Que les silences peuvent avoir un langage
Si fort quand on prend la peine de les comprendre
Que les sourires sont parfois narquois
Quand ils te sont adressés
Tu ne marches pas tu déambules
Dans les sillons de tes tourments
Ils sont perceptibles tes larmoiement interne
Que va devenir ta vie ?
Combien de temps ta fierté t aidera à tenir
Ce cheminement sinueux qui ne mène
Que dans les couloirs de ta plus grande peur
Que les paroles des autres n ont plus aucun impact
Que leurs voix deviennent monocordes comme un bruit de fond
Qu ont-ils a s extasier d un rien quand le tout t attend
Leurs riens sont fait du quotidien
Ton tout est construit de ciment et d enfermement
Que faire de tous leurs mots d encouragement
Qui sonne faux tant est fort ton pressentiment
Tu ne vis pas, tu es en suspend
D une vie en sursis
La tête déjà bien relevé
Le poing bien trop serré
Et le reste bien trop enfermé
Si fort quand on prend la peine de les comprendre
Que les sourires sont parfois narquois
Quand ils te sont adressés
Tu ne marches pas tu déambules
Dans les sillons de tes tourments
Ils sont perceptibles tes larmoiement interne
Que va devenir ta vie ?
Combien de temps ta fierté t aidera à tenir
Ce cheminement sinueux qui ne mène
Que dans les couloirs de ta plus grande peur
Que les paroles des autres n ont plus aucun impact
Que leurs voix deviennent monocordes comme un bruit de fond
Qu ont-ils a s extasier d un rien quand le tout t attend
Leurs riens sont fait du quotidien
Ton tout est construit de ciment et d enfermement
Que faire de tous leurs mots d encouragement
Qui sonne faux tant est fort ton pressentiment
Tu ne vis pas, tu es en suspend
D une vie en sursis
La tête déjà bien relevé
Le poing bien trop serré
Et le reste bien trop enfermé
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