Bruxelle quand tu m´appelles

[DeRienOnaRien]

Des fleurs partout, fascinantes qui embaument mon sens
Une chocolaterie en face, colognialise mon goût de tes combles mots
Un café m´a réchauffé l´envie d´écrire

Des artistes peintres de toutes nationnalités
Que j´avais envie d´imiter
Leurs mouvements de pinces et crayons
En donnant vie aux émotions
Qu´on croyaient mort
En oubliant sa délice qui caresse la langue
Comme le faisait avec le mot

Encore des notes qui l´acompagne
En ouvrant les bras au peuple " quand on n´a que l´amour! " dit il...
Ces gens là!
Ne meurent pas!
Des sueurs!
Des pleurs en scéne
Qu´on applaudit cet enfant: Jacques Brel en chant!

Ne me quitte pas!
Mon amour, de toi j´ai eu des douleurs
Ne les guerrit que toi

Parfois par des fleurs
D´autres en pleurs
Je cris, je hûrle,
Je me mets à genoux
Ne me quitte pas!

Un noyau, tout droit!
On le montre avec le doigt
Aux visiteurs

Et toi!
Tu te mets en scéne
Tu as besoin d´oxygéne,
Embrasse moi!

Ne me quitte pas!
Ecris des mots
Chante en mélodies
Sur la neige
Sous la pluie
Mon coeur n´a pas pleuré


Yacia Nabila

[DeRienOnaRien]

......suite!

Dans le temps
J´ai trouvé un enfant

Qui cri et hûrle
Un sentiment

Oh, comme il est profond!
J´ai eu la poule en chair
Ce n´est une guerre

De cet enfant dont je suis fiére
Ne sont des fleurs
Des fibles des coeurs

Un amour réel
Mon coeur est chez elle
Ses mûrmures que j´ecoute

A travers le silence
La distance

Une éspérance en mot
J´ai besoin d´elle
A chaque moment

Blamé que je suis
Elle m´ai trés chére
Elle m´offre une fille
Qui sait se taire

Elle m´offre un fils
Qui connaitera son père
Il s´assoit sur mes genoux
En répétant les mots
Qu´elle écrivait
La nuit, son matin sera claire

Ce n´est pas encore fini
Il faut que tu déguéres
Lis, et relis

Ce n´est pour te plaire
Je t´avais promis
Tu seras le dernier
A qui je dirai un mot

Aux prés de mes enfants
N´effacez nos noms
On a écrit l´histoire

Yacia Nabila