temporalité
Il persiste des bulles d’insaisissable, que jamais nous pourrons palper
Car ils ont tort de penser, que nos liens ne peuvent durer dans cette réalité ...
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