Dans un silence à écraser marbre et macadam,
Flocons de neiges déjà voile mon ciel
De candeur qui brûle ! Je marche comme
Tu déambules le long du corridor de la rue
Qui mène vers chez toi.
Je cherches, d’espoir, tes souvenirs à
Vouloir rattraper l’amitié que tu as brisée
L’autre fois…rebelle, cruelle pourquoi ?
Je viens frapper à ta porte qui depuis un
Lustre close, ne supportant tout le froid
Du dehors et notre rue qui s’endort. Ma
Voisine du palier, mon amie d’autre fois
Quand tu as brisé cassé la glace en sortant,
Tu n’as pas oublié d’emporter tes fleurs en
Bouquets, tes parfums en lots et des larmes
En flots…mon sol s’en est imprégné, il se
Souvient de nos palabres en fidèles amis
Et cette passion pour l’écrit qui nous rongeait.
Là bas, on partageait de la peine dans
Les écrits ; des rires, des chagrins et des cris, on
Montait parfois des scénarios de ces reines et rois,
De ces gens perdus d’autrefois, on s’inventait
De légendaires histoires...
Nous étions heureux de jouer avec des maux
Et rien que de la passion pour les mots.
Aujourd’hui tout est clos, comme les veines
De ton cœur et depuis,
Rien n’est comme avant tu sais !
Samir
Flocons de neiges déjà voile mon ciel
De candeur qui brûle ! Je marche comme
Tu déambules le long du corridor de la rue
Qui mène vers chez toi.
Je cherches, d’espoir, tes souvenirs à
Vouloir rattraper l’amitié que tu as brisée
L’autre fois…rebelle, cruelle pourquoi ?
Je viens frapper à ta porte qui depuis un
Lustre close, ne supportant tout le froid
Du dehors et notre rue qui s’endort. Ma
Voisine du palier, mon amie d’autre fois
Quand tu as brisé cassé la glace en sortant,
Tu n’as pas oublié d’emporter tes fleurs en
Bouquets, tes parfums en lots et des larmes
En flots…mon sol s’en est imprégné, il se
Souvient de nos palabres en fidèles amis
Et cette passion pour l’écrit qui nous rongeait.
Là bas, on partageait de la peine dans
Les écrits ; des rires, des chagrins et des cris, on
Montait parfois des scénarios de ces reines et rois,
De ces gens perdus d’autrefois, on s’inventait
De légendaires histoires...
Nous étions heureux de jouer avec des maux
Et rien que de la passion pour les mots.
Aujourd’hui tout est clos, comme les veines
De ton cœur et depuis,
Rien n’est comme avant tu sais !
Samir
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